Coumba - Love & Péripéties.
Chapitre Cinquante
_____ISMAEL YATASSAYE
Moi - Non même pas, ça fait une semaine qu'elle est chez sa mère là
Haroun - Carrément ?
Moi - Ouais j't'ai pas dit, j'me suis pris la tête de fou avec y'a pas longtemps -en allumant mon joint, elle ma fait quécra j'ai vriller
Haroun - Mais nooon frère
Moi - wAllah ! tu sais comment je suis Haroun , son comportement j'ai pas kiffer du tout, on est là ça m'appel pour me dire ouais ta femme elle s'est battue dans NOTRE bar en plus ! t'crois j'vais l'prendre comment ? seum de fou ! on salis mon nom là ! avec Cynthia en plus ! qu'est-ce tu lui donne l'heure à mon ex ? t'es une vrai femme même pas tu la regarde ! tu lui donne pas l'heure ! elle ! elle est là elle attends je part pour aller en découdre avec ! c'est quoi ?
Haroun - Non en gros j'pense pas que ce soit elle qui l'ai attaqué en première , t'façon gros tu connais les filles, toujours des histoires pour rien avec elles.
Moi - De fou
Haroun - Mais c'est pas bon , reste pas longtemps trop fâché contre elle c'est ta femme maintenant, plus ta copine
Moi - Chai ! mais j'ai le seum de fou même si j'dit rien , j'arrive pas à faire crari et faire comme si j'étais passé à outre ! elle s'fou trop de ma gueule en plus cet darze
Haroun - mdr comment ça
Moi - mdr au nom elle aime trop ça , crari elle m'prend pour son p'tit parce-que c'est quoi l'dél.. tout ce qu'elle veux j'le fait ! en mode j'parle pas beaucoup ta vu l'dél et elle en joue , en dirais chui un pédé or que je veux juste être gentil !
Haroun - S'ta femme gros 😂 assume
Moi - mddr elle rend fou , m'fait chier de fou la vie -en fumant, mais asy faut je tempère là sayer , même si c'est compliqué.
Haroun - Beh ouais , sa reste ta femme quand même, faut pas que ça dure longtemps comme ça ma gueule s'pas bien wAllah , on sait pas de quoi est fait demain
Moi - Ouais carrément
Haroun - Appel-là après.. et vous-vous expliquez dans le calme
VOUS LISEZ
Coumba - Love & Péripéties
Diversos« Offrir l'amitié à celui qui veut l'amour, c'est donner du pain à celui qui meurt de soif »