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DANS L'APPART DES UCHIHA.

Ça faisait près d'un quart d'heure que Boruto était enfermé dans les toilettes. Sasuke attendait dans le couloir prêt à le défoncer. Sarada elle, observait la scène depuis l'encadrement de la porte. La brune ne savait pas si elle devait s'inquiéter pour le blond ou se moquer de lui car après tout, il l'a bien cherché.

Sasuke: ma patience a des limites. Si tu ne sors pas tout de suite je défonce cette porte.

Boruto: je préfère que la porte se fasse défoncer à ma place.

Sasuke: ne t'en fait pas il en restera pour toi.

Boruto: mais mon père ne...

Sasuke: ton père ne fera rien du tout, sors maintenant.

Le blond au départ si confiant se liquifiait sur place. Le pauvre pensait que le brun réagirait bien... La belle conerie.
Sarada soupira fatiguée de ce cirque.

Sarada: ça suffit papa. Boruto est peut être stupide mais il ne mérite pas de coups quand même.

Le brun se tourna vers sa fille le visage serré mais ne dit rien.

Sarada: de plus, j'aurai eu un petit ami un jour ou l'autre. Mieux vaut quelqu'un que tu connaisses non ?

La mine résignée, Sasuke se décida enfin à lacher le blond. Il alla au rez de chaussé faire je ne sais quoi. La brune toqua à la porte de la salle d'eau intiment au blond de sortir. Ce dernier ne se fit pas prier pour ouvrir.

Boruto: enfin, hey, c'est qui qui est stupide ?

Sarada: le gars qui est resté plus d'un quart d'heure enfermé dans la salle de bain. Tu veux un portrait robo ou une photo peut être ?

Ok... Elle est en colère...

La brune fit demi tour et descendit au rez de chaussé. Le pauvre blond n'eu d'autre choix que de la suivre.

Sasuke était assis dans un fauteuil l'air tourmenté. Sa petite princesse avec un garçon... L'info ne passait pas.
La concernée prit son paternel dans ses bras pour le réconforter ce qui fonctionna à moitier. Au même moment la porte s'ouvrit sur la rose et le benjamin de la famille. Vu le nombre de sacs qu'ils trimbalaient, il était clair que la carte bleue avait saignée.

À L'ACADÉMIE...

Sumire se remettait à peine de la vision d'horreur de tout à l'heure, allongée à l'infirmerie. Le surveillant Konohamaru avait demandé à la métisse de retourner en cours pour laisser la violette soufler. C'était plus une torure mentale qu'autre chose...

Elle avait beau réfléchir, ses questions restaient sans réponse... Qui a bien pu lui faire ça ? Pourquoi ? Avait elle offencé quelqu'un quand elle se comportait en peste ? Impossible... Elle ne s'en prenait qu'a Sarada... Pourquoi elle ?...

Un horrible mal de crâne la frappa. Elle eu envie de hurler mais seules un flot de larmes perla sur ses joues.

Une main essuya son visage mouillé.

Kawaki: tu vas pleurer encore longtemps ? Je déteste te voir comme ça.

Sumire: Ka..kawaki...

Les pleurs l'empéchaient de parler. Il la prit dans ses bras le temps qu'elle se calme. Il prit place près d'elle lorsque ses sanglots se sont achevés.

Kawaki: j'ai croisé ta pote en quittant le gymnase, elle m'a dit ce qui c'est passé avec ton casier.

Sumire: qui peut bien m'en vouloir à ce point ?...

La violette replongea dans ses pensées. Kawaki lui, avait une idée de qui pouvait être derrière tout ça mais il espérait se tromper...

AU HILTON HILLS.

Hinata venait de regagner sa chambre. Son premier réflexe fut de retirer l'alliance qui ornait son anulaire gauche et de l'enfermer dans un tirroir.
Sa vie qu'elle pensait bien battie s'était écroulée tel un vulguère chateau de carte et tout reconstruire n'était pas une option.
Il lui fallait trouver un toît car vivre à l'hotel c'est beau mais c'est pas gratuit.
Il lui fallait un travail. Pour pouvoir s'occuper de ses enfants sans soucis.
Il fallait qu'elle récupère Bolt...
Comment vivait il cette situation ? Et Himawari, comment lui expliquer ? Le coeur de la jeune mère de serra.

Comment faire ?

Elle se souvint que Toneri lui avait donner sa carte pour qu'elle puisse le joindre en cas de besoin. Elle savait que le blond voulait une relation plus qu'amicale avec elle mais ce n'était pas réciproque.
Contrairement à son ex-mari elle ne jouait pas avec les sentiments des autres.

La brune contacta un ami de la famille qui était agent immobilier car la brune avait fait des études dans ce domaine mais son métier de femme au foyer lui importait plus à l'époque.
Par chance, elle obtint un rendé vous pour le lendemain à 10h pile.

Elle allait montrer à Naruto qu'elle pouvait vivre et réussir sans lui.

A L'ACADEMIE.

Le soir tombait et l'établissement se vidait. La tante de Sumire était venue la chercher pus tôt car la violette n'allait vraiment pas bien.
Kawaki retourna en classe chercher ses affaires; sa bande l'attendait.

Eida: où étais tu Kawaki-kun ?

Il ne répondit pas et attrapa son sac.

Eida: un problème ?

Kawaki: j'espère que tu n'y est pour rien dans l'hitoire du casier.

Eida: de quoi parles tu ? Quel casier ?

Kawaki: joues l'ignorante. Si jamais tu t'approches d'elle avec de mauvaises intentions j'oublierai notre amitier.

Le visa d'Eida au départ angélique, se froissa pour faire place à la colère.

Eida: tu me menaces pour une gamine ?

Kawaki: je ne t'ai pas menacé.

Eida: Kawaki, on se connait depuis plus de deux ans et tu serais prèt à renoncer à moi pour elle ?

Elle parlait doucement, prenant le temps de bien articuler. Elle était terrifiante mais Kawaki resta impassible.

Kawaki: je l'aime contrairement à toi.

Code cessa de respirer et Delta posa son portable. Il avait osé...

Kawaki sortit de la salle de classe comme ci de rien n'était.

Un glousement s'échappa de la bouche d'Eida. Puis un autre. Et encore un autre...
Enfin un rire digne des enferts sortit de cette bouille d'ange. Elle ria à gorge déployée avant de se calmer comme si de rien n'était.

Code: Eida ?

Eida: Sumire Kaeki... Je te tuerai de mes propres mains sois en sûre.





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I'M BACK BITCHIES.

Enfin je suis de retour les gens. Vous m'avez manqué 😭.

Désolé pour l'attente.

Maintenant je publierais plusieurs fois par semaine mais il n'y aura pas de jour précis.
En parallèle je vais entamer LE TINTEMENT DES COEURS
C'est du NaruHina. Le premier chapitre est déjà disponible.

J'attends vos votes et vos commentaires avec impatience.

Je vous aime❤🍥

SMILE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant