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Dans la cave d'Eida...

Sumire: Sara ?

Sarada: hum...

Sumire: je n'en peux plus.

La brune soupira. La chaleur des lieux était étoufante et le manque d'hygiène ne faisait qu'augmenter le malêtre des jeunes filles.

La violette ne surportait plus vraiment la situation. Elle avait maigrit et sa peau la démengeait, elle espérait juste échapper à une  infection.

La brune avait les mêmes soucis. Elle se demandait ce que l'autre folle leur ferait.

Bang...

Bang...

Bang...

Sumire: qu'est ce que c'est ?

Sarada: on dirait une balle qui rebondit...

Les bruits de balle cessa laissant la place à des bruits de pas.
La porte s'ouvrit sur un petit garçon qui devait aller sur ses 8 ans. Sa balle sous le bras, il s'avança vers les otages.

Petit garçon: han ? Vous êtes qui vous ?

Sarada: libère nous d'abord.

Sumire: je t'en prie fait vite.

Le petit garçon: nan je veux pas.

Sumire: pourquoi ?

Le petit garçon: vous avez le même uniforme que ma soeur...

Sarada: ta soeur ?

Damon: ouais, moi c'est Damon le petit frère d'Eida !

Le petit était tout fièr de l'effet de surprise qu'il avait fait naitre sur le visage des jeune filles.

Damon: ce doit être elle qui vous a fait enfermer. Je ne sais pas ce que vous lui avez fait mais c'est bien fait pour vous.

Okay, il est aussi détestable que sa soeur.

Sumire: où sommes nous ?

Damon: je ne vous le dirais pas...

Sarada: ce que vous faites est illégal. Vous pensez à nos familles ?

Damon: je m'en moque. Papa est super riche on peut tout faire.

???: tu viens avec le ballon Damon ?

Damon: attendez moi en haut je reviens.

Himawari: je ne veux plus jouer au ballon... Sarada ?

Sarada: Hima ? Que fais tu ici ?

Himawari:  Damon nous a invité chez lui pour jouer... Tout le monde vous cherche partout.

???: pourquoi il y a des gens attachés dans ton sous sol ? Vous êtes bizarre chez vous.

Damon: Ewou, j'ai rien dit sur ton prénom alors ne dit rien sur ma famille.

Ewou: ...

Damon: montons ce ne sont pas nos affaires...

Himawari: libère mes amies d'abord.

Damon: non ! Allons nous en.

Himawari voulu répliquer mais Sarada lui fit signe de se taire. La petite obéit à la demande silencieuse et remonta les marches de la table à contre coeur suivit par les deux autres.

Un lourd et court silence suivit. De nouveaux pas plus fermes se firent ettendre.

Eida: je vous ai dit de surveiller la zone. Bande d'abrutis...

SMILE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant