SMILE

18

( Coucou mes chers lecteurs, j'ai une annonce importante à faire donc lisez mon message à la fin du chapitre.   Bonne lecture ❤)

Sumire avait pris pour résolution d'éviter son coup de coeur, elle n'avait pas la force de l'affronter.
Mais le lendemain matin en se rendant en classe elle sentit une main lui attraper le ventre et la soulever tant dis qu'une autre lui couvrait la bouche. Elle fut trainée de force à l'arrière du gymnase et ce n'est qu'à ce moment qu'elle fut libérée.

Kawaki: tu m'expliques ce qui te prend ?

Sumire: je dois aller en classe.

Elle essaya de forcer le passage mais il était décider à connaître la raison de cet éloignement soudain.

Sumire: je n'ai rien à te dire, ta petite amie doit t'attendre.

Kawaki: mais c'est toi ma petite amie, qu'est ce que tu me chantes ?

Sumire: tu mens !

Kawaki: qu'est ce qui te fais dire ça ?

Suumire: Eida...

Kawaki était surpris qu'elle connaisse Eida, les larmes de la violette coulaient le long de ses joues. Il ne pouvait plus nier...

Kawaki: je ne sors pas avec elle.

La révélation de Kawaki résonna comme un gong dans sa tête. Elle voulait en être sûre, il lui faut des preuves.

Sumire: pourtant elle avait une photo récente de vous, vous...tu...enfin...

Kawaki: quelle photo ?

Sumire: son fond d'écran, vous vous embrassiez...

Le brun souffla bruyament. Il voyait de quoi elle parlait.

Kawaki: c'était à une soirée, on jouait au jeu de la bouteille. Lorsqu'elle a été désignée, elle a choisit action et il a fallut qu'elle embrasse la personne qui lui plaisait le plus dans la pièce... Chuis désolé, de ne pas te l'avoir dit.

Sumire le regardait, ne sachant quoi penser. Eida est la fille parfaite au premier abord, elle est belle, douce et doit avoir plein d'autres qualités... Pourquoi choisirait il une gamine comme elle ?

Sumire: Kawaki, répond moi sincèrement.

Kawaki: okay...

Sumire: pourquoi moi et pas elle ?

XXXXXXXXXXXXXXXXXXXX

Boruto venait d'asister au départ de sa mère et de sa soeur. Il ne sait pas vraiment comment réagir, sa famille qu'il croyait enfin unie vient de se briser une nouvelle fois et pour de bon on dirait.
Comme ci ça ne suffisait pas, son père avait disparu et Shion s'amusait à la maîtresse de maison.

Shion: hey toi !

Une servante: mademoiselle ?

Shion: c'est MADAME désormais. Enlève toutes les photos de l'autre pouf de cette maison, seule ou en famille. Je ne veux plus la voir ici.

La servante: mais...

Shion: tu oses vouloir me contredire ? Tu es virée.

La servante: désolé mais vous n'avez pas le droit de...

Shion: attend voir...

Boruto avait tout entendu. Il entra dans le grand salon et se prit une claque à la place de la servante.

Boruto: je sais pas qui t'es ni ce que tu fou là mais c'est pas chez toi ici ok ?

Shion: regadez le, comme il est mignon. Tss, tu fais encore plus pitié que ta mère.