Jeon Jungkook n'avait qu'un rêve, celui d'exister. Non désiré par sa mère et sans cesse rabaissé par ses fréquentations au nom de couleurs, il décide de fuir en sentant sa vie lui échapper et ne jamais revenir sur ses pas. C'est en s'aventurant les...
Parce qu'on ne dit jamais deux sans trois, j'ai le plaisir de vous retrouver pour le troisième et dernier bonus d'Angel on Fire. Celui-ci me tient particulièrement à cœur, car il marque la fin définitive de cette magnifique aventure. Je suis heureuse d'avoir partagé l'histoire de Jungkook, Taehyung et tous les autres avec vous. AOF m'aura énormément apporté, bien plus que je ne l'imaginais en rédigeant le prologue en Avril 2019. Grâce à AOF, j'ai beaucoup grandi (un petit peu comme notre Jungkook finalement). Et je vous suis éternellement reconnaissante pour tout l'amour qu'AOF a reçu et reçoit encore au quotidien. Merci pour tout, sincèrement.
Ce bonus est plus petit que les autres mais je trouvais qu'il était important de l'ajouter pour boucler correctement la boucle. Il clôture l'histoire et j'avais hâte de vous le présenter (parce qu'AOF me manquait et vous aussi).
Bonne lecture petites étoiles et à bientôt (surtout prenez bien soin de vous)♡
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C'est l'amour, qui m'a sauvé.
L'amour selon sa définition, c'est un sentiment vif qui pousse à aimer. Aimer, c'est éprouver très fort. J'étais persuadé pendant si longtemps que l'amour était essentiellement réservé à des personnes, à un entourage précis, j'ai appris qu'en réalité, je pouvais tout autant aimer la vie que celles et ceux qui en font partie.
Aimer, c'est très fort. Même si, au fond, ce n'est qu'un verbe, cinq petites lettres qui se suivent. Le sens que l'on donne à certains mots, nous permet de nous exprimer, d'ajouter un certain impact, de poser de véritables termes sur ce que l'on ressent à l'intérieur.
Et moi, j'aime.
J'ai décidé d'aimer de tout mon cœur.
Ça m'est apparu comme une évidence, à l'ombre d'une nouvelle période de ma vie qui m'ouvrait les bras. J'ai tant combattu, perdu puis ensuite appris et gagné, que la paix a eu un arrière-goût de miel le long de ma gorge. Ce n'était pas amer, comme l'étaient certains de mes souvenirs. Ceux qui, encore parfois, me réveillaient la nuit.
