La Douanière de l'Au-Delà [DAD]

Bonus 3 : Je crois...

NDA : Coucou, mes petits anges ! 🥰

Je vous présente enfin ce dernier bonus, que j'avais déjà commencé depuis longtemps mais que j'ai enfin fini ! Il devait y en avoir un autre avant mais je l'ai finalement abandonné parce qu'il était trop compliqué et j'avais un gros manque d'inspiration depuis le début, je m'excuse 😔

Mais j'espère donc que ce bonus vous plaira malgré tout 😊 (c'est celui-là... Poulpy... Pense à mettre la musique avec un rythme qui te mettra bien dans cette ambiance traumatisante dans laquelle j'ai été plongée à cause de toi😭)

Ensuite, si vous avez des questions, n'hésitez pas parce qu'il y a pas mal de choses non approfondies qui auraient dû être développé dans l'autre bonus 🤔 vous comprendrez peut-être pas certaines choses 🤔

Sinon, je vous dit : bonne lecture !

PS : ATTENTION !!! Il y a, (pas un lemon parce que je ne considère pas ça comme tel 🤔), mais un petit lime je dirais 🤣, donc vous voilà prévenus.

C'est la première fois que j'en écris un (minime soit-il) alors si vous avez des remarques à me faire, je suis preneuse 😊

.  .  .

Les rayons de soleil filtraient à travers les hauts rideaux de la magnifique pièce. Dans le bureau, régnait une atmosphère chargée de désir. Des doux gémissements de plaisir se faisaient entendre. Des râles d'exaltation et de longs soupirs de satisfaction intense. Les deux corps en chaleur lovés sur le grand canapé en velours noir n'étaient plus de ce monde. Partis depuis longtemps, plus haut que le septième ciel, si celui-ci existait. Les vêtements avaient été échoués sur le sol dans un désordre dénonçant la précipitation et l'impatience dont avaient fait preuve, les deux adultes désormais unis.

Au bout d'un certain temps, la cadence ralentit sous l'effet de la fatigue. Sans pour autant se séparer, les deux âmes fermèrent leurs paupières et profitèrent de l'instant partagé, en reprenant lentement leur souffle encore ardent. Mais ne pouvant cependant pas s'arrêter ici, ils échangèrent de longs et doux baisers exprimant tout l'amour qu'ils éprouvaient l'un pour l'autre. La langue de l'un venant caresser avec passion celle humide de son partenaire comme si l'effort n'était plus qu'un lointain souvenir.

Quelques échanges plus tard, l'homme aux cheveux ébène, au-dessus de sa belle, relâcha tous ses muscles, s'allongeant sur le corps ardent de la blonde qui respirait toujours de façon saccadée. Elle glissa ses doigts dans les mèches noires de son mari, lui faisant lâcher des soupirs d'aise contre sa poitrine brûlante. Il léchait lentement et langoureusement les douces parcelles de sa peau marquée de son odeur, lui donnant encore du plaisir pour une fin d'acte mouvementée. Mais dans l'atmosphère aphrodisiaque, la femme aux yeux cyan, bien qu'elle appréciât ces moments intimes, devait malgré tout rappeler son époux à l'ordre, car l'habitude de ce dernier était très et beaucoup trop régulière.

"Tu devrais-... tenta-t-elle avec un souffle toujours difficile entre deux petits gémissements alors qu'elle le réprimandait. Arrêtez de venir comme ça... En pleine journée...

- Tu sais très bien que je ne suis pas patient, lui rappela son mari en embrassant un de ses seins qu'il prenait en main de manière possessive. J'aime pas attendre..."

Il prit entre ses lèvres brûlantes, le bout de chair dressé, provoquant un frisson à sa femme qui retint un son de plaisir. Elle ne voulait pas lui faire cette faveur alors qu'elle était en train de le blâmer. Il cherchait à la faire craquer, comme à son habitude.

"Ne te retient pas... susurra le brun avec un sourire sensuel et amusé, en remontant désormais le long de la clavicule légèrement hâlée de la blonde, déposant des baisers avides sur son passage. Je sais que- … T'es en colère parce que je débarque au plein milieu de... Ton boulot... Mais tes journées seraient beaucoup- ... Moins passionnantes, si je ne venais pas aussi souvent...