유 › 𝐋𝐞𝐬 𝔱𝔢́𝔫𝔢̀𝔟𝔯𝔢𝔰 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐦𝐚𝐬𝐪𝐮𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐞 𝔰𝔬𝔩𝔢𝔦𝔩, 𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐢𝐥 𝐛𝐫𝐢𝐥𝐥𝐞 𝐪𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐦𝐞̂𝐦𝐞.
Prenant un appartement près de sa fac pour éviter de faire plusieurs heures de trajet, Leywin s'attendait pas à trouver un...
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L E Y W I N
Je me décale de lui légèrement et le fixe, il est vraiment là en face de moi. Comment il a pu trouvé mon adresse déjà ? Il aurait pu me localiser je sais très bien mais pourquoi il aurait fait ? J'ai envie de me dire qu'il est vraiment là pour me voir et uniquement pour ça mais faut pas que je m'emballe trop vite, la réalité est trop cruelle parfois.
C'est vraiment un mystère pour moi je sais pas ce qu'il a dans sa tête et ce qui attend de moi mais peut-être qu'en fin de compte il attend vraiment rien et je me fais des films ou c'est tout le contraire. À voir.
– Tu vas tomber Zennen.
Il entre dans mon balcon et s'approche de moi, je recule jusqu'à toucher la baie derrière moi.
Zennen : Depuis quand t'as peur de moi ? T'as rêvé de moi en train de te ken ou quoi ?
– En train de me brûler plutôt.
Je m'éloigne de lui et me rapproche de la rambarde, je m'accoude encore une fois dessus et souffle. Je sentais son regard sur moi et je lui prête pas trop attention, j'ai encore des images de lui en train de me jeter le briquet dessus. Je le vois du coin de l'œil s'accouder à la rambarde, il regarde le jardin avant de se tourner vers moi.
Zennen : Pourquoi t'as les larmes aux yeux ?
J'essuie mes petites larmes en secouant la tête.
– T'as remarqué ?
Zennen : Le son d'ta voix, comment tu m'as regardé, comment t'as reculé. Ma Jasmine m'aurait poussé en disant il m'imite « oh nan pas toi comment t'as fait pour monter déjà ? ».
Je lâche un petit rire en entendant le son de sa voix changer. Il m'imite bien j'avoue.
Zennen : J'suis pas venue m'faire recale il se tourne vers moi et me tend ses bras viens j'te fais un câlin, tu dates salope.
