L E Y W I N📍Hôpital, Paris.
Je me colle contre le torse Masón que je tenais dans mes bras, on était à l'hôpital mais c'était déjà trop tard. Ils étaient déjà partis, tous les deux en même temps et ça depuis plus d'une heure.
J'avais les yeux fermés en même temps que j'essayais de me calmer, j'allais craquer un moment ou l'autre mais je faisais du mieux que je pouvais pour me retenir quelques minutes.J'ai lentement relevé mon regard sur Masón qui regardait en face de lui, il baisse ensuite son regard sur moi et me fait un faible sourire.
Et là, à ce moment précis que j'ai pas pu retenir mes larmes, ils ont commencé à monter puis une, deux pour après que plusieurs larmes sortent de mes yeux sans que je le veuille vraiment.Il m'a collé contre lui comme j'étais tout à l'heure pendant que je pleurais contre son torse.
C'est fini, si j'avais su que je n'allais plus les voir en leur disant au revoir tout à l'heure, je serais même pas partis avec Zennen pour passer plus de temps avec eux même si ce n'est que deux heures.Fatima : Qui va prendre l'héritage ?
Je tourne mon corps lentement vers ma tante Fatima, la mère des jumeaux Issa et Idriss mais aussi femme de Rachid qui est le frère de mon père. Cette femme, il y a que l'argent qui l'intéresse, rien que ça.
C'est pour ça qu'elle ne s'entendait pas avec maman, elle est tombé sur Rachid qui n'avait pas autant d'argent que papa et il lui fallait plus sauf qu'elle n'a jamais eu ce qu'elle souhaitait.Aujourd'hui mes frères sont mort et là seule chose qui l'intéresse c'est l'héritage de Lewis ?
Une profond haine augmente en moi, j'aime mes cousins, par contre Rachid et Fatima c'est une autre histoire, je les ai jamais aimé je pense, tout ça à cause de l'intérêt qu'ils ont pour ma famille pour l'argent envers papa.La main de Masón se pose sur mon front, je lui lance un regard pendant qu'il avait un grand sourire, il n'a pas parlé depuis qu'il est arrivé, par contre, le sourire rassurant qu'il avait sur le visage le quittait pas depuis que mon corps est contre le sien.
Heureusement qu'il est là, les pères de Zennen ont une façon incroyable de me calculer rien qu'avec leurs regards et leurs sourires rassurant.
VOUS LISEZ
Leywin › L'éclair brille même dans les ténèbres
Romantizm유 › 𝐋𝐞𝐬 𝔱𝔢́𝔫𝔢̀𝔟𝔯𝔢𝔰 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐦𝐚𝐬𝐪𝐮𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐞 𝔰𝔬𝔩𝔢𝔦𝔩, 𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐢𝐥 𝐛𝐫𝐢𝐥𝐥𝐞 𝐪𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐦𝐞̂𝐦𝐞. Prenant un appartement près de sa fac pour éviter de faire plusieurs heures de trajet, Leywin s'attendait pas à trouver un...