--- Va-t-en ---

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Pdv Erwin :

Je l'ai traîné jusqu'à ma voiture, le poussant sur le siège passager avant de refermer la porte et de m'empresser d'aller sur mon siège. Je me suis attaché et j'ai démarré immédiatement, n'écoutant même plus ses plaintes. Je l'ai aperçut du coin de l'oeil s'attacher rapidement, me fusillant du regard. Je n'en ai pas tenu compte et j'ai continué de conduire. 

- Erwin... P-pourquoi on va chez moi ? me demanda Livaï en balbutiant.

- Je n'aurais pas à te ramener après. 

Il s'est tu et j'ai finis par me garer en face de chez son immeuble et de descendre. Une fois que le noireaud fut dehors, je lui ai attrapé le poignet et l'ai traîné de nouveau jusqu'à devant la porte. Une fois à l'intérieur, nous avons pris l'ascenceur, montant jusqu'à son étage. Une fois arrivé, je me suis accoudé contre le mur, attendant qu'il ouvre sa porte, ce qu'il fit en tremblant.  

Une fois à l'intérieur, à peine il eut le temps de refermer sa porte que je l'ai plaqué contre, venant l'embrasser à pleine bouche. J'ai passé ma langue immédiatement, venant jouer avec la sienne goûlument. J'ai déboutonné habilement et précipitament sa chemise, dévoilant son torse. Une de mes mains vint titiller un de ses tétons, le faisant gémir dans ma bouche. J'ai libéré ses lèvres, les miennes se glissant dans son cou, laissant des marques partout, sur la moindre parcelle de sa peau. Il gémissait en retenant sa voix. Comme ça m'agaçait, j'ai pincé son bouton de chair, le faisant gémir de surprise. 

J'ai passé mes mains dans son dos, l'embrassant de nouveau sauvagement. Je les ai fait descendre doucement jsuqu'au bas de ce dernier, mes doigts rencontrant sa peau. J'ai ouvert mes yeux, et je le vis écarquiller ses yeux alors que je glissais ma main sous les vêtements qui cachaient son cul. J'ai agrippé fermement ses fesses, le faisant se coller encore plus contre moi. J'ai fait glisser un de mes doigts contre son entrée, le pressant légèrement. J'ai finis par le rentrer, le faisant gémir de douleur. Je l'ai remué avant d'en rentrer un autre, le faisant couiner.

- Tu vois ces couinements, ils ne doivent que m'être adressé, pas à un autre.

J'en ai rentré un troisième, lui faisant mordre ses lèvres alors que ces yeux étaient envahis par les larmes. Je les ai retiré avant d'abaisser son pantalon, le faisant glisser le long de ses jambes. Son boxer dévoilait distinctement son érection, me faisant sourire narquoisement. J'ai attrapé sa cuisse et j'ai passé sa jambe sur ma hanche, l'attirant contre moi, son bas-ventre se collant contre moi.

- Ah ! Je-Ngh... Er-erwin..

Il a posé ses lèvres contre les miennes, les mouvants ardemment. Il a passé sa seconde jambe autour de mes hanches et a passé ses bras autour de mon cou, amplifiant le baiser. Quand nos lèvres se sont séparées, j'ai planté mes yeux dans les siens, puis je lui ai adressé un sourire glacial, lui faisant écarquillé ses yeux. Je l'ai déposé par-terre avant d'agripper son bras fermement, de le mettre dos à moi et de le positionner à quattres pattes, en appuis sur ses avant-bras, d'une main alors que l'autre s'occupait de baisser mon pantalon et mon boxer. Il n'eut même pas le temps de réagir que son boxer glissa le long de ses cuisses et je m'enfonçai en lui brutalement, le faisant hoqueter de douleur. 

J'ai fait des vas-et-viens brutaux et rapides, le faisant gémir de douleur.  Mes mains se sont agrippées à ses hanches tandis que j'accélérais le rythme de mes coups de butoirs, ses gémissements partagés entre la douleur et le plaisir. J'ai niché ma tête dans son cou, venant mordre sa peau et la suçoter, ne l'épargnant pas. Le noireaud a jeté sa tête en arrière, les yeux révulsés alors qu'il éjaculait, son orgasme se répandant sur le sol. Il a penché sa tête, haletant. Je n'ai pas eu pitié alors j'ai continué mes coups, le faisant gémir de nouveau. Je me suis seni venir alors j'ai jeté ma tête en arrière, venant dans un râle de pur plaisir. Je me suis retiré, mes yeux se posant sur la semance qui coulait le long de ses cuisses. 

- Er-erwin.. T'as.. T'es venu en moi.. Alors qu'on avait pas de préservatif.., bégaya Livaï en se redressant, tremblant.

- Je suis clean. Et qui t'as dit de bouger ? J'en ai pas finis avec toi.

- Qu- Ack ! 

Je me suis renfoncé en lui tout aussi brutalement, le faisant se remettre en appuis sur ses avant-bras. Mes cuisses claquaient contre sa peau, ses gémissements amplissant mes oreilles. J'ai donné plusieurs coups de butoirs avant de me retrirer rapidement et de le retourner, l'allongeant sur son dos. Mes yeux recherchaient les siens, mes mains retirant son boxer avant de le jeter plus loin, mais il les détournait, des larmes coulants le long de ses joues. Je suis venu l'embrasser, ses jambes s'aggripant à mes hanches alors que ses mains se posèrent sur ma nuque et mes cheveux. Durant le baiser, je l'ai pénétré, le faisant gémir dans ma bouche. J'ai commencé à bouger, nos lèvres se séparant. J'ai commencé à accéléré, le faisant gémir beaucoup plus fort, ses mains s'aggripant fermement à mes vêtements, au niveau de mes omoplates. Ses jambes avaient lâchés mon bassin, me laissant choisir pleinement l'amplitude de mes coups de reins. Je me suis penché un peu plus, venant embrasser ses lèvres avidement. Quand je me suis redressé, je vis son bas-ventre de nouveau gorgé de plaisir, déjà mouillé. 

Je me suis arrêté quelques secondes, retirant mon haut, toujours enfoncé en lui, le faisant languir. Une fois torse nu, j'ai repris, ses mains venant griffer mon dos violemment alors que mes coups de butoirs frappaient dans sa prostate. Je me suis penché pour l'embrasser passionément, ses jambes revenant se mettre sur mes hanches. Je donnais toujours des coups de reins quand Livaï fut pris d'un spasme et se vida contre nos deux torses, mes lèvres toujours collées aux siennes. Je les ai libéré, finissant mon affaire. J'ai éjaculé de nouveau en lui puis je me suis retiré, reprenant ma respiration. J'ai posé mes yeux sur le noireaud et je les écarquillé en le voyant en larmes.

- Li-livaï.. Ce-hum, ça ne va pas ? Qu'est-ce qu'il y a ?

- Je suis souillé.. Je voulais pas... Je voulais pas qu'on me prenne.. J'ai l'impression d'avoir été souillé.. D'être sale.. Je voulais pas que tu éjacules en moi.. Je-je voulais pas être pris comme une femme..

- D-désolé. Je voulais pas que tu te sentes ainsi. J'ai agis par impulsivité. Désolé.. m'excusais-je en le prenant dans mes bras. 

- Je.. Je pourrais jamais oublier.. Je.. Va-t-en.. Je veux plus te voir..

- Livaï.. Je suis vraiment désolé.. Je voulais pas que tu regrettes.. Tu semblais aimer..

- J'ai aimé ! C'est juste que je me sens souillé.. Tu m'as souillé.. Et ça, je ne l'oublierais jamais..

- Pardonne-moi... Pardon.. C'était pas mon intention.. Je voulais pas.. Pardon.. 

J'ai posé mes lèvres contre les siennes, tendrement. Je n'ai pas osé les bouger, par peur qu'il ne m'en veuille encore plus. Mes yeux se sont posés sur la semance qui collait contre sa peau, sur son torse et entre ses cuisses. Je les ai refermé, emprisonnant encore plus ses lèvres. Il finit par me repousser délicatement, la tête basse.

- Sort..

-... D'accord.

Je me suis levé avant d'attraper mon vêtement et de le remettre. Je lui ai jeté un dernier regard avant de partir à contre-coeur. 


Pdv Livaï :

Une fois que le grand blond doit parti, je me suis relevé douloureusement avant de partir prendre une douche. Une fois sous l'eau, j'ai posé mon poing contre mon coeur, en colère. Sérieusement, c'est moi qui disait que notre relation n'évoluera jamais, alors pourquoi mon coeur palpitait !?


Coucou !!! Alors, je m'excuse de publier si tard, ma deuxième dose m'a presque tué le bras. Aussi lourd qu'une pierre. Bref, j'espère que ce chapitre vous a plut, sur ce bisous les poulpes !

Fais moi voir ton doux sourireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant