[Sans x me] Un nouvel humain?

Chapitre 17

Une heure et demie plus tard, il se réveilla. J'avais pu m'occuper tranquillement avec mon téléphone en traînant sur les réseaux sociaux. Je devais l'avouer, j'avais pris quelques photos de lui en train de dormir avec moi. Je le trouvais trop adorable, cela me faisait plus de photos avec lui.

« ... hmm ? ....j'ai dormi combien de temps ?

- Un peu plus d'une heure, pas longtemps.

- ah... ok.
hey, on dirait bien que j'ai fait....

- Sans non.

- sans ouiiii.
on dirait bien que j'ai fait.... la grass- aprem... heeeeeeey..

- .... comment tu fais pour être autant en forme même pas 5 secondes après t'être réveillé ?

- les blagues fusent comme une fusée dans ma tête, tu sais ?

- Pfff... haha. »

Je le poussa gentiment devant moi.

« hehe.

- Tu t'arrêteras jamais.

- nop, même toi tu seras jamais épargnée. j'sais qu'en vrai t'aimes bien.

- Tu peux arrêter de t'introduire dans mon esprit stp.

- hehe, j'te connais trop bien.

- Bon, on y va ? Il est déjà 17 heures et j't'ai toujours rien acheté...

- tu vas réussir à trouver, t'inquiètes pas. bon, bah j'vais chez moi en t'attendant. j'vais, euh, essayer de parler à paps....

- Courage, mais c'est ton frère, tu verras qu'il te comprendra.

- merci léa... prends soins de toi.

- Nan, surtout toi, prends soins de toi. Tu devrais le faire plus...

- ...heh. j'sais... »

Il nous retéléporta au stands. Je venais de me rendre compte qu'il y avait effectivement autre choses que des stands de nourriture.

« on s'voit tout à l'heure, ok ?

-  Ouii, à toute. »

Et il disparût. Je me retrouvais finalement seule, dans Snowdin, au milieu de pleins de monstres. Je n'avais pas le temps de penser à cela, je devais trouver un cadeau pour Sans.

POV: Sans

Je me téléportai devant ma maison. En attendant que Léa revienne, je voulais parler à Papyrus de certaines choses... Je lui cachais beaucoup mes sentiments et je savais que cela lui faisait de la peine, alors je voulais m'en excuser et tout lui dire. J'étais vraiment nerveux, j'avais peur de l'inquiéter... je ne voulais pas que mes problèmes jouent sur son morale. Tout ce que je voulais, c'était que lui soit heureux. Mais devoir penser à moi, c'était tout de suite plus difficile. Je pris mon courage à deux mains et entra.

« heya frangin. »

Il se précipita vers moi et me pris dans ses bras.

« C'EST MAGNIFIQUE SANS, BRAVO POUR TON COUPLE AVEC L'HUMAINE. LE GRAND PAPYRUS EST TRÈS FIER DE TOI !

- hehe... merci... tu sais, j'suis vraiment heureux.

- C'est vrai ? WOWIE, DEPUIS LE TEMPS QUE TU N'AVAIS PLUS DIT ÇA !