L'an 1990 09 _ 8 h quelque part en Amérique central
Il est 8 H, et je suis sûr que ce n'est pas la plus merveilleuse des idées d'être là !
Une sonnerie retentissante comme une multitude de petites cloches se font entendre, des cris de tendres enfants s'entendent au loin et pourtant, je ne suis toujours pas convaincu que ma mère et l'assistante sociale, met tout dits ! Dans ce dédale d'enchevêtrement de ressenti, d'émotions et de couleurs que les crapahuteures, pressé d'entrer en classe, mon moi intime pendant ce temps-là n'étais pas prêt et pourtant, il fallait y aller.
Cette fraîcheur du matin mélangé aux diverses senteurs que ces enfants et adultes avaient pris le temps d'aspergé sous leurs aisselles, mais que les plus vantards eux s'étaient baignée avec leurs vêtements, montais en mon esprit de vive angoisse que ne voulais notamment pas laisser transpiré aux adultes.
En aucun cas, j'aurais voulu qu'on vienne me cajoler, me dire.
_ : "ho, le petit qu'est ce qui t'arrive !
Ta maman va revenir, tu n'as pas à t'inquiéter, nous sommes là avec toi ".
Non, en aucune façon, mon ego me laisserait lâché une larme après tout ce qu'il s'était passé. Mis à part que le monde occulte m'apparaissait d'une clarté que peut ne peuvent entrevoir, mon plus dur combat viendrais du monde de l'émotion là où tu ne peux nier là où toute les discutions s'entremêle avec un fond de décors que certains arrivais nettement à cacher, mais qu'il m'était inconcevable de ne pas ressentir, même l'entourloupe quand bien même cet individu aurait été un spécialiste du mensonge.
Et en effet, c'était pour la même raison que j'évitais de regarder n'importe lequel des interlocuteurs, tant que mes yeux ne heurtaient le visage d'autrui mon esprit étais au calme. Tant que la voix de tel ou tel personnage ne m'était pas familière, pour moi, j'étais en danger, et puisque nous en sommes là, je peux même vous certifier que les femmes aussi jouissent de ce pouvoir, en écoutant celle-ci, on peut déterminer qui nous parle, son tempérament, sa masculinité, sa force narrative et psychique déterminant une bonne ou mauvaise intention.
C'était cette capacité modeste qu'il mettait accordé.
Vous me direz, et pourquoi certaines femmes se font enlever. Ou même agressez. Tous simplement par ce que certaines ne suscitent pas à leurs intuitions certaines fois, elles sont fatiguées pour de multitudes taches et raison sociétales que nous savons tous, comme là été ma mère.
Avant d'être dans ce foyer, le soir après les cours, je sortais de l'école et la seule envie étais d'aller vagabondé et je n'avais que sept ans et quelquefois, je partais deux jours sans rentrer. J'entreposais mon sac devant la porte, la maison étais remarquablement petite, elle était tout juste assez spacieuse pour moi et mon frère qui lui est arrivé nettement après. Tellement était elle, petite, cette maison qu'ils nous arrivaient d'être souvent rattrapés par notre mère quand nous avions commis des bêtises.
Communément, parce qu'elle avait égaré un objet ou celui-ci étais cassé et qu'elle savait exactement ou pertinemment qu'elle l'avait laissé à telle place ; ou parce que mon humble frère s'amusait à engloutir ces biscuits qu'elle aimait tant.
Mais quoi qu'il en soit, elle en a eu marre de mes brèves escapades nocturnes et commença à faire appel à la police municipale qui eux à leurs tours ont exposé le sujet aux services sociaux. Ce qui me valut, vous l'aurez compris, le pourquoi et le comment je me retrouvais dans ce lieu, avec d'autres gamins comme moi-même ou si ce n'est plus coriace que je ne l'étais moi-même.
Étant donné que je me suis retrouvé certaine fois seul, j'utilisai comme à habitude et pour ami, une invention que l'homme eu bon d'inventé qu'il désignait la télévision, la toute première fois que j'en vis une, c'était bien entendu chez Man Anita (ma grand-mère) à cette époque une télévision possédait trois boutons, le son, la couleur et un autre pour changer, zappé sur les trois chaînes uniques qu'ils existaient ; C'est en cette période que j'étais tombé sur un reportage donnant lieu à la vie en meute des loups.
Je m'en suis rappelé, puis ce qu'appart le don de l'occulte que Dieu m'avait accordé et la fine extra-lucidité, je savais que ça me serait à peigne suffisant, moi le tout petit garçon quelconque par rapport au grand costaud qui pour je ne sais quelle occasion pouvais exiger un dû leurs appartenant pas. C'est à cela que le royaume des animaux n'était pas si différent du nôtre.
Il me restait à faire vite, trouvé un camarade, mais cela ne s'obtiendrait pas tout d'un coup et certainement pas d'un claquement de droits et aussi facile qu'on pouvait l'imaginé, car j'appréciais la solitude d'autre fois j'aimais observer longuement les autres, scruté leurs gestes anodins par rapport à une solution un dilemme, une question me restais malgré tout en tête combien de temps je resterais dans cette prison dorée.
Si ma mère me disais : " je t'aime, mon fils " à cet instant précis, je jure que j'aurais pu lui dire qu'elle mentait, tellement la peur, l'angoisse et incertitude des lieux me rendais triste.
Malgré, ce là, au plus profond de moi, une voix me réconfortait, une voix que j'avais pris pour habitude d'écouté et c'étais d'ordinaire au moment où j'en avais le plus besoin, ne me demandé pas comment cela m'arrivait, car je ne s'aurais l'expliqué c'étais comme ça, c'est tout !
Je suis sûr que, vous aussi, vous vous êtes déjà aperçu qu'il vous manquait un objet quelconque malgré le nombre de fois cette voix vous la répétez, mais que vous, vous êtes acharné ou obstiné à ne pas satisfaire ce besoin de vérifier qui vous aurez pris quelques secondes en avançant pour qu'en dernier ressort devant votre porte, votre clé manquante, et que pendant tout ce temps vous auriez pu courir derrière ce véhicule vous saisissant des clés puisque que c'est le dernier lieu envisagé par déduction.
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Puisse t-il voir le jour.
SpiritualDès sa naissance, Laha a attiré l'attention des anges et des démons qui se sont approchés de lui en chantant l'interdiction de révéler ce lieu. C'est pour cette raison qu'il est né, frêle et plus petit que les autres, avec une corde autour du cou : ...