Quand la brume s'épaissis et que le Soleil laisse sa place à la nuit. Le froid l'encourage, certains diront même que certains insectes s'enfoncent dans le sol et part ailleurs que d'autres sortent pour la chasse. Quoi qu'il en soit, le combat dans ce climat pour l'infiniment petit ainsi que l'infiniment grand est alors bousculé tel l'ordre des choses.
Les géants d'un monde, sont pour d'autres les petits d'un autre et que la nature, quant à elle, reste la plus cruelle d'entre tous.
Plus maligne, plus féroce et plus vorace.Dans la hiérarchie animale, le prédateur reste le monstre.
Il est vu comme celui qui tue, car nul autre ne, ne lui barre la route, bien qu'il le face pour vivre.Peut-être avons-nous une idée préconçue qu'est le monstre qui régit sur une planète. Et inversement peut-être qu'elle sera la proie, d'un astre, d'une comète, une preuve que la vérité n'est pas toute simple toute faite.
Bien que son appétence n'est d'autre que le cycle de la vie.
Cette machine a broyé la chère, et à casser les os n'a pas de cesse de côtoyé le temps. Nul autre déduction puisque cet allié l'aide et nous dessert dans son humble besogne.Elle est tout aussi capable de belle chose.
Tandis que la biosphère s'acharne, à lutter pour vivre et survivre à quelques pleines lunes et marées montantes.Elle, elle cherche une ou des formules, des stratégies, quels que soient les subterfuges pour détruire, mais également donné la vie.
Oui, elle est d'une extrême efficacité dès lors qu'il s'agit de faire évoluer une vie, un virus, une maladie, un cancer, une génération, un pouvoir, une humeur, un monde, une punition.
Que nous le voulions ou non ! Ne pas le voir, l'admettre, c'est renier l'existence en elle-même du temps et d'une créature.
Ce seraient un travail, un passe-temps, un plaisir s'il était permis de lui attribuer un tel sentiment ? !
Elle jette son dévolu sur ce qui n'est point évoluer, comme pour dire que la vie est éphémère et qu'il lui appartient a qu'à elle seule le droit légitime d'en décider.Quelque part ailleurs...
Oui, j'ai bien envie de faire comme Lucifer. Personnage sacré pourtant vu et décrit comme mal sain.
Michael : " Gabrielle pour l'instant ce n'est en effet pas le cadet de nos soucis, à l'heure que nous s'en sommes en temps et en lumière, il ne faudrait rien faire "
Gabriel : "Oui bien sûr et laissé leur réseau exécuté leur basse besogne, pourtant il y a quelque temps, tu protégeais leurs choix que me vaut ce revirement, quand on sait que c'est l'enfant qui t'intéresse".
Michael :" shut, le voilà qui joue ".
Gabriel : " Tu vois ce que je vois."
Michael : " Effectivement, je vois ce que nous voyons".
Gabriel : " Par la grâce de Dieu, Michael, tu nous as fait entendre de meilleures blagues, garde ton sérieux, tu veux bien, mais pourquoi ce garçon reste fixé sur nous, il ne nous voit pas pour autant. Il ne représente aucun danger, Michael ?!".
Michael : " Il ne nous voit pas, mais je pense qu'il sent qu'il se déroule quelque chose".
Gabriel : " Ha oui ! Et explique-moi comment ça s'errait possible ce n'est plus un bébé !".
Michael : " Ce n'est peut-être plus un bébé, mais son troisième œil est constamment ouvert, ce qui effectivement ne devrait pas ! "
Gabriel : " Je te propose, de passé à un autre espace temps. Ça évitera de nous faire remonter nos ailes !".
Michael : " Ha, mais n'est-ce pas une blague ça ? Je te pensais moins joueur voyons voir si toutefois son pouvoir ne lui fait pas défaut. "
Gabriel : " Je te répète que nous n'avons pas le droit d'intervenir au prêt d'eux. Et puis d'ailleurs comment va, tu t'y prendre sachant qu'il peut ressentir notre présence ? "
ET tout à coup, on entendit : " lio, il est midi, à table va te laver les mains et t'installer pour que je puisse te servir ".
Mais en venant vers lui, elle resta figée comme pour les moments quand elle s'assaillait sous sa véranda le moment ou la sensation de l'aiguille cet instant ou les médiums, guérisseur, raboteux ont l'instinct, le frisson ou se déclare à peigne une fine odeur d'eucalyptus avec la chaleur de bien-être, elle ne comprenait pas pourquoi la balle était en haut de l'arbre dénommé le fromagiez, un arbre avec des épines si pointu qu'il était impossible de grimper par sois même, lâchant des boules de cotons se baladant quand elle tombe telle des flocons de neige si bien qu'il était impossible qu'il soit suspendu à l'une des plus grandes branches.
Elle le tenu par son épaule gauche et l'accompagna tous en douceur sans lâcher du regard tous en faisant des petits pas.
Gabriel : " Pourquoi ri tu Michael ?".
Michael : " Nous aurons de sérieux problèmes et je suis persuadé que cette grand-mère ne nous rendra pas la tache facile ! ".
Gabriel : " Ce n'est pas une grand-mère ordinaire, elle connaît la magie ainsi que les remèdes razziés.
Michael : " Que Dieu lui-même nous protège !"
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Puisse t-il voir le jour.
SpiritualDès sa naissance, Laha a attiré l'attention des anges et des démons qui se sont approchés de lui en chantant l'interdiction de révéler ce lieu. C'est pour cette raison qu'il est né, frêle et plus petit que les autres, avec une corde autour du cou : ...