Chat et grain

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Qu'est-ce que c'est, d'où cela vient, de quoi parle-t-on ?

On évoque un mot ici qui rappel une émotion d'un sentiment que tout humain comprendra et éprouvera à un moment de son existence, oui tous, nous aboutirons à l'heureuse découverte d'une sensation fugace aussi intense soit-elle, mais qui n'arrivera qu'à des moments propices et pénibles, car généralement inattendu sans pour cela disposer de la réponse de cette visite impromptue.

D'un sentiment qui transforme l'humeur, d'une action d'une pomme dans la bouche avec son goût âcre parce qu'elle ne vous dira jamais qu'elle est inconsommable.

Et pour mieux vous détournez de ce sentiment de désarroi, elle sera rouge à l'extérieur pour être juteuse à souhait tant que vos lèvres n'en prendront ce subtil arrière-goût, qui s'en nul doute provoquera la cause d'une vue défaillante.

Oui, ni nos œils ni nos sens ne seront aussi développés qu'en l'instant ou la mouche prendra son temps pour ce posé, puisqu'elle, en revanche s'aidera de son odorat ainsi que d'autre sens.

Vous, vous perdrez en cherchant à éclaircir la cause de cette déchéance de vos tumultes débâcle en y espérant déchiffrer un sens.

 Nous autres humains capables d'exceller quand il s'agit d'amour à cœur perdu feindrais la possibilité de ressource par pure peur.

Les animaux quant à eux sont savants parce qu'ils sentent dans l'instant et c'est là que mes recherches, nous emmènerons et porterons, vers ce qui n'est caché à la vue de tous, visible aux extra-lucides et aveugle au grand public en tout cas pas tant que nous continuerons à faire souffrir les êtres aimés en nous bornons. Et pour cause, vous en conviendrez.

Par là, j'entends vous raconter, ma propre expérience. Celle ou j'ai rencontré ce foyer ainsi que mes excellents amis d'enfance avec lesquels certains ne le sont plus, car mort ou perdu de vue.

Le premier fut...Malti puis Cibri ou Gérald, le premier, on s'est chamaillé pour je ne sais quelle histoire, mais il est devenu mon amie, parce que nous avons donné le dernier coup de tibia ensemble.

Oui, certains d'entre vous jugeront cela grotesque, mais les enfants demeurent des enfants par leurs actions et ceci font d'eux ce qu'ils sont ;

Innocent représenterait le terme exact pour le second, il n'a malheureusement pas survécu à ce coup de couteau et n'est plus de ce monde, très triste de l'apprendre, je peux vous le dire clairement, car quand j'ai su, je n'étais même pas sur le territoire qui plus est, se faire tuer par quelqu'un de son propre quartier, c'est comme qui dirait.

Perdre la vie, accidentellement, ce qui a l'avis de sa mère ne tiendrait pas la route si toutefois la question lui était posée.

Cibri, dans son enfance était un bagarreur, c'était le boxeur par excellence, robuste et pour notre âge émettais une voix imposante, mais profitais à mal de ses caractéristiques ou capacité. Si mes souvenirs son bon, il en ressortait vainqueur la plupart du temps, et tôt ou tard ça n'aurais pas pu finir autrement.

Très loin de là sans l'être

Avé :

_"OUMmmmm, alors comme ça un enfant arrive à vous d'émettre de vos pouvoirs". Comment vous dire la stupeur d'apprendre du monde d'en bas ce qui se tramait et c'est bien pour cela que la phrase rien ne reste caché, prendrais tout son sens. "

Michael ange :

Puis-je me permettre de vous couper mon seigneur ?

Gabriel à juger l'affaire en laissant l'enfant avec sa flamme alors je n'ai pu agir comme vous l'avez ordonné et c'est en escale que les choses se sont un peu compliquée !"

Gabriel ange :

Mais ma parole, Michael, tu te démets de la faute comme si tu n'étais pas présent ! De mieux en mieux ! Je devrais...

Avé :

Silence ! Je vous en prie, voyons n'avez-vous pas compris que toute chose se faisait en temps et en espace voulus ! Vous êtes là à souhaiter m'expliquer qu'un adolescent est en trin de vous mener l'espace-temps impalpable.

D'après ce qui m'est parvenu, il écrit ses propres vers concernant notre manière de mystifier ce monde et vous pendant ce laps de temps, vous vous chamaillez et faites des sérénades en essayant de refaire le monde ! Que dois-je croire ? Que dois-je penser ?

Me serai-je fourvoyé concernant les qualités vous prétendant, mes enfants ? Où dois-je me dire que l'un de vous cherche à me duper dans cette tache ? Visiblement, vos ailes ne vous sont d'aucune utilité, je devrais couper court à cette conversation comme l'idée de vous couper de vos propres aillent ou de vous laisser volé de vos propres aillent ?

N'est-ce pas de l'humour du grand art Gabriel ? Toi qui te pensais plus intéressant que ton frère. Ta blague m'est venu à moi comme un son de clochette, comme les brebis de berger s'en allant en pâturage.

Vous devriez le savoir depuis le temps, me connaissant se partageant notre monde et le leurs.

À chaque fois qu'un humain arrive à faire rire ses semblables, mes enfants, l'humanité, c'est un son de cloche en quelque sorte qui me parvient et qui me fait sourire tout au temps, alors oui ta blague m'a fait certes rire, mais il va falloir vous ressaisir !

Je ne vous demanderais pas comment vous aller vous y prendre, mais je sais que d'une manière ou d'une autre cette tache sera accomplies et que la prochaine fois quand je vous reverrais, c'est parce que cette histoire n'existera plus.

Gabriel :

Mon seigneur, vous qui connaissez tout et voyer tout en entendement en pensées, pouvez, vous, nous en dire plus ?

Pourquoi cette enfant, que représente-t-il ? Mis à part le fait qu'il puisse connaitre notre monde ? Je ne me vois pas du tout enlever son souffle de vie.

Avé :

Ha!! Gabriel, Gabriel, Gabriel. Tu ne ressens pas les choses comme ton père l'entend, c'est dommageable et tu souhaiterais y mettre un doute, saches pourtant que mes voix sont impénétrables. Mais disons que je puisse me tromper et que nous continuons à le laisser prospérer parce que c'est ce qui va se passer avec toutes ses connaissances.







Puisse t-il voir le jour.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant