Puisse t-il voir le jour.

Un nouvel espoir

C'est en balbutiant, ou en humectant nos lèvres de sang que nos actes acquières entièrement tous leurs sens, de nos émotions ainsi nous prenons acte que nos vies ne tienne qu'à un fil, et que la balle qui pénètre la chair laisse des cris, des peurs, des cœurs meurtris, nous rappelant qu'un souffle de vie demeure un bien inestimable.

Tout ce sang, qui a coulé, demandera vengeance, comme tout acte inachevé supposera sa fin. Aussi puissions croire que s'il demeurait un dieu qui puisse laisser faire une telle accalmie, de telle chose sois jugé de n'être qu'un demi-dieu car ça unique raison d'exister ou préoccupation si t'il en avait une, signifierais qu'il ne soit pas capable de contenir cela !

Dans ma tête, j'entendis : "saute, saute, et tu verras, tu n'y penseras même plus " en entrant dans cet ascenseur et à la vue de l'indicateur, les chiffres analogiques m'indiquaient le nombre 13.

Énormément de sujets sont traités là-dessus, était-il là, pour m'accorder une chance ? Est-ce porteur de bon augure ?
Pouvons-nous y croire ? Pensez que le mal n'existe pas, que la vie ne se résume qu'à vivre sans s'énoncer de question ?

C'est ce que je tentai de nous faire comprendre.

Chaque acte commis aurait son impulsion, son énergie émettrice, sa destination, son processus décisionnel.

Comme un train empruntant une voie ferrée, mais qu'au cours de son trajet, qu'il y ait un problème d'éguillage ou que celui-ci sois projeter hors circuit.
Nous serions témoin d'un accident, une contrefaçon, un dysfonctionnement dû à la machine, au mieux chercher et contacter un responsable.

Assurément, vous auriez raison. On dit fréquemment, lorsque l'homme ne se procure aucun rapport de causalité entre réalité et faits, à nos réponses, nous intégrons à nos histoires une supériorité mystique dans sa solution.
Autrement dit un dieu, une divinité, force supérieur.

Éventuellement, que vous auriez raison, mais quelques fois en y regardant prudemment, ou à deux fois nous sommes bien obligés de constater que l'arithmétique ne correspond pas !

Si les voix du Seigneur, sont impénétrables, c'est effectivement que nous ne détenons pas toutes les réponses.

Que la dynamique employé n'a de cesse d'exister et qu'ils nous faut interagir avec d'autres schémas, imprégner d'autres expertises, voir explorer l'insondable.

Prenons ou partons sur l'exemple des quatre-chemins (croiser) désigner communément dans les îles quatre chemins.

Certaines personnes pensent que d'autres individus mal intentionné s'amuse à y employer des charmes, on ordonnera des sorciers, malfaiteur, etc. À regarder de plus près, semer leurs pièges. Pourquoi, cela ? ! Pourquoi réalisent-ils cela ?

La première question qui vous viendrait à l'esprit, c'est pourquoi les gens produisent-ils cela ? En y reviendra...

Nous ce qui nous préoccupe, c'est de savoir, la question du pourquoi bien évidemment, la réflexion existentielle sur ce qui est, et entre jeux, mais qui n'est pas physique, visible pourrait-on dire !

Comme quand les branches ainsi que les feuilles de l'arbre bouge et qu'on suppose que cela est dû au vent, mais qu'on ressent uniquement son souffle, ou l'effleurement de ce dernier pour être plus précis.

Nous entendons les choses, des bruits, car il se produit une action, un entre chocs au moment où nous l'entendons comme l'avions qui pénètre le mur du son...
Comme quand vous vous baladez et distinguez les sifflements des oiseaux, le ruissellement de l'eau si vous vous promenez à côté d'un point d'eau, mais c'est exclusivement ce qui est dévoilé, car nos sens ne nous permettent pas la "perception ultime.
Or, si nous étions éduqués à cela, nous aurions peut-être entendu dire l'oiseau : " regardez, les humais viennes dans le parc leurs enfants ont des cacahuètes en leurs possessions, allons nous poser à côté d'eux !
Un autre dans un rang social plus élevé lui aurait rétorqué : "évitons de leur faire peur, car avec la précipitation, nous risquerons de les faire fuir, et aucun de nous s'aurais bénéficier de cela ! Présentement, essayons de résoudre la question métaphysique qui se posais plus en amont a lequel, la question pourquoi certains sorciers si vous m'accordez ce nom jouant en disposant des pièges à âmes ?

Ces personnages jouent dans la sphère du spychisme et de la magie.
S'emparer d'âmes leur accorda peut-être, un pouvoir en plus, une validation de leurs directions envers leurs maîtres que sais-je ?
Mais croyez-moi, et soyons en sûr qu'il existe des règles immuables dans la nature, et que celui qui ne les respecte pas en payerait les conséquences.

Pas si loin que ça...

Michael ange : "
Tu as vu ce qu'il écrit ? "

Gabriel : " j'ai vu !

Michaël ange : et tu ne comptes ne rien faire.

Gabriel : " et tu souhaiterais entreprendre quoi, non, parce que dois-je te rappeler, c'est qui c'est passé avant ! "

Michaël ange : " ho ! Arrêt, il a eu de la chance, c'est tout. Sa grand-mère était dans les parages. Moi personnellement, elle ne me fais pas peur du tout ! ".

..... Gabriel Posa, les yeux sur Michaël et s'exclama avec un ère souriant et moqueur : "oui, assurément, c'est pour cela que nous en sommes au point similaire et que nous n'avons toujours pas pu expier notre labeur ! ''

À cet instant précis, un rire se fit entendre, à la main un arc puis des ailes s'offris à leurs visions.

Gabriel : qu'est-ce qu'un séraphin fait ici, à la base, ils ne sont pas censés faire les gens tombé amoureux ! "

Michaël ange, se mit à rire très fort à l'écoute de la blague de Gabriel, puis Gabriel le suivis à pleine George ensemble, ils pouffèrent.

Le séraphin leurs dits à peu près ceci, avec le regard mitigé : " oui, c'est cela, fendez vous la poire bande de nullissime.
Ne reste pas moins.
Votre créateur m'envoie, vous fait dire qu'il serait préférable que vous rentriez, car des nouvelles lui sont parvenues et qu'ils souhaiteraient vous en faire-part. "

Et juste avant le départ de celui-ci, Michael lui dit : " et c'est toi qu'il a choisie pour nous prévenir.''

Et c'est alors que les deux anges se mirent à rire de plus belles en jacassant " wa haaaa, cra, cra cra, cra !