Dans un monde où la gloire et le règne font rage à défaut du marasque des milliards d'images de nos portables.
Ces petites machines, importent-elles d'avoir divers aspects approchant la vérité que de certaines faussetés falsifiant et facilitant l'horreur devant les dieux que nous ne sommes pas.
Dans une immensité monstrueuse à laquelle nous devrions tous prendre en compte tandis que la planète, quant à elle avec ses milliards d'années est en proie aux turpitudes d'existence de l'homme.
Qu'elle soit rationnelle ou pas au fait qu'elle y représente plusieurs univers.
Certaines vies tirent leurs évolutions dans un sens ou dans un autre à une quelconque doctrine, d'un dieu, baignant dans une solitude de l'esprit en sommeil abyssal ?
Est-ce de cela qu'il en est question ?
Théoriquement, nous sommes en 2704 et pendant que je vous racontais mon histoire dans le monde réel, il y eut une troisième guerre planétaire. Elle ne dura pas très longtemps, fut brève bien évidemment. Il eut pas qu'un perdant à tout cela, vous vous en doutiez.
Du nord à l'ouest et du sud à l'est, tous nous furent touchés, géopolitiquement ainsi qu'économiquement.
Les États-Unis furent anéantis, annexés en plusieurs bastions modestes ou les survivants se battant pour la survie comme en Europe à l'insu de l'Asie qui elle, seulement, fut souveraine.
Bien que nous puissions croire que ce résultat serait fait par nos amis les extraterrestres, ça ne représenta pas le cas puisqu'ils restèrent impassibles à notre dévouement à vouloir détruire. Autant dire que leurs préoccupations étaient ailleurs sauf dans cette galaxie.
Pour autant, le problème ne fut pas résolu.
La plupart des checkpoints étaient gardés par des anciens combattants qui tous s'opposaient à l'Europe et à l'Asie.
Il y avait des périodes de grand froid ou le soleil était à peine visible si bien que les moments exceptionnels de pluie, où cette dernière s'effondrait, les gens s'abritaient de peur que les radiations ne leur abîment pas la santé.
D'autres fois, le soleil pouvait faire office de radiateur puisqu'il résistait à la nuit clémente jusqu'à tard dans l'obscurité de celle-ci.
Ce n'est qu'au lever du jour qu'on pouvait s'attendre aux fameux chants des oiseaux et aux divers rapaces qui finissaient de se restaurer sur les divers cadavres.
Aussi, il n'était plus question de certaines contrées touchées non, le vent ainsi que les orages pouvaient désacidifier des structures bâties pourtant réputés solides.
Certains volcans sous les mers avaient refait surface et d'entre eux en émanaient de vives odeurs jaunâtres pestilentielles comme pour nous dire que nous le méritions.
La végétation devenant agressive et pour peu, il fallait savoir où mettre les pieds au risque de se faire happer ou piquer.
On les dénommait les Vécés rouges, car reconnaissable par une grosse pétale de fleur qui servait à leurrer leurs proies.
Capable de vous endormir sous la piqûre non-mortelle expulsée par le bouton de la fleur, qui paraissait toute belle et redoutable en même temps.
Vos séquelles en représenteraient pendant un temps, la perte d'orientation avec de vives brûlures ainsi que des vomissements pour les moins endurant face à de telles douleurs.
Nous nous sentîmes dépassés lorsqu'ils nous arrivèrent de penser parfois que nous étions en plein cauchemar éveillé.
Le gouvernement, une chimère de démocratie ou l'état français n'existait plus ou du moins, ce qu'il en restait avait intégralement disparu.
L'architecture de la fameuse Tour dénommée Eiffel présentait elle aussi son éclat d'antan, mais perdu sa splendeur puisque ses deux pattes arrièrent étaient ce qui faisait d'elle la moitié d'une œuvre inachevée à l'image d'un sphinx, d'une stèle oubliée de l'antiquité pharaonique disparue.
Et comme toute civilisations, il arriva des points de chute où rien ne puisse arrêter son élan.
L'Arc de triomphe monument historique couper en deux surplombant un trou béant, de plus dans la capitale.
Chaque petit quartier constituait un bastion.
Les jeunes qui possédaient les armes à feu puis l'alimentation, sans parler de la plus puissante des ressources, l'eau potable !
Ceux-ci s'enfermaient en troquant leur propre sécurité grâce aux nombreuses milices constituées par d'autres jeunes de banlieue populaire.
Bien qu'avant cette guerre, le pays n'allait pas si bien étant donné que politiquement le protagoniste Namur qui dirigeait une des parties de l'extrême droite en promulguant la violence et la haine raciale pour justifier l'insatisfaction de certains cadres dirigeants derrière des argumentations en occultant les vraies problématiques.
Toutefois, ceux-ci étaient dans des arrondissements où peu de communauté éclectique se côtoyaient prônant à peine l'amplitude et l'entière exactitude de leurs pensées dépourvus de sens.
Honnêtement les quelque rares cameras qui servaient aux quelques riches qui s'étaient enfermés lors de la déclaration de guerre furent visionnées aux heures de grandes écoutes aux alentours de 19 h 30.
Beaucoup d'autres avaient péri lors de leurs fuites sous terre dans des booms cœurs (bunkers). Leurs systèmes d'aération étant défectueux, obsolètes n'élaboraient pas convenablement le travail souhaité.
Il n'obtint pas non plus d'accusation concernant le sujet. Car les chaînes d'informations n'eurent pas à le faire au vu de la situation que vivait le monde, sans parler en temps normal du mensonge ou de la calomnie prédisposant leurs secteurs.
Les circonstances firent que l'information du moment était en boucle, que ce soit sur une chaîne d'infos ou de divertissements. On pouvait zapper et se rendre compte que cela ne valait pas le coup.
L'instant d'après, Laha finissais d'écrire comme lâcher par son inspiration ou l'esprit qui lui dictait par médiumnité tandis que Cibri, perché en haut de l'escalier, observait.
"Oua'w ! Comment fais-tu pour écrire lui disait " Cibri " avec une telle aisance ? "Je n'en sais rien" lui répondit Laha.
Pourtant, depuis longtemps, je t'observe et je ne t'ai jamais vu ou presque déplier ou consulter un article, un livre se rapprochant de quoi que ce soit de littéraire.
Tu m'expliques ? !.
Sans le fixer, en demeurant le nez plongé dans ces mots, Laha finissait d'écrire et fixa son stylo puis avec un air chaloupé, croisa ses jambes et lui dit à peu près ceci : " tout ce que je sais, c'est que les mots me viennent comme lier, un peu par automatisme ou alors m'interpelle.
Le reste, je le schématise par la suite pour en dresser quelque chose de lisible, de concret ou d'à peu près correct pour être assimilé. Quant à l'âme du texte, c'est un peu plus compliqué à expliquer ou du moins cet aspect demande un peu plus d'esprit, mais si tu le concèdes, je pourrais t'en dire plus.
Cibri lui répondit : " je voudrais, que tu m'expliques effectivement si tu veux bien, et je dois reconnaître ton excellente vivacité intellectuelle, même si je reste dubitatif devant le faite que tu me fasses penser à un écrivain, sachant ce qu'il souhaite faire passer comme message me paraît profitable et de bonne augure au vu du nombre accru de personnes qui te liront.
Laha : "Dans la vie, il y a des opportunités à saisir selon ta chance, selon ta direction ainsi que tes choix. Mais saches que c'est toi qui en prends le contrôle, que tout art est sujet à une forme de politique. Tout ça pour te dire, qu'il n'est rien qui te soit impossible de faire.
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Puisse t-il voir le jour.
SpirituellesDès sa naissance, Laha a attiré l'attention des anges et des démons qui se sont approchés de lui en chantant l'interdiction de révéler ce lieu. C'est pour cette raison qu'il est né, frêle et plus petit que les autres, avec une corde autour du cou : ...