Maigre consolation

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Hôpital de Strasbourg 16 h 30.
Un son aigu de grésillement se fit, comme pour une interférence hertzienne.

Et c'est alors qu'il ouvrit les yeux, bien que sa visibilité lui troubla la vue et le fit entrevoir sa chambre peinte en fond bleu.

Et tandis que la Télévision jouait sur une chaine d'information indiquant, des grèves concernant les cheminots. Où l'on pouvait distinguer un journaliste ne pas se satisfaire de la réponse de son opposant.

Ce dernier eut une idée puis penchant la tête sur la droite vit ainsi un bouquet de fleurs avec quelques tulipes dans son vase bleu.

Voulant élucidé l'énigme de l'offrande et de son hôte, il entreprit la recherche de la télécommande. Qui lui permettrait de se relever lui et son buste en l'aide de la remontée mécanique du lit.

Ce qu'il fit. Guettant un indice, une carte pour d'étriqué et mettre fin à cette interrogation lassante. Que lui faisait endurer ses méninges.

Malencontreusement, il ne trouva aucune carte, ni indice prouvant la bienveillance d'autrui. Et pourtant, ce pot de fleurs, n'aurait pu se déplacer seule.
Encore faudrait-il attendre la venu d'une ou d'un infirmier pour affirmer les faits et mettre fin à son questionnement.

Il lui restait alors une supposition.  
L'attente ainsi que le temps comme deux frères se promenant en guise de dénouement, dans une vallée à l'aube d'un village.
Alors le seule, moyen qu'il lui était donné, offert demeurait l'esprit, la réflexion, ou gamberger ! 

Ne dit-on pas, qu'en chemin perdu, le mieux à faire serait de rebrousser un retour de là d'où les gens viennent ? .

Seule une mémoire tampon de ses débats métaphysiques entre l'entité et lui avant sa perte de conscience lui subjuguais. Il ne pouvait y avoir, que cela ! C'était la chose unique qui avait de chronologique dans son intervention cérébrale.

Et d'un coup, celui-ci perçut un cliquetis ténu dans un coin à gauche de la chambre prêt de la télévision, mais ne demeura personne.

Puis il laissa échapper : " il y a quelqu'un, c'est toi ! " Et laissa basculer sa tête vers l'arrière sur sa taie d'oreiller ainsi que sa main gauche sur son front pestiférant : " ça ne va pas chez toi, mon pauvre, tu commences à vriller seule mon gars. "

Puis la télévision changea de chaîne. Ce qui l'interloqua !
Bon sang ! Que se passe-t-il ? Se disait-lui-même ? 

Il interpréta une voix qui détendit un sourire ! Et penchâmes sa tête du côté gauche. Vue Luci souteniez sur le mur l'épaule droite.
Les bras entrecroisés avec les jambes également croisées. Faisant virevolter sa queue rouge ou but duquel la forme représentais l'embout d'une flèche. Comme un chat impatient de recevoir sa gamelle ainsi qu'un immense sourire lui mentionnant : "hey bien, mon coco, tu as aperçu le diable ? "
Laha employa un plaisir à lui répondre : '', mais qu'es ce qui ne tourne pas rond chez vous-même ! ? N'avez-vous pas eu, assez avec mon souffle coupé ? ! 
Souhaiteriez-vous que mon cœur s'arrête ?
Et c'est alors que Balthazar apparut à son tour en mentionnant après coup : '' Excusez-moi patron, l'espace-temps me perturbe toujours autant avec un restant de vomi au coin des lèvres. Recroquevillé pour le dire ! "

De son côté laha pestiféra :" he bien, non-content d'avoir voulu me paralyser le cœur, j'ai aussi droit à la secrétaire ! "

LUCY : ho woh, il est rempli d'humour ce petit ! 
Tu assistes à ça ! Balthazar ?

Balthazar : " évidemment patron, c'est ce que j'allais vous dire ! 

" Il répond, toujours comme ça votre toutou ! " Lu teint Laha.

Balthazar, un peu remonté, lui répondit : " je vais t'écraser le petit moucheron ! 
Et à peine que Balthazar n'ai pu lui répondre en avançant que Lucy prononça, en lui barrant la route avec un geste de l'avant-bras à son guerrier : "
Tout doux Balthazar, en lui ne loge pas un homme candide qui te fera perdre ton sang-froid, quand même ! ? '' en souriant.

Laha : "Non, mais vous savez que nous sommes dans un hôpital ici et qu'une infirmière risque, mais le " toc toc" d'une des phalanges de quelqu’un venait de tapoter ! 

Ce qui l'interpella le mit maladroitement à l'aise. La poignée s'affaissa et la porte s'entrebâilla, c'était une infirmière.

Infirmière : " ça va, jeune homme lui soutenait-elle ? "

Laha : "oui, cela peut aller.

Et fit mine d'arranger sa taie d'oreiller pour observer si les deux visiteurs étaient, toujours là.

Infirmière : "dites -moi, avant d'entrer, j'ai cru vous entendre discuter avec quelqu’un ! ? "

Laha : "Abon ? Non pas du tout, c'est la télévision lui lâchas t-il ! "

Laha : "Du reste, pourrait-on savoir quand es ce que ma sortie sera autorisée s'il vous plaît ? "

Infirmière :" dès que le médecin en chef l'aura décidé, d'ici là vous ne bougez pas ! Lui certifia cette dernière comme pour un enfant qui serait tenté de lui assigner d'autres questions.

Elle se dirigea vers la plaquette accrochée au pied du lit pour inspecter, les informations lui concernant. Elle présentait une allure non-chalande, mince de taille et jeune de typesse caucasienne, chevelure noire. Mesurait-elle à peu de chose près 1 mètre 70 ? Éventuellement, était-elle fatiguée, en ce jour du Seigneur ?
Difficile à dire, car Laha semblait planer, au vu du sérum qui lui passait dans la veine. 
Elle-même était sortie avec des amies la veille ?

Cependant, est-il, que ce dernier (médecin en chef) était écrit et mentionné que le cas du patient semblait troublant et que celui-ci avait été retrouver inconscient.
Et bien que les témoignages ainsi que les tests médicaux, n'avaient rien décelé d'anormal. C'était la raison qui stipulait, l'interdiction de la sortie du patient sans autorisation du médecin-chef.
En quoi une priorité de signalement pour quiconque, qui chercherait à le faire sortir.

Effectivement, tout subterfuge serait le bienvenu en attendant les consignes. C'était en cela, la réponse de cette infirmière. Qui fatiguait, de la veille ne voulais pas à avoir à donner d'intérêt ou plus d'informations.
À la sortie de cette dernière de la chambre plus tard. Lucy avait pris plaisir, à décortiquer la situation, comme le ferait un magicien en prestidigitation un manipulateur de Polichinelle, un marionnettiste. Car il savait, que le garçon en poche représenterait une bataille en moins une force en plus, une guerre véritable pour ses opposants. C'est du reste, pour cela qu'il lui souffla. Le mensonge, de l'infirmière. Ce pour quoi qu'il ne devrait nullement s'en prendre à elle directement car fatigué de la veille. Sans compter du mot du médecin-chef sur la plaquette. Oui, ce ne représenterait en rien l'ange préféré du créateur, s'il ne pouvait pas entrevoir vos pensées ! Et vous aidez à lui lisser la queue. À l'esprit brillant, aux intentions diablement perspicace.

Puisse t-il voir le jour.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant