Chapter 37 :

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Je vois Payton appuyé sur son oreillette.
alec : vous avez une piste ?
Nous ne répondons pas, c'est juste pour qu'ils entendent tous.
logan : maintenant que les présentations sont faites, vous allez pouvoir me dite ce que vous foutez ici.
toi : je ne sais pas, tu fais quoi à une fête en général ?
Il s'approche un peu plus que moi.
logan : arrête ça tout de suite.
Payton me tire et se met devant moi.
logan : je parle à ta meuf là tu permets.
payton : tu peux très bien me parler à moi. on travaille ensemble.
Je me mets à côté de lui.
toi : on se calme les enfants. je vous rappelle qu'il y a du monde autour.
logan : cassez vous et tout ira bien.
toi : ferme ta gueule et tout ira bien aussi.
Son regard vir au rouge. On dirait que je l'ai mis en colère.
logan : je t'ai déjà dis de ne pas jouer à ça avec moi.
Un bruit strident retentit à l'autre bout de la salle : un cris. Logan se précipite vers ce cris. Je regarde Payton, nous le suivons. Nous débouchons dans une salle vide. Logan se retourne et nous regarde étonné. Je ferme la porte derrière moi et sors mes dagues. Il est évident que je n'ai pas le temps pour discuter et que j'attendais juste le bon moment pour dégainé.
logan : c'est quoi ça ?
Alec arrive avec les autres.
alec : parfait, on est juste là pour empêcher que vous droguiez tous le monde, faites comme si nous n'étions pas là.
logan : vous vous foutez de ma gueule ?
jace : non.
logan : si vous voulez le prénom du chef ou je ne sais trop quoi vous pouvez aller vous faire foutre.
toi : ça tombe bien, ce n'est pas ce que l'on veut. jusqu'à preuve du contraire on n'est pas de la DEA.
logan : les quatre qui viennent d'arriver non mais toi et ton petit copain je doute.
payton : rassure moi tu le fais exprès ?
logan : de ?
toi : tu ne t'es pas dit que nous travaillons tous ensemble ?
logan : si.
alec : alors si je ne suis pas de la DEA, ils ne le sont pas non plus.
Je range mes dagues et me dirige vers la porte.
toi : vous avez encore besoin de moi ?
alec : non. et toi non plus Payton.
Nous sortons. Payton démarre et roule jusqu'à chez lui. De mieux en mieux !
payton : avant que tu ne gueule pour rien. j'ai beaucoup trop envie de dormir pour aller jusqu'à l'Institut.
toi : tiens donc la bonne excuse ! je vais rentrer à pieds.
payton : à 23h30 ! rêve ma belle.
Il me prend par les hanches et me pousse à l'intérieur. Je me retrouve mais je suis beaucoup plus proche que prévu. Je suis collée à son torse. Je me retrouve donc à presque chuchoter contre ses lèvres.
toi : tu es au courant que tu ne peux pas me kidnappé tous les soirs ?
Il ferme la porte d'entrée du pieds et me pousse vers l'escalier.
payton : et qu'est-ce qui m'en empêche ?
toi : tu n'as pas le droit c'est tout.
Il rigole. Et je crois que je fais la chose la plus débile du monde. Je me mets sur la pointe des pieds (même si j'ai déjà des talons), et colle mes lèvres aux siennes. Il pose directement ses mains sur mes hanches et me porte pour que j'enroule mes jambes autour de ses hanches.

Samedi 30 juillet :

Et pour le deuxième matin d'affiler, je me réveille dans les bras de Payton. Enfin là en l'occurrence, c'est plutôt lui qui est dans mes bras. Je suis allongée sur le dos, il est allongé sur moi. Mais ce n'est pas la question. Même si un peu quand même. Je ne peux toujours pas bouger sans le réveiller et encore une fois, il a besoin de dormir. Heureusement que Anna passe le week-end chez ses grands-parents, il pourra un peu plus se reposer. Des pas se font entendre dans les escaliers et se dirige vers la chambre de Payton. Je n'ai pas rêvé, il a bien dit qu'Anna n'était pas là. Par réflexe, je ferme les yeux et fais semblant de dormir. La porte s'ouvre.
?? : Payton je pensais avoir été clai- t/p !
Premier point, c'est Faith. Second point, il va falloir que j'ouvre les yeux, ce que je fais. Je me les frotte légèrement, la lumière qui vient du couloir est particulièrement horrible ce matin.
faith : qu'est-ce tu fais là ?
Mais c'est quoi ce ton ma parole !?
toi : je dormais jusqu'à peu.
faith : ne te fou pas de ma gueule, tu es nue dans le lit de mon frère.
Ah oui effectivement.
toi : en quoi est-ce tant un problème pour toi ?
faith : tu lui as brisé le cœur.
Tout de suite les grands mots !
payton : et c'est mon problème, pas le tien.

À suivre...

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