𝔏𝔞 𝔪𝔬𝔯𝔱 𝔳𝔞𝔦𝔫𝔠𝔯𝔞 ( sanzu x reader )

~ chapitre 15 ~

Au restaurant c'était la même ambiance de joie et de bonne humeur, malgré ça tu sentais que sanzu n'était pas totalement avec vous.

Cependant tu ne lui fit pas remarquer.

Ran était parti chez Makima. Rindou, inui et kokonoi étaient repartis à la maison. Sanzu voulais t'emmener quelque part.

Il te fit monter les escaliers extérieur d'un immeuble pour finalement atterrir sur le toit de celui ci.

Vous vous étiez assis tous les deux sur le bord pour regarder la ville.

Sanzu : fait attention de pas tomber. Ça serait dommage.

T/p : ... oui.

Sanzu : tu sais, je venais souvent ici avec ma famille.

T/p : ta famille ?

Sanzu : oui. J'ai une sœur et un frère.
On s'entendait super bien quand on était enfants, malheureusement ils ont pris des chemins différents.

T/p : comment ça ?

Sanzu : ma sœur est devenue chef de gang. Le Brahman. Et mon frère lui c'est le numéro 2.

T/p : ils te manquent ? Pourquoi vous vous êtes séparés ?

Sanzu : a la base je faisais parti du toman. Mikey était tout pour moi. J'ai du le quitter pour ne pas lui poser de problème avec ma sœur. J'ai rejoins Izana et maintenant mikey nous a rejoint. Ça repart du début. Et malheureusement ce que je craignais va arriver.

T/p : ce que tu craignais ??

Sanzu : on va affronter le brahman.

T/p : tu ne veux pas t'attaquer à eux n'est-ce pas ?

Sanzu : non.

T/p : tu n'est pas obligé d'y aller tu sais.
Je peux le faire à ta place.

Sanzu : tu n'iras pas. Ma sœur à toute la 1ère génération du black dragon sous ses ordres. Ce sont des monstres de puissances, je ne veux pas que tu te fasse rétamée en 1 coup.

T/p : j'irais. C'est même pas discutable.

Sanzu : ne me force pas à le répéter. T'a pas le niveau.

T/p : entraîne moi alors.

Sanzu : c'est dans 1 mois. Tu y arriveras jamais.

T/p : je te promets que j'y arriverais, je te laisserais pas seul face à ça.

Sanzu : je veux pas qu'on te fasse du mal. Si t'a pas le niveau, j'me débrouillerais pour t'éloigner, de gré ou de force.

T/p : j'aurais le niveau, cherche pas. Je commence demain.

Sanzu : je t'entr-

T/p : non c'est pas toi qui va m'entraîner. Je vais demander aux deux frères. Mon test d'aptitude sera de tenir face à toi. Donc il ne faut pas que je m'entraîne avec toi.

Sanzu : .. d'accord.

Tu t'étais allongée sur le sol de l'immeuble en contemplant les étoiles. Il avait fait de même, plus un seul mot ne sortait de vos bouches. Vous étiez rester comme ça un bon moment avant qu'il ne trahisse le silence.

Sanzu : je sais pas comment te le dire. Je te le montre peu être pas assez, mais sache que je t'aime, j'ai même pas les mots pour décrire à quel point c'est fort. Tu es une partie de moi dont je ne peux plus me séparer, j'aimerais que toi et moi ça dure jusqu'à la fin. Jamais je ne t'abandonnerais.

T/p : je ressens la même chose. Je t'aime tellement sanzu tu es clairement l'homme de ma vie. Jamais je ne te quitterais je resterais toujours avec toi jusqu'à la mort. Et je te suivrais dans celle-ci si il le faut.

Sanzu : si je meurs avant toi je ne veux pas que tu me suive. Vis une vie heureuse et meurt heureuse. Je sais que tu ne m'écouteras pas mais s'il te plaît pour une fois.

T/p : de toute façon, tu ne mourra pas, alors pourquoi on parle de ça.

Sanzu : je sais pas.

T/p : on y vas ?

Sanzu : oui rentrons.

Il te pris par la main avant de t'aider à te relever.

Une fois arrivé à la moto il s'installa derrière.

T/p : qu'est-ce que tu fait ?

Sanzu : conduit. Montre moi tes talents.

T/p : sérieux ? Trop bien !

Tu t'installas alors devant et tu démarra la moto. Sanzu avait entouré ses bras autour de toi et avait posé sa tête sur ton dos. Ça t'avais donné des papillons dans le ventre.

Sanzu : tu te débrouille bien.

T/p : hehe t'a vu ça ?

Sanzu : t'es belle quand tu conduit.

T/p : raconte pas n'importe quoi tu le vois même pas.

Sanzu : si je te vois. Dans les rétroviseurs.

T/p : pfff t'es bête.
Dit tu en rigolant.

Voilà ce que c'était d'être heureux. Tu avais perdu ta boule au ventre. Tu l'aimais et il t'aimait, cela suffisait à ton bonheur.

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A suivre