(T/P) est une jeune femme japonaise de 16 ans.
(T/P) est une personne avec son caractère mais ce qu'on retient ce n'est pas ça.
Pleine d'amour, de joie de vivre, de rire, de blagues.
Un visage d'ange, un sourire ensorcelant, un parfum enivrant, une...
Mon réveil sonne indiquant une nouvelle semaine qui commence, le week-end était si bien pourtant.
J'ai passé le reste de ma journée d'hier à dormir, regarder des séries et descendre manger. Rien de très productif.
Mon uniforme enfilé je prends mon sac et descend directement en salle de cour.
J'arrive devant la salle et range mon cellulaire dans mon sac avant d'entrer, quelqu'un ouvre la porte devant moi et me tient la porte.
Shoto : Après toi.
On dirait qu'il s'ouvre au monde celui la en ce moment. Je le remercie par un sourire puis entre et m'installe à mon bureau.
Je me retourne pour saluer Bakugo qui a sa capuche enfoncé sur la tête, je n'ai pas le temps de prononcer quoi que ce soit que notre professeur arrive et prend la parole.
Point de vue de Bakugo.
La porte s'ouvre et c'est l'autre bicolore qui apparaît et non la personne que j'attendais, (T/P) entre enfin et échange un sourire avec Shoto.
C'est quoi ça ?
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Pourquoi ils sont si proche depuis hier ? J'ai loupé quelque chose ? Je ne lâche pas ce pauvre type du regard me demandant ce qu'il peut avoir. Je met ma capuche ne voulant parler avec personne.
T/P se tourne vers moi, je ne lève pas le regard vers elle mais je vois ces lèvres qui s'entrouvent, prêtes à dire quelque chose quand Aizawa arrive.
Aizawa : Bonjour... Oui bon allez vous changer en tenues d'entrainement ou costume peu importe, on se rejoint sur le terrain extérieur.
Et il referme son sac et part en rampant. Avoir un prof normal c'est trop demandé ?
Je me change dans les vestiaires, enfilant seulement une partie de mon costume. Je ne sais pas ce qu'on va faire alors je me dis que je n'aurais certainement pas besoin de mes grenades.
Je suis entrain de mettre mes chaussures et Kirishima s'assoit à coté de moi.
Kirishima : Ça a pas l'air d'aller mec.
Bakugo : Tout va bien.
Kirishima : Pour que tu dise ça c'est évident que non.
Je soupire et me redresse une fois mes chaussures enfilées et mon regard se pose sur le bicolore.
Kirishima : Je vois, c'est à cause de ce que tu as vue dans le bus ?!
Bakugo : Si y avait que ça.
Kirishima : Pourquoi tu dis ça ?
Bakugo : Elle lui a sourit ce matin et je vois bien qu'il se rapproche.
