Sanzu x Oc || Accro à toi

Chapitre 11

Ma main posée sur le bas de son dos, je l'invitais à entrer dans le club en compagnie de mon leader. Je sentais de la tension émaner d'elle, en me dirigeant vers le bar j'en sortais deux verres et une bouteille de vodka.

Sanzu : Viens avec moi ma beauté, nous allons nous asseoir en retrait comparé aux autres membres du Bonten.

Elle esquissait un sourire en continuant de marcher à mes côtés, les bruits de ses talons haut et le bruit de verre qui s'entrechoquaient se faisaient entendre dans cette immense pièce.Nous avions finit par nous asseoir autour d'une table basse plus en retrait des autres, Aoi se laissait tomber dans un fauteuil en cuir rouge avant de croiser les jambes. Mon regard se posait donc sur sa chair dénudée tout en remontant vers sa poitrine, pour venir encrer mes iris bleues dans ses émeraudes. A mon tour je m'asseyais à côté d'elle en sortant mon pochon remplit de gélules d'une main, tandis que je nous servais un verre de vodka chacun.

Aoi : Intéressant ~ Tu comptes me faire passer une bonne soirée ? *sourire*

Sanzu : Ô oui, tu n'as pas idée de ce qui va t'attendre plus tard beauté. *sourire* Mais avant toute chose, je souhaiterais connaître la raison qui te pousse à être préoccupée, je ne te sens pas comme d'habitude.

Aoi : *souffle* Mon père souhaite me marier à un inconnu, et exige que j'arrête de te voir.

Sanzu : Il peut aller voir ailleurs avec son mariage, tu es déjà prise. *sourire* Si il souhaite je peux lui rendre une petite visite, j'aimerais bien m'amuser un peu contre un adversaire qui ce doit d'être redoutable. *sourire*

Je prenais mon verre en même temps que la jeune femme, en avalant ce liquide alcoolisé qui brûlait légèrement en descendant dans notre estomac. En enchaînant en suite sur deux gélules d'ecstasy chacun, je secouais la tête de gauche à droite énergétiquement pour faire passer le tout.

Aoi : Je suis déjà prise ? *sourire*

Elle se penchait sur moi, en posant une main sur mon torse pour se mettre à la hauteur de mon oreille gauche.

Sanzu : Tu sais ma beauté, je n'aime pas partager ce qui est à moi. *sourire*

À califourchon sur mes jambes, son torse contre le mien elle passait ses mains dans mes cheveux, tout en continuant de sourire.

Sanzu : Putains qu'est ce que tu me rends dingue ! *sourire*

Aoi : C'est le but chéri. *sourire*

Elle venait de me murmurer ces quelques mots, son souffle chaud sur ma peau me faisais frissonner. Je plaquais mes lèvres contre les siennes, passant mes mains sur ses hanches pour la serrer un peu plus contre moi.

Sanzu : J'ai envie de te prendre maintenant. *sourire*

La brune souriant en reculant légèrement pour ouvrir mon pantalon, avant de le baisser suivit de mon caleçon.

Sanzu : Tu sais que nous risquons de nous faire attraper. *sourire*

Aoi : Si nous sommes discret, personnes ne saura rien. *sourire*

Sa main droite saisissait mon sexe qui commençait à durcir, ses émeraudes me fixaient pendant qu'elle exerçait des mouvements de vas et viens sur ma verge. Elle resserrait sa prise autour de mon membre en bougeant sa main de haut en bas, de plus en plus rapidement. En même qu'elle me masturbais, je glissais ma main entre ses jambes pour commencer à la caresser, avant d'introduire deux doigts dans son vagin mouillé et serré. Mon autre main se collait contre ses lèvres, afin de l'empêcher de faire trop de bruits.  

Aoi : Bordel Sanzu .. Continue ..

Bien que ma main était posée contre ses lèvres que je désirais tant, elle avait réussie à dire ces quelques mots. Je souriais lorsque je la relevais pour placer mon sexe contre son intimité, une lueur d'excitation traversait mes iris bleutés quand je la baissais d'un coup sec sur ma verge. Ma main libre serrait sa hanche, pendant que mon autre main servait toujours à étouffer ses cris de plaisir.

Sanzu : Chut ma beauté, garde tes cris de plaisir pour quand on sera que tous les deux. *sourire*

Avec ma main sur sa hanche, je commençais à la faire bouger lentement mais profondément. Merde, cette sensation était tellement plaisante. Cette femme aussi belle que dangereuse, me faisait perdre la tête ainsi que tous mes moyens. Si cela ne tenait qu'à moi, je me verrais bien lui faire l'amour tous les jours, ainsi que des journées entières.

Mes coups commençaient à devenir de plus en plus brutales, en essayant de faire le moins de bruits possibles j'accélérais encore et toujours. J'écrasais violemment mes lèvres contres les siennes, pour donner des coups encore plus rapide. Ma deuxième main se plaçais correctement sur elle en serrant d'avantage ses hanches pour la faire sautiller sur mon sexe, en même temps que je mettais des coups de buttoir. Par manque d'air, je me séparais d'elle avant de mettre ma main sur sa bouche. Je réduisais peu à peu la vitesse et calmais mes coups, même en faisant ça je souhaitais qu'elle atteigne le septième ciels,  je désirais la pervertir d'avantage. Parce que je voulais qu'elle donne à moi encore et encore, j'étais accro à son corps, sa personne.

Je n'arrivais plus à réfléchir correctement en sa compagnie, parce qu'elle était devenue ma dose d'héroïne.  

Nous venions de terminer en même temps, je n'aimais pas précipiter une partie de jambe en l'air avec elle. Mais malheureusement, n'étant pas dans un lieu privé je n'avais pas eu le choix que de faire au plus vite. Haletant je la mettais à côté de moi, pour remonter mes vêtements rapidement.

Mikey : Sanzu tu peux venir vite fait, nous avons un problème.

Sanzu : Quel genre de problème ?

Mikey : La famille Sato nous déclare la guerre.

Aoi : Pour quelle raison ?

Mikey : Parce que tu choisis Sanzu à celui qui doit être ton futur époux.

Mon leader retournait s'asseoir auprès des autres, je l'embrassais puis elle se levait pour remettre sa robe en place. Une fois finis, on s'approchait des autres.

Kakucho : Donc si je comprend ce que tu es entrain de nous annoncer, la famille de cette fille décident de nous faire la guerre parce qu'elle a choisit Sanzu au lieu de son pseudo mec ?

Mikey : C'est exactement ça, tu as bien résumé le soucis.

Ran : Tuons les.

Rindo : Rendons la à sa famille, problème résolu.

En attrapant mon arme  j'enlevais le cran de sécurité pour en suite le coller au front du cadet de la fratrie Haitani.

Sanzu : Si tu ne veux pas que je te colle une balle dans la tête, ferme ta putain de gueule ! Elle reste avec nous !

Koko : Réfléchissez deux secondes, vous savez tout ce qu'on pourrait se faire comme fric avec elle dans notre gang ?

Kakucho : Pour une fois l'obsédé du fric dit quelque chose de censé, elle nous ramènerait un maximum de tunes ! On la garde auprès de nous !

Aoi : Même si vous décidez de me garder dans vos rangs, ma famille n'hésiterons pas à vous tuer un à un en finissant par Sanzu.

Ran : Mais merde écoutez moi quand je vous parles ! On les buttes et on en parles plus !!

Mon leader semblait réfléchir, son regard était posé sur ce liquide foncé dans son verre, en attrapant le verre il descendait le contenu cul sec.

Mikey : Ils veulent nous faire la guerre ? Dans ce cas amusons nous. *sourire*

À suivre..