"Ta Pire Obssession" [VilainDeku]

Chapitre 1

Le cri assourdissement de n⁰356 est si excitant que j'en tremble de plaisir. Une vraie bombe à retardement. Le son que sa gorge émet signe de douleur, la gesticulation incessante qu'il a sur mon siège, la morsure sur ses poignets et ses jambes dû à mes chaînes, le sang qui coule avec grâce sur ces plaies, c'est d'un délice... ma jouissance est si proche que je ne peux laisser échapper un gémissement de plaisir.

- Ah... c'est si agréable de te voir aussi prit au piège... je lui murmure dans l'oreille.

Comme seule réponse, un cri plus aigüe me parvient aux oreilles, faisant chatouiller mes sens.

- Calme toi. Tu sais, si tu commence à m'énerver, tu rejoindras ma belle collection.

Du bout de ma main gantée, je lui montre la plus belle chose au monde ; ma collection. On peut y trouver tout de sorte de choses : des bras, des cerveaux, des yeux, des organes et tous autres choses incroyables qui me font palpiter. Bien évidemment, mes échantillons sont rangés par classification de couleur, de sensibilité, d'intensité et de sexe dans des bocaux préalablemment remplie de cellules et de sang pour éviter que cela pourrisse.

- Alors, quand penses-tu ? je lui demande, mon sourire habituel sur les lèvres.

Mais encore une fois, comme unique réponse, je n'ai droit qu'à des hurlements.

Il commence doucement à m'énerver.

Je lui attrape violemment les cheveux par-derrière afin qu'il plonge la tête et le fixe d'un regard mauvais.

- Si tu continues à beugler comme un animal, je te fais exploser la cervelle, c'est clair ?

- Ou... Oui... me répond-il, la voix cassée.

- Bien. Je préfère.

Les minutes passent et n⁰356 à cessé ses cris. Il est plus calme, plus docile mais surtout plus fatigué se qui me permet de pratiquer mes test sur lui.
Aujourd'hui, je vais voir si je peux détruire ses cellules de l'intérieur sans que ça se voit de l'extérieur. J'ai envie qu'il pourrisse comme j'ai été pourrie par lui. Qu'il ressente la douleur de se que ça fait d'être traité de sous-merde continuellement.
Je prend délicatement ma seringue, pompe le liquide violacée et j'enfonce la longue aiguille dans son bras.

- Normalement, tu ne devrais avoir les effets que dans une vingtaine de minutes, je commence à lui expliquer. Au début, tu aura seulement des petits étourdissements, puis ensuite, au bout de quelques secondes, de violents mots de tête suivit d'une forte contraction sur tout ton corps apparaîtront. Après ça, tu va avoir des sortes de brûlures à l'intérieur de toi puis, tu commencera à pourrir, comme une fleur qui se fane peu à peu. Tes yeux vont se mettre à brûler tes rétines et ton cerveau à surchauffer. Résultat, tes organes vitaux vont commencer à gonfler, se qui te coupera la respiration et avant que tu ne meurs, tu explosera. Intéressant n'est-ce pas ?

- Au secours ! hurle-t-il.

Je me rapproche de lui, et lui caresse délicatement le front.

- Ne t'en fais, tout ira bien. Tu es comme un spectacle et je suis ton publique. Donc, impressionne-moi.
Je recule de quelques pas, m'assis sur ma chaise munit de mon carnet et de mon stylo. L'alter de cette personne et de contrer les fortes doses de poison. Donc, étant donné que c'est un mélange à base de gui concentré avec du ricin chauffé à 150 degrés pour augmenter la toxine, les effets seront peut-être plus impressionnants que je ne l'aurai imaginé.
Étant donné que le ricin est un poison nauséabonde, je met mon masque pour ne pas être atteint et attend que ça se passe.

Au bout de vingt minutes et je dois dire que je suis tout émoustillé, le patient résiste à son injection. Mais il ne tiendras pas. J'ai découvert que les sans-alters avaient un sang qui coagulait différemment que ceux chez les alters. Je m'explique. Les sans-alters possèdent, à leur manière, leur propre pouvoir. Pour ma part, j'ai découvert que je pouvais empoisonner à partir de mon sang et peut importe l'alter, les personnes ayant un pouvoir. J'étais capable depuis ma naissance de créer du venin et le doser quand cela me chantait.
Enfin, je guette mon patient avec adeur. Ça y est, ça commence. Numéro 356 commence enfin à mourir. Sa peau autrefois beige se matérialise en une peau remplie de trous, de couleur noir. Et ses crus me font chavirer.