"Ta Pire Obssession" [VilainDeku]

Chapitre 13

- Je n'en ai pas encore fini avec toi Deku...

Alors qu'il venait inserrer ses doigts dans mon pantalon pour venir titiller une partie sensible de mon anatomie, des bruits de pas se firent entendre au deuxième étage.
D'un coup sec, je repousse Katchan et me dépêche de remettre de l'ordre dans ma tenue, voulant a tout pris ne pas montrer à Darling se qu'il venait de se passer.
Néanmoins, mes rougeurs persistaient et cela allait être compliquer.
Pendant que je me rhabillais, je pouvais sentir le regard enragé de Katsuki.
Ma parole, ce type est bipolaire !
Il vient se rapprocher de moi avant de me murmurer dans l'oreille :

- Tu ne m'avais pas dit que tu étais déjà avec quelqu'un, sort-t-il alors que je pouvais percevoir à des centianes de mètres qu'il bouillonnait de colère.

- Tu ne m'avais pas dit qu'au fur et a mesure des années, tu devenais de plus en plus con. Tu ne te rappelles pas ?

Étant donné que Darling prenait tout son temps dans les escaliers, n'étant pas très matinal, je poursuivais ma conversation a voix basse avec Bakugo.

- Tu ne te souviens de rien ? je demande.

- Retraite moi de con et je te jure que ta face sera accroché au mur de ton appartement pendant que je prendrais un mal en plaisir à t'arracher les membres.

Je pouffe, trouvant et visualisant cette scène a la perfecrion.

- Tu n'en serais pas capable.

- Tu me défies ?

- Pourquoi pas...

Nous nous rapprochons et tandis que nos visages ne sont qu'à quelques centimètres, Darling apparait en plein milieu du salon.

- Zuzu, c'est qui lui ?

e me retourne et la vois se frotter les yeux. Je la trouve tellement mignonne dû haut de ses un mètre cinquante. Elle décide de se rapprocher sans pour autant avoir eu la réponse à sa question et vient se faufiler entre mes jambes et mes bras.

- Elle ne te rappelle rien ? je demande.

Les yeux de Katsuki se réveillent enfin et à sa figure, il a des souvenirs de ma petite et merveilleuse princesse.

- Tu as bien dormi ?

- Ça va...

Elle se met a bailler pendant que je vient la poponner de caresses sur son cuir cheveulu. Elle se met a ronronner et la sensation en elle-même m'apaise.

- Dites moi si je dérange, tranche Katsuki.

- Bah techniquement, tu es dans mon appartement, alors oui, tu dérange mais on va s'y faire, après tout, on est gen-til.

Je me permets de bien insister sur le mot "gentil" pour lui faire comprendre que nous ne sommes pas pareil, lui et nous tandis que je peux voir son étonnement sur sa façon de réagir.

- C'est quoi gentil ? Ça se mange ?

- Non. Va voir sur Google, c'est ton meilleur ami. Il t'expliquera tout mais pour l'instant, comme tu va regarder se que ça veut dire, ce serait bien qu'après, tu fasse à manger.

Je lui fais un de mes plus beaux sourire. Katsuki se met a grogner avant de se lever et de partir faire à manger.
Je ne vais pas vous mentir, j'esquive un peu.
À vrai dire, je suis mauvais cuisinier. Il y a quelques années, alors que Darling venait d'arriver dans ma vie, elle goûtait mes plats sans jamais rien dire d'autre que "C'est très bon". Je savais quelle mentait mais cela faisait plaisir qu'elle ne me critique pas. Au fur et à mesure, j'ai essayé de cuisiner mais j'étais vraiment nul. Même faire des pâtes était trop compliqué pour moi. Seul plat que je sais faire et encore c'est le Katsudon et le plat préféré de Katchan. Ces deux là, je sais les faire depuis que la mère de Katsuki, Mitsuki m'a laissé toucher aux poêles et aux autres instruments de cuisines. Ceux là, je les maitrise mais le reste, c'est une catastrophe ! Donc, vu que Karsuki est aussi bon cuisto que Dalring, j'en profite.
La vie est trop courte et mes plats vont la raccoursir encore plus.
Pendant que je câline ma petite sœur, une délicieuse odeur vient embrassé le salon, mettant mon odorat a l'épreuve.
L'odeur qui se dégage des fourneaux me donne l'eau a la bouche. Je viens délicatement posé Darling le canapé tandis que je rejoins Katchan. Je me laisse emporté par la divine fumée nauséabonde et me lêche les lèvres, affamé. Le regard perçant de Katsuki vient croiser le mien, tandis que je me tiens a côté de lui, à l'écart, ne voulant pas gêné.