La Descente Aux Enfers

Le Kodomo no hi fratricide

PDV Takemichi

Nous sommes le 5 Mai, on y est enfin, c'est la grande bataille, on a pas le droit de perdre, pas sur ce coup là, on doit absolument vaincre le Bonten. Le combat commence avec un avantage pour nous, on domine facilement mais Taiju et Mikey reste en retrait. On avance facilement, le Bonten n'est pas si fort que ça en fait, c'est juste Mikey et Taiju qui fait qu'il en impose.

Au bout de quelques minutes, on avance lentement, bien plus lentement, c'est lui, l'inconnu des Akuma, il est là ! Les yeux noirs, les cheveux bleus cachant son œil gauche, l'uniforme du Bonten bleu, il est bien différent des autres. Son niveau est impressionnant, Benkei et Wakasa l'affronte mais on bien du mal. Je profite de ce combat pour avancer mais je commence à remarquer une chose, je ne vois plus Draken, ni Mitsuya.

Je regarde Mikey, il est au téléphone, à qui il parle ? En tout cas, ça n'a pas l'air joyeux, il pleure. J'entends crier et me tourne vers Benkei et Wakasa, ils sont au sol, je fonce les voirs, c'est trop tard, il les as tué. Je fonce essayer de retrouver les autres, je vais avoir besoin d'eux pour m'approcher de Mikey.

Chifuyu m'attrape par le bras et on avance. Ah... une vision... d'horreur... Chifuyu, Draken, Mitsuya, Takeomi, Tensaiji, et, même moi, on est mort... c'est... Taiju... qui nous as tué.

Si je n'ai pas revu Draken et Mitsuya, c'est probablement parce qu'ils sont déjà mort, je me met à pleurer, Chifuyu comprend que ça va mal finir mais avant qu'on est pu réagir, on est poussé dans un endroit désert. Ma vision ne peut être changé... c'est trop tard... Kisaki a gagné...

PDV Mikey

Je viens d'apprendre la mort de Kuraichou, j'arrive pas à y croire... Tant pis, pour le moment, on doit gagner ! Je vois Taiju revenir, je me demande où il était, probablement en train de se battre, il est couvert de sang. Le combat se finis bien vite, l'inconnu des Akuma s'en est occupé seul, on a gagné, désolé, Takemichou.

Je descend mais je ne le vois nulle part alors je cherche. J'arrive dans un endroit où il n'y a personne, c'est pas possible, hein ? Takemichou ? Kennychou ? Mistuya ? Chifuyu ? Ils sont morts, c'est triste, mais, j'arrive pas à pleurer, je me sens comme vide.

Je rejoins les autre et leurs confirment notre victoire, le Bonten à remporté ce combat haut la main.

PDV Kisaki

Parfait, comme je l'avais prévu, Taiju et Mikey sont désormais seul, j'ai gagné, mon héros.

Le 5 Mai 2009, le combat opposant le Senbazuru au Bonten, ce jour là fut appelé le Kodomo No Hi Fratricide. Aux yeux de tous, c'était des amis, des frères, qui avaient simplement eut un différent et s'étaient déclaré la guerre. Une issu terrifiante, la mort des têtes du Senbazuru qui étaient les amis du chef du Bonten, ce jour là, porte bien son nom.

_____________________________________

Informations concernant le Kodomo No Hi (en gras souligné italique, c'est le plus important concernant ce chapitre) :

Le 5 mai, jour férié au Japon, on célèbre Kodomo no Hi 子供の日 littéralement "le jour des enfants", depuis 1948.

En cette journée, on honore garçons et filles et exprime reconnaissance et gratitude envers les mères.

La fête des enfants est une célébration traditionnelle dont les origines remontent à la fête chinoise Duanwu, importée au Japon vers le VIe siècle, sous le nom de Tango no sekku. Il s'agissait à l'époque de conjurer le sort en accrochant un rameau d'iris ou d'armoise sur les portes des maisons.

A partir de l'ère Kamakura, la société japonaise se militarise. Les samouraïs s'emparent de cette tradition et Tango no sekku devient alors la fête des petits garçons. Les familles offrent ce jour-là une partie de leurs armures aux enfants. Aujourd'hui encore, les petits garçons peuvent recevoir un casque miniature richement décoré appelé kabuto. On décore également l'intérieur des maisons d'une statuette en armure, l'effigie de Kintaro, enfant de légende à la force herculéenne.

La coutume veut que les maisons soient ornées de Koïnobori, un mât auquel sont accrochés des manches à air en forme de carpes colorés, en papier ou en soie. Une carpe noire pour représenter le père, puis une rouge pour la mère et enfin une pour chaque enfant du foyer.

La carpe est un symbole de succès, de courage, de bonne croissance, et de longévité.

Valeurs que les japonais souhaitent inculquer aux enfants. La légende raconte qu'une carpe aurait remonté le courant d'une rivière jusqu'au ciel pour se transformer en dragon.

Pour célébrer Kodomo no hi, la fête des enfants, les japonais aiment déguster deux types de mochi :

chimaki: fabriqué avec une pâte de riz cuit à la vapeur et enveloppé dans des feuilles de bambou.

kashiwa: fabriqué à base de riz, fourré avec une purée de haricots rouges et enveloppé dans une feuille de chêne.