Chap 19 - 2: Un incident est imminent

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Le vent à l'extérieur devenait de plus en plus fort. Lovely regarda à travers la vitre et vit les pompiers qui avaient remonté une autre personne. La corde qui tenait le pompier se balançait sous la pluie battante, comme la corde d'un cerf-volant qui pourrait se rompre à tout moment, dangereuse et effrayante: Même pour quelqu'un d'aussi audacieux que Lovely l'était depuis l'enfance, elle se sentait effrayée à la vue d'une telle scène......

Tout ce qu'elle pouvait faire en ce moment était de badiner avec Mayron pour détourner son attention, en calculant mentalement le temps, seconde par seconde ...... elle souhaita qu'il passait plus vite, si seulement, il y avait un bouton d'accélération pour les travaux de sauvetage.

Mayron l'avait probablement compris et continua à divaguer pour lui parler. En ce moment, les "bavardages" de Mayron avaient joué un rôle et avaient plus que rempli leur fonction.

« Lily, pourquoi t'avais choisi ce métier à l'époque? »

La voix de Mayron n'était ni légère ni lourde dans l'hélico, les pompiers et les personnes secourues dans la cabine derrière lui ne pouvaient pas entendre, pourtant arrivés dans les oreilles de Lovely, ces mots étaient extraordinairement forts et perçants .......

Pourquoi avait-t-elle choisi ce métier?

C'était à cause d'un cauchemar ......

Dix-huit ans auparavant, elle avait eu la chance de survivre à un naufrage, mais pour la sauver, sa mère avait laissé sa chance de survivre ....... question de priorisation des vies...
Elle avait été sauvée de la mer par les pompiers et tremblait encore de peur lorsqu'elle était sortie de l'hélicoptère.

Elle se souvint encore parfaitement que le même orage s'était produit ce jour-là. Le capitaine, qui était descendu de l'hélicoptère l'avait ramassée du sol et l'avait enveloppée étroitement dans une épaisse couverture.

Elle avait déjà oublié la plupart de ce que le jeune capitaine lui avait dit ce jour-là, mais à partir de ce moment-là, elle était sûre de ce qu'elle voulait faire à l'avenir .......

La tempête devenait de plus en plus forte, et Lovely était consciente que si la recherche et le sauvetage continuaient, tout l'hélicoptère pourrait être en grand danger, et elle ne pouvait pas commettre même une minime erreur avec un hélico rempli de personnes.

Elle alluma l'interphone: « Capitaine à la radio: la tempête est trop forte et la situation actuelle est très dangereuse, veuillez préparer tout le personnel à évacuer à tout moment. Le personnel chargé de la recherche et du sauvetage doit conclure les recherches aussi rapidement que possible. Terminé. »

« Mais il y a encore une autre personne en bas. » Mayron regarda Lovely, avec suspicion.

Parce qu'aux yeux de Mayron, Lovely avait toujours accordé beaucoup de priorité à la vie des gens. Chaque fois qu'ils sortaient en mer pour des missions, Lovely s'efforçait toujours de sauver tout le monde. Parmi les pilotes de sauvetage qui étaient arrivés au cours de la même période, son temps de vol en toute sécurité était le plus long et elle avait également sauvé le plus de vies.

« Regarde l'orage dehors, si on n'évacue pas maintenant, l'hélico entier sera en danger. » La voix de Lovely était un peu agitée alors qu'elle se connecta aux communications de l'aéroport.

« Aéroport S.M.C.S.M, ici le Capitaine Lovely Diaz de la deuxième équipe de sauvetage, la tempête est trop forte et nous devrons mettre fin aux travaux de recherche et de sauvetage plus tôt. »

« Nous avons vu, d'après les prévisions météorologiques, le prochain orage sera encore plus violent, retournez immédiatement à l'aéroport. Terminé. »

« Reçu. » Alors qu'elle s'apprêtait à raccrocher, Lovely pensa au fait qu'elle n'avait pas dit à ses supérieurs qu'il y avait encore une personne en bas qui n'avait pas été retrouvé lors des recherches, donc elle voulait demander leurs avis : « Aéroport S.M.C.S.M , il y a encore une personne en bas qui n'a pas été secourue, mais notre avion ne pourra certainement plus supporter quelques minutes de plus si nous continuons l'opération ....... »

« Qu'est-ce qui se passe ? » Mayron ajusta son casque. Tout à l'heure, un son inexplicable était venu des écouteurs, puis il avait soudainement disparu à nouveau.

« Allô? Aéroport S.M.C.S.M? » Lovely n'avait pas terminé ce qu'elle venait de dire, mais lorsqu'elle continua, la communication radio avait été coupée.

C'était à cause de l'orage.

« Le contact est rompu. » Alors que Lovely disait ces mots calmement comme si elle était dans un état second, Mayron voulait vraiment exploser et s'enfuir.

« C'est quoi ce bordel ? Qu'est-ce, qu'es-ce... qu'on fait qaund le contact est rompu? » C'était la première fois que Mayron rencontrait une telle situation pendant toutes ses années de vol.

À ce moment, les pompiers avaient finalement remonté la dernière personne secourue, le souffle de Lovely qui était presque suspendu pendant tous ces temps fut enfin soulagée, heureusement qu'on avait pu le secourir ....... ce dernière personne......

Elle n'avait pas à sacrifier celui-là pour sauver tout le monde dans l'hélico.

Un total de sept personnes, sans erreur. Elle faisait le point sur la situation et songeait que le vol de retour se déroulera bien car elle avait terminé avec succès les travaux de finition, lorsque, la dernière personne à être secourue fit un grand bruit à l'intérieur de la cabine.

« Mon petit-fils est toujours là-dessous! Va sauver mon petit-fils, vite! »

C'était la voix d'un vieil homme, Lovely jeta un coup d'œil à Mayron.

« Mayron, tu peux passer voir ce qui se passe? »

Mayron acquiesça d'un signe de tête et retourna dire quelques mots au pompier, mais à sa grande surprise, le vieil homme se précipita directement vers le cockpit et dit à Lovely avec impatience: « Vite, vite, dépêchez-vous de sauver mon petit-fils! »

Étant au commande, ce que Lovely détestait le plus était d'être dérangée, surtout dans une telle situation. Une fois dérangée, toutes ses pensées seront chamboulées.

« Petit-fils? Il y a encore quelqu'un d'autre en bas? » Lovely détourna le regard pour interroger le pompier: « Non mais, pourquoi a-t-on laissé un enfant à la fin? »

La priorité aux personnes âgées, aux enfants, aux malades et aux handicapés avait toujours été une loi dans la société humaine, à la fois écrite et non écrite: l'écrit comme une mesure obligatoire et non écrit comme une mesure morale.

« Je n'ai pas vu le gamin au début.» Le pompier était également surpris : «Bon sang!! ...Vous avez dit tout à l'heure qu'il y avait sept personnes en bas, et selon les exigences de notre travail, Nous avons compté quand nous étions descendus pour nous assurer que c'était le bon nombre. Et c'était bien sept.» Il était également perplexe: « Un de nos collègues est descendu et a fouillé le navire au cas où quelqu'un se serait caché dans un coin. Mais il n'y en avait pas.»

À ce moment-là, un autre pompier était venu parler: « C'est moi qui suis descendu et qui ai fouillé le navire et il n'y avait vraiment personne. »

Lovely sentit que sa tête allait instantanément exploser. Tout à l'heure, le fait de pouvoir secourir la dernière personne en toute sécurité était déjà une chose très difficile. Elle pensait pouvoir s'occuper de toute la situation, tellement soulagée qu'on pouvait enfin reprendre le vol, quand soudain, il restait encore une autre personne.......

« Chef, avec cet orage dehors, le temps de notre vol de retour sera certainement considérablement allongé, et nous pourrions ne pas avoir assez de carburant d'ici là. » Mayron était bien fort en calcul plus que Lovely, qui n'avait pensé qu'à l'impact de la météo sur l'hélico et avait presque oublié s'il y avait assez de carburant ou non.

Au rappel de Mayron, elle avait compris qu'il y aurait de grandes chances que quelque chose arrive à l'hélicoptère entier avec ce douzaine de personnes à bord s'ils ne reprenaient pas le voyage à ce moment-là.

Mayron commença à s'agiter, « Que devons-nous faire ? Ce n'est pas comme si nous pouvions contacter l'aéroport maintenant; personne ne peut se permettre les conséquences si nous prenons une décision irréfléchie. »

« C'est un enfant ...... », Les sourcils de Lovely n'avaient pas été étiré depuis le moment où elle était montée dans l'avion.

Une image d'il y avait dix-huit ans lui apparut instantanément à l'esprit. Sur un yacht privé, appuyée sur les bras de sa mère, attendant désespérément que les sauveteurs viennent à leur secours .......

L'enfant en bas avait probablement à peu près le même âge .......

« Je vous en supplie, sauvez mon petit-fils! Il n'a que six ans! » Le membre de la famille présent dans la cabine avait commencé à faire une scène, et une atmosphère lourde avait envahi la cabine.

À l'extérieur, le vent et la pluie, le tonnerre et les éclairs, à l'intérieur l'atmosphère était déprimante. La double pression rendit Lovely complètement incapable de respirer, elle sentit seulement que son cœur était couvert de cendres mortes ......

'Choisir' fut toujours la chose la plus difficile à faire.

Désormais, personne à l'aéroport ne l'aidera à prendre des décisions. Dans tout l'hélicoptère, elle fut "l'aéroport" et elle était la personne la plus qualifiée pour prendre des décisions sur le cas.

« Pompiers en place pour descendre. » Lovely prit une profonde inspiration, ses yeux devinrent progressivement rouge, et elle serra les dents en parlant.

« C'est dangereux, Chef. » Mayron rappela à Lovely à haute voix: « Si les pompiers descendent maintenant, non seulement l'enfant en bas ne sera pas sauvé, mais les pompiers aussi risquent tous d'être attaqués par le vent et les vagues pendant qu'ils sont suspendus sur la corde. »

Lovely était accablée, elle réalisa que ses mesures actuelles n'était certes pas appropriées.

S'il arrive quelque chose à un pompier, ce sont deux vies qui seront en jeu.......

« Capitaine Diaz, quelles sont les instructions de la poste Co? » À ce moment-là, le chef des pompiers était venu demander à Lovely.

« Temps orageux, contact interrompu. »

Le chef des pompiers avait été réduit au silence et se tourna vers le vieil homme qui avait été secouru: « Votre petit-fils n'était-il pas avec vous quand il était en bas? Alors comment se fait-il que vous n'ayez pas dit qu'il avait disparu tout à l'heure quand on était encore en bas? »

Le vieil homme était anxieux, pensant que le chef des pompiers était en train de le questionner, et son ton devint légèrement plus impulsif: « Vous me reprochez cela ? À votre avis, je ne veux pas sauver mon petit-fils? Dépêchez-vous de descendre et de le faire sortir de là! »

Mayron fut instantanément agacé par le ton du vieil homme, « Je sais ce que vous ressentez en ce moment, et nous pouvons le comprendre, mais si on descend maintenant dans la précipitation, les pompiers vont probablement mourir aussi. Vous comprenez? »

Mayron se donnait coûte que coûte, s'ils continuaient à passer plus de temps, lui et Lovely ne seraient pas en mesure de s'échapper, alors il s'était simplement épanché le coeur pour en expliquer au vieil homme.

« Ce n'est pas ton petit-fils qui est là en bas, alors bien sûr que tu restes là à parler! » Le vieil homme était furieux.

Lovely avait gardé le silence pendant tout ce temps; elle avait en fait un mal de tête extrême qu'elle n'avait pas du tout envie de parler.

Elle s'apprêtait déjà à reprendre le vol. Si elle n'y retournait pas à temps, une douzaine de vies seraient perdues, et lorsque la tempête se combinerait avec les réservoirs de carburant vides, personne ne pourrait les sauver.

« Je ne suis même pas encore marié, comment je peux avoir un petit-fils? » Mayron commençait également à dire des sottises, et il savait lui-même que c'était inapproprié, mais il n'avait pas pu s'empêcher de continuer: « De plus, tout à l'heure quand vous étiez en bas, pourquoi n'avez-vous pas laissé les pompiers aller chercher votre petit-fils d'abord avant de vous secourir? Vous n'avez rien dit, c'est parce que vous voulez tellement vous échapper que vous avez failli oublier votre petit-fils non? »

Les mots de Mayron étaient dans la perte de patience, comme une lame tranchante poignardant directement et précisément le cœur du vieil homme, le laissant silencieux pendant un moment.

Ces quelques secondes de silence avaient été prises à cœur par Lovely, qui demanda au vieil homme en changeant de direction: « Je vais vous poser la même question. Pourquoi, en tant que tuteur de l'enfant, n'êtes-vous pas allé le chercher alors que vous étiez en train de courir pour sauver votre vie? »

« Au début, la situation était critique, je pensais qu'il me suivait! »

« J'ai bien peur que ce n'était pas le cas! » dit froidement Lovely: « Quand mon hélico vient d'arriver ici, l'autre Capitaine m'a dit qu'il y avait encore sept personnes en bas qui attendaient les secours. Pendant une demi-heure, vous n'avez même pas remarqué que votre petit-fils n'était pas avec vous? »

Le chef des pompiers avait aussi soudainement réalisé que quelque chose n'allait pas. ......

« Ah oui, comment se fait-il que vous n'ayez pas remarqué après tout ce temps? » ajouta le chef des pompiers.

Le vieil homme était probablement si désespéré par l'interrogatoire qu'il était particulièrement émotif lorsqu'il répliqua, son visage rougissant comme s'il pouvait avaler de la chair humaine n'importe quand et n'importe où.

« Maintenant vous me soupçonnez d'avoir laissé mon petit-fils pour m'échapper et me sauver la vie? Je vous le dis, si vous retournez maintenant, j'irai alerter la police quand on atterrira et je vous poursuivrai pour avoir négligé vos devoirs, être à votre poste mais ne pas faire ce que vous êtes censé faire, comment pouvez-vous être pilotes de sauvetage ou pompiers si vous ne pouvez même pas sauver les gens? Quel genre de sauveteurs vous êtes? »

À l'entendre, Mayron explosa en injures: « Je te le dis, sans nous, pilotes et pompiers, tu ne sortiras pas vivant de cet vaste océan aujourd'hui! »

Le mal de tête de Lovely se fendait, et les coliques dans son cœur s'intensifiaient alors qu'elle continuait à se faire de souci pour l'enfant de six ans en bas .......

Il est encore si petit, et ce qui l'attend, ce sont de violentes tempêtes et des vagues effrayantes, et son petit corps sera submergé par la mer ...... La douleur et le désespoir que sa mère avait connu il y a dix-huit ans, cet enfant vivra également la même douleur et le même désespoir .......

La douleur qui était comme un copier-coller sera rejouée chez un enfant de six ans.

Ses yeux étaient humides, mais elle ne pouvait pas pleurer, le vol de retour serait encore difficile et il y avait un risque de crash une fois que sa vision sera brouillée.......

« Pourquoi vous avez retourné? » Pendant que le vieil homme se disputait avec Mayron, il vit soudainement Lovely faire demi-tour et commencer à retourner, il comprit que quelque chose n'allait pas et son visage devint tout blanc.

Mayron avait tout compris, il regarda Lovely.

Le profil de Lovely fut doux et joli, mais il semblait toujours être d'acier et tenace lorsqu'elle était en train de piloter.

Elle alluma l'interphone, « Capitaine à la radio: En raison du mauvais temps, l'opération de sauvetage doit se terminer plus tôt, alors, que tout le monde reste bien assis, nous ...... allons retourner à l'aéroport. »

Tout le monde avait entendu le tremblement dans les trois derniers mots de Lovely, sa voix était instable. Pour elle, plus que pour quiconque, elle ne pouvait pas supporter de laisser quelqu'un derrière.

Parce qu'elle avait connu auparavant, elle savait à quel point ce genre de douleur était profond et terrible.......

« Non, tu ne peux pas repartir, tu dois t'arrêter, va sauver mon petit-fils! » L'homme commença à se précipiter vers le cockpit.

Le chef des pompiers l'arrêta rapidement.

«Qu'est-ce que vous faites? C'est le cockpit, vous ne pouvez pas y entrer! »

« Vous êtes sourde? Quelle femme peut piloter un avion! Quelle décision une femme peut-il prendre? Arrêtez ça maintenant! » L'homme cria à tue-tête, et toute la cabine était remplie de sa voix rauque après avoir été exposé à la pluie.

Lovely essuya ses larmes tout en pilotant pour l'aéroport, Mayron regarda en silence, mais il ne dit rien; il faisait juste sa part du travail, essayant de ne pas déranger Lovely autant que possible.

La vocifération du vieil homme continuait, remplissant ses oreilles et rendant ses tympans légèrement enflés et douloureux .......

Elle repensa à la nuit d'il y a dix-huit ans, lorsqu'elle avait supplié les pompiers de redescendre pour secourir sa mère, après l'avoir emmenée dans l'hélicoptère.

À cette époque, elle criait aussi de toutes ses forces, si désespérée et impuissante ....... Cette année-là, pendant tout le temps que durait le vol de retour, elle avait pleuré tellement qu'elle n'avait plus de force; en regardant à travers la vitre de la cabine, tout ce qu'elle voyait était la mer sans fin et les vagues déchaînées .......

Alors que ses pensées revinrent à dix-huit ans en arrière, soudain une main légèrement rugueuse serra fermement sa gorge.

« Argh ...... » Elle n'eut pas la moindre précaution à ce moment-là quand, soudain, des ongles s'enfoncèrent douloureusement et brutalement dans sa peau.

« Qu'est-ce que tu fais? » Mayron fit un pas en avant sans se soucier de rien, et arracha la main de l'homme qui était serrée étroitement autour du cou de Lovely, « Tu veux mourir? C'est le capitaine! Elle est aux commandes de tout l'hélicoptère! »

« Elle a prit la vie de mon petit-fils, et je vais lui faire payer! »

Le ton du vieil homme n'avait rien de différent de celui d'un égorgeur, et Lovely se sentait ridicule et pitoyable à l'entendre.

"Ridicule" à cause de ses mots et le ton de sa voix, "pitoyable" à cause de l'empathie qu'elle put ressentir en raison de ce qui s'était passé à l'époque.

Mais Lovely savait qu'elle et cet homme ne partageaient les mêmes sentiments que pour la perte d'un être cher, le reste, ils étaient totalement différent.......

On dit souvent dans les livres et dictons, que les vieux sont " méchants".
Mais comment on dit déjà?

Ce n'est pas que les vieux deviennent méchants, seulement que les méchants vieillissent...

« Je te le dis, après l'atterrissage, je te poursuivrai en justice pour te faire payer une vie! Tu as encore une chance maintenant, vas-y, retourne! Vous tous! Retournez-y maintenant! » Le ton de l'homme passa de la méchanceté de tout à l'heure à un ton de commandement, comme s'il pouvait donner des ordres au capitaine sur un simple coup de tête.

Le chef des pompiers n'en pouvait plus et commença à psychologiser à ses côtés en essayant de conseiller patiemment le vieil homme.

Les pompiers avaient été confrontés à de très nombreux incidents de ce type et la plupart d'entre eux avaient traversé de nombreuses batailles, mais ils ressentaient quand même toujours le chagrin en voyant de telles scènes.

Après tout, ce gamin n'avait que six ans...

Mais les mots "garder une vue d'ensemble à l'esprit" devraient être respectés par tout le monde dans tous les postes, sans exception. Ils devaient faire une balance.

L'arrière de la cabine était encore bruyant. Mayron continua de surveiller pendant tout le vol pour empêcher le vieil homme de blesser Lovely.

Il vit que les yeux de Lovely étaient toujours rouges sur le chemin du retour, elle n'arrêtait pas de verser des larmes et de les essuyer .......


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Coucou les ami(e)s, 

Chapitres un peu longs parce que je ne sais vraiment pas comment les diviser 😂 (2 fois plus long que d'habitude), j'espère que ça ne vous dérange pas. Enjoy

⊙♂Hasard Codé♀⊙Où les histoires vivent. Découvrez maintenant