Chapitre 4

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Je me positionna donc sur la pierre blanche au-dessus de l'eau. Je regardai le liquide transparent caressé les cailloux du fond. Pourquoi avez-je accepter ? Es-ce que c'est parce qu'il connaissait mon nom ? Où parce que de toute façon j'avais nul part ou aller ? Où alors car on a le même ennemie ? « Les ennemies de nos ennemies sont nos amis », une phrase que m'avait appris mon père. C'était pour cela alors ? J'aurais trouvé une partie de ma réponse. Les questions dans ma tête s'enchaînèrent, plus de réflexion, pourquoi les gens meurt ? Pourquoi d'autre les tues ? Pourquoi ?

« POURQUOI ? criai-je dans un excès de rage

- Parce-que les gros poisson mange les petits...

- Qui es-tu ? Demandais-je en m'approchant des lames qu'il y avait à mes pieds

- Je devrait te retourné la question, et que fais-tu là ?

- Ces deux questions te revienne de droit !

- Bien, mon nom tu l'auras pas, or la raison de ma venue...

- Parle !

- Eh doucement ! Je suis Eraser...

M*rde, pensais-je

- Je viens faire mon job, c'est-à-dire tuer quiconque ce trouve dans cette grotte...

Double m*rde

- Maintenant qui es-tu ?

- Je suis Akuma Kororo dernière du nom, lançai-je en déployant mon alter

- Ooh ! La fille de l'impertinent Diablo...

- IMPERTINENT ! C'EST CE QUE TU AS DIT ?!

- Exact, il souriait »

Sans est assez. Ma rage s'empara de mon corps, je ne contrôlais plus rien. Mon corps s'élançait vers ma cible, les lames pointé vers les points vitaux. Loupé ! Je fit volte-face et repartit à l'assaut. Cette échange durant une dizaine de minutes. L'eraser n'avait lancé aucune attaque, et cela m'agaçait encore plus. Le seul mot qui sonnait en ce moment était « tuer ». Mon énergie vitale engloba mes lames de façon à les prolongé à la manière de sabre. Je tendit d'un coup mon sabre et toucha mon adversaire. Celui-ci prit enfin du sérieux au combat. Dans ma fureur je n'avais pas vue, que Dabi regardait le combat attentivement. Je vais me le faire, il vas regretté son affront. Et si...Voilà ce qui faut faire... A ce moment là je recula de trois pas, et regarda mon adversaire avec insistance, si il meurt personne ne verra mon véritable alter. Un sourire semblable à celui, que mon maître m'avait fait avant son départ, se forma sur mes lèvres. L'eraser fronça les sourcils, il ne pouvais plus bouger. Je ris à gorge déployé.

« Alors Monsieur l'eraser, tu peux plus bouger ?

Logique je contrôle son sang.

- Qu'es-ce que tu m'as fait ? Tu as deux alters ?

Il avait peur je le sentait, j'aime ce moment, je veux qu'ils durent plus.

- Perspicaces, j'ai deux alters, je peux contrôlé le sang de mes victimes

Toujours sous l'emprise de ma colère, celle-ci s'élargit. Je m'approchait du paralysé, je mis dans son dos, puis colla ma lame sur sa gorge.

- Pourquoi tu as peur ?

- ...

- Es-ce que j'étais ta cible dit mon tout, je te cache pas que tu va mourir...

- Je suis un envoyé du numéro 2 pour éliminé les potentielles personnes pouvant te faire gagner en force.

- Tu as dit le numéro 2 ? Endeavor ?

- Oui...

- Il commence sérieusement à me gonfler !!!

J'enfonçai légèrement lame.

- Qui était tes suspects ?

- Himiko Toga et Tomura.

- C'est qui cela ?

- Tant mieux si tu ne les connaît pas je vais pouvoir faire mon rapport !

- Tu oublie une chose.

- Ah ouais et laquelle ?

- Les gros poissons mangent les petits ! »

A ces mots je fis descendre son sang dans ses pied puis lui trancha la gorge. Je jeta le reste de la dépouille dehors. Ce qui ne m'avait pas calmé. Je sortis, sans remarqué que Dabi me suivait. La sortie débuchait sur le haut d'une montagne. L'odeur du sang ! Résiste ! Tu as reçu un entraînement pour répondre à son appel, mais résiste ! Ah, et puis m*rde ! Je me rua sur un randonneur qui passait en-dessus et l'égorgea d'un seul coup. Je continua ma course, une dame était assise sur un rocher, je positionnai derrière, puis à main nue je lui retiras le cœur. Une fois l'organe dans ma main je le fis explosé. Puis je sourit, c'est bon je suis calmé.

« Tu es une vraie furie chère élève...

- Maître, dit-je en m'inclinant

- La colère ne te sortira pas de toutes les situations ne l'oublies pas, alors ma réponse ?

- Les ennemies de nos ennemies sont amis... Et aussi je vous fait confiance.

- C'est une réponse plutôt satisfaisante.

- Avez-vous assistez à tout mon combats ?

- Évidement, je n'en pas raté une miette, c'était incroyable... Mais ça manquait de tactique, tu as gagné par chance, ton adversaire t'a sous-estimé... Raconte moi plus sur ton alter, si tu l'utilisait pas c'est qui doit avoir une raison.

- Oui, quand je suis « normal » je peux contrôlé mon sang et celui de deux autre personne, le problème est qu'étant petite mon père m'a appris à répondre à l'appel du sang. Si j'ai utilisé mon alter juste avant, je n'arriverai plus à me contrôlé. Autrement je ne peux pas me retenir de tuer des gens. Ce sont mes première victimes, les autres était juste gravement blessés. Quand je décide de me transformé en dragon je peux contrôlé le sang de toute personne se trouvant à proximité...

- Super, où est l'inconvénient ?

- Après être dé-transformé je ne peu plus contrôler le sang des gens, juste le mien. Si je me force à essayé de maîtrisé le sang d'autrui alors le « dragon » passe au-dessus de ma volonté et c'est le massacre. Je peux réutilisé mes pouvoirs en toute sécurité qu'après 2 ou 3 heures.

- Tu t'entraîneras. »

Je n'arrivait pas à y croire, j'ai tuer les première personne de ma vie ! Es-ce que je dois m'en réjouir ? Non, je ne pense pas, Momo n'aurait pas voulu ça ! Mince, j'ai oublié ! Il faut que j'aille voir Shoto ! Comment je vais m'éclipser ? Improvisation ! :

« Ah....euh..en faite...

- Bah, quoi ? Me dit-il en tirant une grimace d'incompréhension

- Euh...

- Oui...

- Il faut que j'y aille je serai de retour avant 19 heures !

- Quoi ? »

Discrétion raté, je m'élança dans la direction opposé à la sienne. Si il le voulait, Dabi-sensei m'aurais rattrapée sans aucune difficulté. Je me retourna et vit sa tête exaspéré me faisant signe de partir. Ouais, il est comme ça... Je rigola toute seule en allant au lieu de rendez-vous. C'était un parc, il y avaient les cerisier en fleurs, les bassin habité par des carpes et seulement quelque bancs. Je cherche Shoto des yeux, aucune trace de lui, je m'avança dans les allés, puis enfin le vit adossé à un arbre regardant au loin. A mon arrivé, il leva à peine les yeux, et me fait signe de m'asseoir.  

Akuma KororoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant