Chapitre 31

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Les champs, les arbres, les voitures, la musique grésillante... Si insignifiante, mais qui désignait pour nous un nouveau départ. Loin, loin de Yuei, loin de la league. Dabi conduisait qui était diriger pas Natsuo qui avait le GPS. Fuyumi regardait les champs par la fenêtre du côté droit. Shoto, lui était au milieu, il a sa main à l'intérieur de ma cuisse. Moi, ma tête se reposait sur son épaule. Bon, il est possible que des fois ma main se baladait sur ses abdos. Mais ça, tu es le seul/e témoin;). On était arrivé dans un village calme, entouré d'arbre. C'était ici où on avait acheter une grande maison traditionnelle. Quand je dis grande c'est grande ! C'était l'ancienne demeure d'un samouraï et de ses trois concubines, si bien quand faite il y a quatre maison reliées, et un jardin en son centre. On avait choisit celle-là, comme ça on pouvait vivre plutôt indépendamment. Je m'explique, Natsuo aura la maison appelé « Nan » Sud en japonais, Fuyumi elle avait la parti « Higashi » Est en japonais, Dabi lui avait « Nishi » Ouest en japonnais et nous (Shoto et moi ) on avait la parti Nord « Kita ». Dès notre arrivé, l'agence immobilière nous avait donnée les clefs sans poser de questions. J'allais vivre avec Shoto, le rêve. Au début c'était difficile, il fallait trouver un travail, car oui il nous restait un peu d'argent mais pas pour le reste de notre vie. Fuyumi avait repris son ancien métier, elle était enseignante dans une classe de CE1. Natsuo lui s'était présenté pour travailler dans le restaurant du village et avait obtenu le poste avec une facilité déconcertante. Shoto, lui faisait des petits boulots, car il avait pas fini ses études, comme moi de base. Mais moi et Dabi, on s'est engagé dans la « dark police » ! Ça claque hein ? Mais en faite ça consiste à faire les missions dans l'ombre de la police : mission où l'ont met sa vie en jeu par exemple. C'était super bien payer, et en plus contrairement au mission de Shigaraki, là ça ressemble à un « Mais où est Charlie ? C'est pas lui là-bas en fluo ? Ah bah si ! ». Le cadre était agréable, loin de toutes les pulsions qui me pousser à tuer. D'ailleurs, c'est sûrement pour ça que j'ai perdu le lien avec Arashi. Ma poche vibrais, je sorti mon téléphone, c'était un message de Fuyumi « Rejoins-nous en haut de la montagne ! ». Je fus très surprise, mais je me dirigea vers la fameuse montagne. Grande, puissante majestueuse, le seul moyen de monter au sommet c'est d'escalader la paroi rocheuse. Je fis quelque étirement, puis bondis en m'agrippant au prise cacher derrière la mousse. Je suis bien rouillée, il y a un mois je l'aurai franchi en cinq minutes. Eh oui, ça faisait déjà un mois qu'on s'était installés. Ma maîtrise du sang c'était nettement détériorer ,et j'avais perdu ma maîtrise de mon énergie vitale. Je m'avançai sur la vaste étendue du haut de la montagne. Je vis au loin quatre personnes se chamailler amicalement, je devinait Fuyumi debout en essayant de calmer ses trois frères, Natsuo était en train de m'imiter tandis que Dabi avait le rôle de Shoto. Quand à ce dernier, il était en train de séparer ses grands frères. Je me positionna derrière les deux marioles, en faisant mine d'être entrée dans une rage folle.

« Ah ah, ironisai-je le regard noir

Natsuo et Dabi se retournèrent brusquement, et se mirent sur leurs genoux pour me faire pardonner. Fuyumi rigolait. Je mit a ébouriffer les cheveux des deux frères en rigolant.

- Vous auriez du voir vos tête c'était légendaire !

- Akuma ! On faisait ça pour rigoler, pfff, nous nous pardonner devant une fille ? répliqua Natsuo gêné de s'être fait avoir

- Vraiment ? Rallais-je avec Fuyumi

- Pardon ! »

On re rigolait. Je m'assis à côté de Shoto pour écouter Fuyumi. Elle expliqua ce que j'avais constater tout à l'heure, qu'il fallait se ré entraîner pour retrouver l'usage parfait de nos alters. On acquiescent tous déterminer. Depuis, on se retrouve tous les jours en haut de la montagne pour s'entraîner. On retrouva assez vite notre ancienne souplesse et habileté. Notre vie a tellement changé, mais des fois je ne peut pas m'empêcher de penser à la league que j'avais laissé, à Hiku, à Kage, à Papa, à Maman, à Arashi. Es-ce que c'est le chaos ? Es-ce que moi choix est égoïste ?

Peut-être mais j'aurai pas pu avoir une autre occasion. Et en récompense j'ai eu le plus beau des cadeaux, être avec ceux que j'aime et voir le sourire de Shoto. Que demander de mieux ? Ma vie est parfaite, moi et Shoto on s'aime énormément, je pense que ça s'arrêtera pas, même à la mort.  

  

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Akuma KororoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant