Dominatrice

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Par la suite, Maîtresse Sako m'autorisa à travailler avec elle, je commençais à travailler et me surnommai maîtresse Misa. Je suis contente de ce que je fais. Les personnes sont aux louanges pour ce que je leur fais.


Petit à petit, je le fais seul avec les personnes qui ont des demandes spécifiques et puis je suis tombé sur une personne qui me connaisse bien. C' était un animateur que j'ai eu il y a des années et que je m'entendais bien, j'étais juste un enfant quand on s'est connu.


Il a bien changé physiquement ses cheveux sont devenu plus sombre, ses yeux très assombris comme s'il essayait de cacher un mal-être en lui, le visage bien défini.


Mais je pense qu'il m'a oublié depuis toutes ses années, à vrai dire, les personnes changent mentalement et physiquement.


Progressivement, il me pose des questions sur moi et sur mon passé. Je me dis que ce n'est pas si grave et puis qu'il faut créer un lien de confiance pendant ces séances et que j'assume ce que je suis devenue, il n'y a pas de honte à ce que je sois dominatrice.


Puis je me fais vraiment des idées, les personnes que j'avais avant lui, ne me poser pas de questions sur ma vie ou sur mon passé.


Quelques jours plus tard, il est revenu pour une séance avec bien évidemment avec moi.


Quelle question va-t-il me poser cette fois-ci. Franchement, je suis vraiment curieuse.


L'ancien animateur m'a posé la question :« Misa, est ce que j'étais ton animateur quand tu étais petite ?»


Je ne pouvais pas lui mentir et puis je n'aime pas du tout mentir, ça ne ferais qu'empirer la situation, donc, je lui avoue la vérité « bien sûr » avec un grand sourire.


Sa réaction m'a vraiment surprise, je ne pensais pas qu'il serait content de me voir dans cette situation.


Je pense que les personnes normales sont hyper gênées ou serais en mode fuite.


La séance se termine.


Je vais récapituler la chose, je lui ai fait toutes les méthodes de bandages pour qu'il arrive à réaliser, qu'il m'a déjà connu dans un passé. Au point que je lui faisais du mal.


Le journal de MISAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant