Fantastique ? (Encanto)

Chapitre 6

1 mois c'était long. Même très long. 1 mois privait de sortie. Mais quand c'était privé de sortie, c'était vraiment un confinement ! Il n'avait même plus le droit de sortir de sa chambre. Pour aller au toilette, c'était simple, il avait un pot de chambre. Pour manger c'était sa tante Julieta qui lui préparer de délicieux plats qui soigner son cocar et ses marques qu'il avait sur le corps. Il était déconnecter du monde extérieur, il n'avait aucune nouvelle de sa famille. Il ne savait pas comment allait ses proches, et surtout, comment Dolores avait réagit en apprenant la nouvelle...
Mariano était un bon manipulateur alors il avait sûrement dû raconter d'autre mensonges sur ce soir là, au Madrigal. Dans une semaine le garçon allait enfin être libérer !
Mais il voulait se venger ! Il fallait bien qu'un jour où l'autre, sa famille sache la vérité !

*

Sa y est ! Il était enfin libre ! Sa mère, un nuage au dessus de sa tête, vaint ouvrir la porte de sa chambre. Il tenta de lui expliquer, mais celle-ci ne voulais rien entendre ! Il se dirigea en premier vers la chambre de sa sœur. Il toqua à sa porte.

- Entrez, dit-elle sans penser à qui sa pourrait bien être.

Elle se crispa voyant son  frère arriver.

- Je peux te parler ? Demanda-t-il.

Elle soupira.

- J'éspère que tu as une bonne excuse...

- Ni papa ni maman me croient...

- En même temps je comprends pourquoi, vu ce qu'il mon raconté, coupa-t-elle.

- Mais c'est lui qui à commencé à frapper !

- Je crois que moi aussi je vais commencer à ne plus te croire...Et même si c'était vrai, comment ça se fait que tu t'en ai sortie juste avec un cocar alors que lui à une côte fêlé !

- C'est pas de ma faute si j'ai plus de force que lui, dit-il en essayant de contracter le peu de muscles qu'il avait.

Apparemment, sa sœur n'était pas d'humeur joyeuse, vue le regard qu'elle lui lancer.

- Dolores je t'en supplie crois moi ! Suplia Camilo.

- Tu n'as aucune preuve.

- Lui non plus, remarqua le cadet.

- Ses blessures sont déjà beaucoup de malus pour toi. J'ai envie de te croire, mais rien ne me pousse à le faire, p'tit frère...

Il réfléchis quelques instants.

- J'ai une preuve ! S'écria-t-il. Il m'a dévoilé son plan, il m'a dit que juste avant qu'on se batte, il avait versé une potion dans ton verre, ce qui t'a empêcher d'entendre ce qu'il disait !

Sa sœur aîné leva les yeux au ciel.

- Ce n'est parce que j'entends tout que je suis infatigable, Camilo, soupira-t-elle.

- Mais...

- Désolé mais tu t'enfonce de plus en plus...

Dolores connaissait son frère par cœur et elle savait qu'il détesté la violence et qu'il ne ferait pas de mal à une mouche. Elle sait quand il ment, et il n'est pas entrain de le faire, mais toute les preuves de Mariano se retournait contre lui...
Mais elle comptais bien en parler avec son chéri.
Elle quitta sa chambre laissant son frère qui était au bord des larmes. Elle se rendit dans la chambre des amis où séjournait son mari.

- Chéri, je peux te parler ? Demanda-t-elle en entrant.

- Oui bien sur.

Il voulut l'embrasser sauf qu'elle refusa son baisers

- Qu'est-ce qu'il ne va pas ? Demanda-t-il, surpris par la réaction de sa femme.

- J'ai discuté avec Camilo...Et je voudrais reparler de ce soir là avec toi...Est-ce que ce qu'il dit est vrai ?

- Chéri ! Comment ose tu penser ça ? S'indigna-t-il.

- Je connais mon frère et je sais quand il dit la vérité, Mariano...Répond moi franchement...

Il lâcha un soupir d'énervement.

- J'ai toujours dit la vérité, avoua-t-il en attrapant discrètement le couteau qu'il avait placé sous son oreiller.

Une pression s'envola des épaules de la jeune mariée...Mais elle avait un autre poids sur le dos...Pourtant elle était sur de connaître les traits de visage de son frère.

- Très bien, merci d'avoir accepté de discuter avec moi, remercie-t-elle en l'embrassant.

Il lâcha son arme, pour attraper le cou de la jeune femme, l'obligant à l'enlaçer encore plus fort...