Chapitre 9

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1 mois était passé depuis la "tragédie". Plusieurs magazines avaient écrit des articles sur ce qui s'était passé, et plusieurs interviews étaient organisées pour Dolores. Ce qui mettait Camilo sur les nerfs, était que plusieurs internotes oublié la partie où Camilo avait tenté de prévenir sa famille. Même si sa sœur Dolores, essayer de le mettre en avant.
D'ailleurs, elle faisait beaucoup trop de choses pour lui. Elle voulait tellement se racheter de ne pas l'avoir cru, alors que Camilo lui avait déjà pardonner. Ce qui devenait presque insupportable pour le cadet. Elle lâchait plein de sous-entendu, à propos de lui et Ria, alors que jamais rien ne s'était passé entre eux, à part en primaire, où ils étaient dans la même classe et que Camilo avait eu le bégin pour elle.

Mariano lui n'avait toujours pas été retrouvé. La police ne l'avait retrouvé estimant qu'il avait été vers la forêt et qu'il se serait fait avaler par un crocodile en moins de deux jours.

- Est-ce que tout va bien ? Lui demanda Isabela, remarquant que pour une fois, il était calme et silencieux.

Elle venait de rentrer dans sa chambre.
Le jeune homme était allongé sur son lit écrivant quelques lignes sur un carnet noir.
Il se tourna vers elle.

- Oui tout va bien pourquoi...

- T'écris quoi ? Coupa-t-elle.

- Rien...rien...

Elle fit naître une plante, d'un geste de doigts, qui arracha le carnet de Camilo de ses mains, le donnant à sa cousine.
Elle ouvrit la première page.

- "Cher Journal..." Lut-elle à voix haute.

Elle n'eu pas le temps d'en lire plus car il reprit vite fait son carnet.

- T'écris un journal intime ! S'écria-t-elle.

- Non, bien sûr que non ! Débattait-il, rouge comme une tomate.

- Oh...C'est trop mignon...Faut m'as avoir honte, tu sais !

- Mais...euh...Tu peux sortir ?

Elle sortit le sourire au lèvres. Camilo soupira, s'écroulant sur son lit.

                                  *

Quelques jours plus tard, maintenant que toute la famille était au courant pour le journal, il descendit vers la place, se réfugiant le soir, assis sur le rebord de la fontaine.
Il n'y avait personne d'autre que lui dehors. En même temps, il était déjà tard.
Ces derniers temps, il ne voyait plus trop sa sœur. Son emploi du temps était chargé, entre interviews et shoothing photos pour la couverture de magazines.
Le Madrigal tenait un journal pour écrire toute ses peurs, ses joies et ses colères. Comme s'il écrivait une autobiographie sauf qu'il comptait garder ça pour lui.
Soudain, il entendu une branche craquer. Il leva la tête vers l'endroit d'où venait le bruit. Il n'y avait rien sauf une silhouette qui arriver vers lui.
Au début, il ne s'en méfia pas, retournant à ses occupations, mais il commença à s'inquièter quand il entendit les nuits de pas s'accélérer. Il releva la tête pour jeter un coup d'œil, et aperçue que la silhouette s'était raprocher, mais quand il avait relever la tête, la personne s'imobilisa.
Il fronça les sourcils.
Si cette personne chercher à être discrète, elle ne l'était pas.
Les lampadaires de la ville était éteint, seul la maison des Madrigal rester lumineuse.
Soudain, Camilo eu un haut le cœur. Ma silhouette s'était raprocher, à seulement quelques mètres de lui, sans faire un bruit.

- Qui est-ce ? Demanda-t-il.

Aucune réponse. Les bruit de pas se raprochèrent. Camilo, immobiliser par la peur, ne bougea pas.
L'inconnu était à quelques centimètres. Si près que Camilo pouvait sentir son souffle sur sa nuque.
Il sentit, sans prévenir, une douleur au ventre. La douleur était tellement forte qu'il fonda par terre. Il réunit ses mains sur sa douleur, et devina, au toucher, qu'un couteau était planté.
Il releva la tête, espérant voir le visage de son agresseur...

Fantastique ? (Encanto)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant