NÛRYA« Pour moi t'as tout fait, t'es mon bonheur tu l'sais
Je serai ta moitié devant Dieu et nos familles »
__________________- Aqil : Attend attend répète j'ai pas bien entendu ce que t'as dit là.
- Seymen : Je reprend les affaires.
- Aqil : T'as entendu ce qu'il a dit Ama ? Ou c'est moi qui deviens fou ?
- Amaria : Seymen qu'est ce que tu es entrain de dire la ?
- Seymen : J'ai repris les affaires en posant le contrat sur la table.
Aqil saisis immédiatement le papier qui se trouvait sur la table et se met à lire. Ses sourcils se froncent instinctivement et c'est le regard meurtri qu'il relève les yeux vers son unique enfant, Seymen.
- Aqil : Qu'est ce qui y a écrit là hein ? Lis moi ce qu'il y a écrit Seymen.
- Seymen : ..
- Aqil : Il y a écrit « les dettes d'Aqil Houssini » pas ceux de son fils en haussant le ton.
- Seymen : Je te laisserai pas payer.
- Aqil : Mais c'est moi Seymen, c'est mes erreurs en se rapprochant de lui.
- Seymen : Tu pense pas que t'en a déjà assez baver, tu veux quoi de plus en haussant le ton qu'on te reprenne maman, qu'on te mette une balle en pleine tête c'est ça ?
- Aqil : C'est pas à toi de payer pour nous.
- Seymen : De toute façon c'est trop tard, j'en ai signé.
- Amaria : Aqil calme toi ..
- Mon père : Seymen t'aurai dû nous en parler avant d'y aller.
- Seymen : Vous m'auriez pas laissé le faire.
- Aqil : Parce que tu dois pas le faire justement.
- Seymen : Ça va passer, c'est que trois ans.
- Aqil : Trois ans ? Que trois ans ? Tu sais ce qui se passe en trois ans ? En trois ans j'ai épousé ta mère, on a fuis en Argentine, Ziyan a faillit mourir, Akira a accouché, ils ont retourné avec nous en Argentine, on c'est fait attraper, ta mère a accouché, je me suis pris une balle, et ensuite j'ai passé vingt putain d'année en pensant que vous étiez tous morts, alors me dis pas « c'est que trois ans ».