Une nouvelle découverte de la NASA ravive l'espoir de trouver un monde habitable pour l'espèce humaine alors que la Terre se voit, peu à peu, dépérir.
Une équipe est envoyée pour voir ce qu'il retourne et découvre un nouveau système, comprenant plus...
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Relu, corrigé, amélioré (10/08/2024)
« Les chances d'un retour sur Terre sont minces. »
C'est cette phrase qui avait poussé la commandante Ana Turner à accepter la mission la plus controversée du siècle.
Plusieurs mois auparavant, à quelques kilomètres de la Lune, une anomalie avait été observée par les chercheurs de la NASA. Ces experts, travaillant sur le vide présent autour de l'astre, avaient enregistrés des relevés laissant penser qu'un objet réel et constitué de particules solides lévitait dans l'étendue opaque, cependant ce n'était ni visible à l'œil nu, ni au télescope.
Des recherches plus poussées et plus abouties avaient alors été réalisées, et la décision d'en parler à leurs supérieurs avait été prise. Le plus troublant, était le fait qu'aucun scientifique auparavant ne l'avait remarquée, comme si cette anomalie était apparue d'un seul coup, comme par magie. Mais les experts de cette puissance mondiale s'accordaient à penser que cette découverte, fruit du hasard, n'aurait jamais été réalisée si l'un d'entre eux, las de traquer les objets volants non identifiés dans le ciel du Pérou, n'avait pas eu l'idée, certains diront très ennuyeuse, d'étudier la densité du vide autour du satellite le plus connu.
Après plus deux mois d'études théoriques barbantes mais nécessaires, la NASA s'était enfin décidé à envoyer un automate vérifier de quoi il en retournait. La mission, camouflée par un simple aller-retour entre le sol terrien et la navette spatiale internationale mais présentant un détour autour de l'astre tant convoité au début de la conquête de l'Univers, était restée secrète afin qu'aucune autre puissance mondiale n'essaie de les doubler. Car oui, la frontière entre la science et la politique dans ce type de projet était parfois floue. Le décollage se déroula sans encombres, les astronautes, une fois proche de l'anomalie qui, dans l'immensité sombre semblait briller, libérèrent le petit automate avec grandes difficultés car les transmissions radio ne cessaient de grésiller. Après l'avoir détaché de leur capsule, le robot s'était éloigné puis avait cessé d'émettre et avait même disparu des radars, la Terre ne recevant plus aucun signal. Alors les chercheurs avaient tout analysé : la densité du vide ainsi que sa température, les dernières images envoyées par le robot avant qu'il ne soit englouti dans l'immensité de l'Univers, la possibilité de se phénomène à réfléchir de la lumière et une seule conclusion en fût tirée, il y avait derrière la Lune une sorte de passage, de portail, vers une autre galaxie ou une autre dimension. Ça, personne ne le savait vraiment. Ce dont les scientifiques étaient sûrs, c'était qu'il ne s'agissait en aucun cas d'un trou noir.
Après en avoir fait part aux représentants de l'armée du pays et au président des États-Unis, lors d'une réunion classée secret défense, la NASA avait convenu que cinq soldats et chercheurs devaient voir de quoi il en retournait. Si un autre monde était découvert, il fallait qu'il soit étudié par de brillants scientifiques et désigné apte à recevoir l'espère humaine.
