chapitre 21

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point de vue Ashley :

Merde, il est là, quand j'ouvre la porte je m'étouffe avec la fumée, même si maintenant que je suis là mes poumons commencent à s'habituer à cette odeur, là je ne m'y attendais pas et ça m'a laissé me surprendre.

Je toussote un peu, puis je me calme, il me regarde, il est posé le dos contre le lavabo, torse nu et avec un jogging.

Il s'est visiblement changé, en même temps qui serait resté en chemise et pantalon toute la journée ?

Je sais pas quoi faire, je le regarde dans les yeux, il a le pull dans sa main...

Merde, il faut que je trouve une excuse pour être rentré.

Il termine sa clope et il tourne sa tête pour le jeter dans la poubelle, il a pas peur que ça crame.

J'en profite pour regarder ses abdos, oui je sais, mais qui ne serait pas tenter.

Il a un vrai corps d'athlète, et c'est bien le seul truc chez lui qui fait penser à un dieu, comme visiblement il a l'air d'aimer la mythologie grecque...

Il a tellement de tatouages...

Partout, mais ils sont bien agencés, ce qui le rend encore plus séduisant.

J'arrive à en voir quelques uns, il y a un éclair sur une de ses côtés, un trident sur l'autre côté et sur dans son dos, trois cercles et un corps, je pourrais pas vous décrire tout, je n'ai pas eu le temps d'y prêter attention, il s'est retourné et j'ai vite changer de vision, il ne faut pas qu'il se rende compte que je le mate...

Hadès : Tu veux quoi ? son ton est calme, mais pour autant il n'en reste pas moins froid.
Moi : Rien... Je... Enfin.. il lève les sourcils, oui je bégaie comme jamais, Je voulais me changer, pour me reposer, et aller dans mon lit. je hoche faiblement la tête, pour essayer de me faire croire à moi même que ce que je dit passe.
Hadès : Tu veux ça ? il lève la main dans laquelle il y a le sweat.
Moi : NON ! il sourit, merde cramé...

Hadès : Et moi je crois que c'est ce que tu es venu chercher, il s'approche de moi, je te le laisse, parce que je suis gentil je m'étouffe dans un rire nerveux, et sa langue passe sur ses lèvres dans un sourire.

Hadès : Tu ne le sais pas, mais si Zeus est si gentil avec toi c'est aussi parce que je le veux, crois moi, sinon, tu ne pourrais pas envoyer un message à ta grand mère et il sourit, et me laisse voir ses dents blanches, il y a bien que ça qui est blanc chez lui, certainement pas son âme et son cœur.

Je hoche la tête, je sais qu'il a raison, parce que je vois bien comment on le respecte ici.

Si il ne voulait pas quelque chose, alors il n'y aurait rien, et si il veut quelque chose, il l'a.

Hadès : Oh, et il y a ça aussi, et il sort un billet de 500€, je me touche les seins dans un reflex, merde j'avais zappé cet argent ! Ça paye d'ouvrir les pattes. et la, il rigole plus du tout, il serre la mâchoire.

Moi : Ce n'est pas tes affaires ! je fais les gros yeux, même si je sais que je l'intimide pas du tout.
Hadès : Récupère ton argent sale. il me jette l'argent à la figure, et je craque.
Moi : CE N'EST PAS DE L'ARGENT SALE ! MAIS FIGURE TOI SI POUR TOI, LES PUTES GAGNENT DE L'ARGENT SALE, ALORS POURQUOI T'APPELLE DÉMÉTER TOUS LES SOIRS POUR ENFONCER TA BITE ! et je souffle, parce que je ne suis pas une pute.

Ayden Où les histoires vivent. Découvrez maintenant