chapitre 32

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point de vue Ashley :

Dimanche, 6h01

J'ouvre les yeux, et une vive douleur au crâne me fait frémir, j'ai envie de hurler mais ma bouche est trop pâteuse.

Je n'ai pas bu d'eau, ça fait combien de temps que je dors, je me rappelle plus très bien de ce qui s'est passé.

J'attrape la bouteille d'eau à côté de mon lit et je bois une grande gorgée, j'ai envie de mourir tellement la douleur est atroce.

J'aimerai me lever pour aller voir l'état de mon crâne mais je n'ai pas la force.

Moi : Y'a quelqu'un ? rien, aucun son, je sais qu'à côté il y a la chambre de Hadès.

Et même si c'est le plus grand des con et des psychopathes, il ne peut pas être indifférent à me voir agoniser sous ses yeux sans rien dire, non ?

Je réessaie un peu plus fort.

Moi : S'il vous plaît ! Je suis réveillée ! j'entends la porte de la salle de bain s'ouvrir d'un coup.

Je tourne les yeux et Hadès est devant moi, en sous vêtement.

Hadès : Toujours en vie toi ? je réponds rien, comment peut il oser me sortir ça ! Comment tu te sens ? il s'approche de mon lit.
Moi : Mal. je ne risque pas de mentir au vu de la douleur.
Hadès : C'est dommage... mais quel enfoiré ! comment peut il agir comme ça ! Il fallait juste manger pourtant. j'ai envie de lui faire un doigt, mais j'ai pas de force.

Alors je dis rien et je ferme les yeux, je préfère autant qu'il se casse si c'est pour entendre sa cruauté.

Hadès : Tiens avale ça ! il me jette un gâteau mais je n'arrive pas à l'attraper, connard, si tu savais ce que je te ferais et te dirais si j'avais la force ! Merde, il s'assoit à côté de moi et prend le gâteau avant de me le mettre dans ma main.

Maintenant qu'il est plus proche de moi je sens son odeur habituelle, et je vois un corps couverts de blessure, bien fait pour toi connard.

Hadès : On a été rendre une petite visite à ton papa adoré... sadique, ce mec est sadique, la dernière bouchée de mon gâteau passe de travers, mais il n'a pas vraiment coopérer... mon sang se gèle dans mes veines.

Qu'est ce qu'ils lui on fait ? L'ont t'ils tués ?

Moi : Qu'est ce que tu lui a fait Hadès ? j'affronte enfin son regard, malgré mon manque de force, je dois luter.
Hadès : Rien, on a volé les informations utile pendant qu'il se faisait agresser dans la rue de chez lui. et il rigole.

Mon dieu, mais, je comprends pas, je le comprends pas, comment peut il être si sadique !

Moi : C'est toi ? Qui a posté un mec pour qu'il se fasse agresser. il hoche la tête, j'ai le visage crispée, même si je déteste Jacob, je veux pas son mal. Tu es un putain de psychopathe de merde Hadès ! il sourit de toutes ses dents.

Hadès : Je sais, et le gouvernement va bien se faire baisé par mon sadisme ! et il rigole, mais tellement comme un putain de psychopathe.
Moi : Comment va Jacob ! je m'empêche pas de bien souligner mon énervement, ils m'ont promis qu'ils ne le toucheraient pas !

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