Quand je me retourne vers lui, mon cœur rate un battement. J'essaie d'ignorer ce qu'il se passe entre mes jambes, si vous voyez ce que je veux dire...J'essaie de prendre sur moi en gardant mon self-control.
- moi : monsieur, vous vouliez me voir ?!
- Paulsen : oui
Il s'approche de moi lentement.
- moi : eh bien voilà, je suis là maintenant alors je vous écoute !
Il me contourne doucement.
- Paulsen : savez-vous que vous êtes exaspérante ?
Culotté celui-là, pff...
- moi : *en haussant les sourcils* pourquoi ? Parce que je ne vous laisse pas avoir toujours le dernier mot ?
Il penche la tête légèrement sur le côté.
- Paulsen : j'ai toujours eu le dernier mot, mademoiselle Legrand !
Un vrai prétentieux c'est grave quand même.
- moi : si ça vous fait plaisir de le croire, grand bien vous fasse, mais il vous arrive d'avoir tort
- Paulsen : quelle insolence ! Attention mademoiselle Legrand, je pourrais vous faire taire si facilement !
Je lâche un petit rire moqueur.
- moi : *l'air hautaine* pour ça, il faudrait me bâillonner
- Paulsen : ne me faites pas ce genre de proposition, je pourrais vous prendre au mot
Je déglutis... Mais face à mon air ahuri, Paulsen se ravise.
- Paulsen : *sourire malicieux* je plaisante mademoiselle Legrand ! Mais avouez que vous l'avez cherché
Son petit sourire satisfait m'agace. Je voudrais bien arriver à lui fermer sa bouche, une bonne fois pour toute !
- moi : *en haussant les épaules* si vous le dites !
- Paulsen : vous pensez que je joue avec vous ?
Je me déplace en frôlant avec ma main son bureau en lui tournant le dos. Puis je me retourne lentement.
- moi : encore cette manie de répondre à des questions par des questions, ça deviens lassant franchement... Vous devriez varier vos techniques : vous devenez prévisibles monsieur Paulsen !
Il fait quelque pas dans ma direction. Je recule autant qu'il avance, le cœur battant à la chamade.
- Paulsen : je ne joue pas avec vous
- moi : *rire nerveux* vous ne jouez pas avec moi, mais alors pourquoi me faire venir dans votre bureau maintenant ?!
Il pousse un petit soupir avant de se poser devant moi. Nous sommes à quelques centimètres de l'un et l'autre. Sa main vient effleurer ma joue, pendant que ses magnifiques yeux fixent mes lèvres.
- Paulsen : de quoi avez vous peur mademoiselle Legrand ?
Ma poitrine se bloque, j'inspire lentement.
- Paulsen : respirez
Maintenant c'est à mon tour, mes yeux fixent désormais ses lèvres. Je le veux sur ma bouche maintenant et tout de suite, sans plus attendre !
- Paulsen : cette attraction entre nous, est-ce un jeu ?
- moi : peut-être pour vous
- Paulsen : je me foutais de cette fille au gala de charité. Et je n'ai pas supporté que vous partiez sans me prévenir
- moi : monsieur, je n'étais plus sous vos ordres...
Ma voix est un murmure. Je veux le pousser à bout, je veux voir le vrai James Paulsen.
- Paulsen : vous allez être à moi, ce soir...
Ses paroles me rendent complètement dingue, et en cet instant, il peut bien obtenir ce qu'il veut de moi.
Il me plaque contre sa baie vitrée.
- moi : *soupir* monsieur...
- Paulsen : donnez vous à moi
Ces mots me troublent et avant que je réplique quoi que ce soit sa bouche vient se poser sur la mienne. On s'embrasse langoureusement, heureusement qu'il me tient fermement car mes jambes ne tiennent plus.
En reprenant notre souffle, je sens ses lèvres s'étirer. Il sourit. Si j'écoutais ma raison une seconde, j'arrêterais ça tout de suite ! Je réalise que Paulsen obtient toujours ce qu'il veut...
Mais c'est plus fort que moi, cette attraction physique qui s'est formée entre nous est tout simplement inexplicable.
Je tire sur le col de sa chemise pour prendre ses lèvres à pleine bouche. Savoir l'effet que je lui fais me rend extrêmement chaude ! Nos baisers se font plus passionnés, plus sauvage.
[...]
Scène hot 🔞
Paulsen m'enlace par derrière et nous fixons la ville illuminée plongée dans la nuit.
- Paulsen : est-ce que tu sais à quel point tu es désirable en ce moment ?
Je me retourne face à lui, il pose ses mains sur mes épaules pour retirer ma veste. Je me mords la lèvre lorsque ses doigts effleurent mes courbes. Je l'aide à défaire rapidement sa veste et sa chemise qu'il jette au sol, puis il vient m'embrasser fougueusement.
Il me soulève sans difficulté du sol et maintient mes cuisses autour de sa taille. Mes escarpins s'écrasent au sol et je perds le peu de contrôle qui me restait. Il se pose sur le canapé et je l'embrasse tendrement avant de glisser sur son cou lui déposer une pluie de baiser.
Je le pousse et je vois son érection qui tire son caleçon Calvin Klein. Je m'approche de son érection et je baisse son caleçon en le fixant droit dans les yeux. WoW ! Il a un penis énorme, je l'attrape et commence à le branler avant de le mettre en bouche. Je le suce frénétiquement avant de remonter et qu'il finisse par me pénétrer avec délicatesse.
Je commence à gémir en sentant son gland frappé, je me frotte à lui en le chevauchant avec envie. Je m'étonne de moi même, la situation est irréel, je suis entrain de coucher avec mon patron.
Nous gémissons à l'unisson tout en se regardant dans les yeux, mon cœur bat à la chamade et j'arrive à apercevoir le désir dans ses yeux.
Je finis par jouir au bout de 5 minutes, il m'embrasse pour étouffer mes cris. Il me soulève pour m'allonger à mon tour sur le canapé, il descend en me parsemant de baisers mouillés jusqu'à arriver à mon intimité. Il finit par me lécher et je me cambre de plaisir en attrapant un cousin pour me contenir.
Bref, je crois j'en ai trop dit, je vous laisse imaginer la suite...