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Nda :
⚠️⚠️ Avant de commencer ce chapitre, prenez le temps de lire mon message. Ce chapitre va contenir des scènes détaillées pouvant choquer les plus jeunes et les plus sensibles. C'est un chapitre qui a été dur à écrire, j'en suis responsable mais si vous ne vous en pensez pas capable, ne lisez pas car je ne suis pas responsable de ce que vous lisez !!!⚠️⚠️

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   Mon paternel me plaque contre un mur en rigolant alors que son ami s'approche, je suis terrorisée et encore le mot est faible, j'ai du mal à respirer mais ils n'en ont que faire.

" Papa... J'essaye de l'amadouer mais rien.
- Elle est trop couverte je trouve. Déclare son pote avant d'arracher mon tee-shirt.
- Fais... pas... ça. Je pleure complètement.
- Ferme ta gueule! Ordonne mon père en mettant un coup de poing dans mon estomac comme ci j'étais un sac de frappe."

   Son pote m'en met un deuxième et mon paternel me lâche alors que je tombe à genou, la respiration coupée. Mon père retire sa ceinture et me frappe violemment dans le dos, m'arrachant un hurlement de douleur. Il recommence, encore et encore alors que son pote couvre ma bouche pour que je fasse moins de bruit.
   Au bord de l'inconscience, mon père arrête enfin et revient face à moi et attrape ma mâchoire pour que je le regarde.

" C'est de ta faute ma chérie, si tu avais été une bonne fille j'aurais pas besoin de faire ça. Dit-il alors que je le fusille du regard.
- C'est ça la place d'une femme, à genou devant un homme pour lui tailler une pipe. Déclare l'autre en baissant son froc."

   Je secoue la tête et ferme la bouche mais il m'attrape la mâchoire et me force à l'ouvrir avant d'enfoncer son immonde chose dans ma bouche. Je retiens un haut le cœur alors qu'il maintient ma bouche ouverte, à deux doigts de me casser la mâchoire et prend son pied. Il termine dans ma bouche et me force à la fermer.

" Avale. Il ordonne mais je secoue la tête. Mon géniteur nous fixe et s'astique alors que j'ai envie de mourir."

   L'homme me frappe et m'oblige à avaler avant de me faire lever de force. Je ne tiens même pas sur mes jambes mais il me pousse dans les bras de mon père qui me retire mon pantalon.

" Fais pas ça. Je le supplie mais il attrape ma gorge.
- C'est tout ce que tu mérites. Dit il avant de me jeter sur le canapé."

   Le contact du cuir sur mon dos meurtri me fait hurler et je me débats quand mon père se jette sur moi mais rien n'y fait, il me pénètre d'un coup et je ne bouge plus. La douleur n'est rien contrairement à cette sensation que je viens de me briser.

   D'un coup c'est comme ci j'étais anesthésiée et que je n'étais plus que spectatrice de mon malheur. Je ferme les yeux, attendant que ce cauchemar se termine. Lorsqu'il se retire enfin, mon esprit et mon corps se reconnecte pensant que ça y est, ça ne peut pas être pire mais son pote s'avance, sa bite dans la main.

   J'essaye de me dégager du canapé mais il m'attrape et me soulève sans difficulté pour m'emmener dans la cuisine. Il me jette, ventre contre le comptoir attrape sa ceinture pour immobiliser mes mains dans mon dos et attrape mes cheveux.

" S'il vous plait, laissez moi. Je murmure alors que sa main claque contre mes fesses nues.
- T'aime ça espèce de grosse salope. Dit-il avant de recommencer. Je gémis de douleur et il tire sur mes cheveux pour me faire relever la tête. Tu veux que je te baise comme une bête. Il ajoute en me pénétrant comme un sauvage."

   Je hurle de douleur alors qu'il me pilonne en me tirant les cheveux et en me claquant tellement fort que je ne sens plus mes fesses.
   Lorsqu'il arrête enfin et enlève la ceinture pour aller se rhabiller je tombe au sol, en pleurs et à bout de force.

" Allons boire un verre John! Déclare son pote.
- Bonne idée. Répond mon paternel."

   Ils quittent la maison alors que mes sanglots se font plus intenses. Je me traîne jusqu'à la salle de bain et file sous la douche. L'eau me brûle le dos mais rien n'est comparable à ce que je ressens à l'intérieur. Je suis morte, je n'ai plus la force de me battre et je veux mourir, arrêter de souffrir.
   Je frotte mon corps, espérant enlever les empreintes indélébiles qu'ils ont laissé sur mon corps mais rien n'y fait et mes sanglots redoublent. Un haut le cœur me prend et je cours aux toilettes pour vomir toutes mes tripes. Je retourne dans la salle de bain, attrape ma brosse à dents et le dentifrice, voulant désinfecter ma bouche de ce mec immonde.

   Mes pleurs ne s'arrêtent pas, je relève le visage vers le miroir et celui-ci me renvoie l'image d'une fille brisée. J'ai encore la trace des doigts sur ma gorge et ma mâchoire, ça deviendra des bleus... mes côtes me font un mal de chien et le bleu est déjà présent, et lorsque je me retourne, je reste sous me choc, mon dos a déjà une teinte bleuâtre avec des lacérations dûes à la ceinture.

   C'est trop pour moi, mon rasoir me fait de l'œil et je l'attrape pour en extraire la lame, j'appuie cette dernière sur mon poignet, je ne peux plus vivre comme ça. Alors que je commence à la rentrer dans ma chair et que la première goutte de sang n'apparaisse, l'image de Lyvia s'impose dans mon esprit et je retire la lame. Je ne peux pas la laisser avec ce monstre, jamais elle ne vivra l'enfer que je viens de vivre, je m'en fais la promesse. Jamais il ne la brisera comme il l'a fait avec moi.

   Bien décider à protéger ma petite sœur, et sachant que je ne suis pas en état de me confronter à elle demain matin, je retourne dans ma chambre et me laisse tomber sur le lit en attrapant mon portable dans un gémissement de douleur.

Baby-SittingOù les histoires vivent. Découvrez maintenant