Chasseuse de Prime (koko x reader)

《reste avec moi》

Ton corps était entrain de lâcher. Ton sang ce répandait sur le sol de la pièce de torture. Tu étais gelée jusqu'aux os.

Cela faisait maintenant quelques heures que ton geôlier avait quitté la pièce. Te laissant te vider de ton sang sur la chaise.

Tu avais froid. Terriblement froid. Plus ton sang coulait sur le sol plus tu avais de mal à conserver ton flux de pensée constant. Tu avais dû mal à garder les yeux ouverts, tu aurais voulu les fermé pour ne jamais les ouvrirent à nouveau.

Alors que tu allais t'abandonner à un sommeil douloureux tu entendis quelqu'un rentrer dans la pièce.

Cette personne ce précipita sur toi. T'attrapant le bas du visage, relevant ta tête.

-?: Elle est encore vivante... je croyais que tu serais morte après tout ce temps. Je ne dois pas dire que ça me déplaît mais bon...

Il lâcha ta tête qui retomba lentement pour faire face au sol. Tu l'entendis aller à la table et prendre un objet. Quand il ce rapprocha de toi tu sentis deux pointes s'enfoncer dans ta nuque puis un énorme choque électrique traverssa tout ton corps.

C'était si douloureux pour toi. Ton corps entier ce contracta sous l'effet de la douleur et du choque.

Tu aurais voulu crier mais tu n'en avais pas la force. Tu avais perdu trop de sang. Tu allais sûrement bientôt mourir...

Tu n'aurais donc jamais connu l'enfant que tu portais. Tu n'aurais jamais l'occasion de le dire à Koko. Jamais l'occasion de lui dire aurevoir.

C'est alors que tu entendis du bruit au dessus de la pièce où tu trouvais, des voix accompagnées le bruit venant de l'extérieur.

-??: Elle peut pas être loin!

-???: C'EST BON ARRÊTE DE ME STRESSÉ PUTAIN!

-??: MAIS TU TE STRESSE TOUT SEULE BORDEL!

-????: MAIS VOS GUEULE PUTAIN!

-???: "Mais vos gueuleeee"

-????: SANZU ARRÊTE DE M'IMMITER!

Tu les entendais distinctement. Ce pourrait il qu'il puisse t'entendre si jamais tu hurlais ?

L'homme qui était avec toi s'agitait.

-?: putain fait chié !

Il mit sa main sur ta bouche pour t'empêcher de crier, ce plaçant juste derrière toi de sorte à pouvoir te donner un choc électrique si jamais tu résistais.

-Sanzu: Elle est pas là bordel! On bouge!

Nan il ne fallait pas qu'il parte. Pas alors que tu étais juste ici.

Réunissant les dernières forces qu'il te restait tu donnas un grand coup de tête en arrière, faisant ainsi lâcher prise à l'homme qui te maintenait silencieuse.

Tu pris une grande inspiration et hurla. Tu hurla comme si tu découvrais la voix. Comme si c'était la dernière fois que tu criais. Ton hurlements emplissait toute la pièce.

Tu sentis alors un grand choque à la base de ta nuque, te coupant la respiration. Ton cri s'arrêta brusquement. Alors que ta tête faisait face au sol, la vision trouble tu n'entendais plus rien.

Ils étaient parti. Tu allais mourir ici. Tu sentais ton corps partir, tu avais froid, si froid.

C'est alors que tu entendis deux coup de feu. Puis le silence, accompagné d'une chaleur qui t'envelopa. Tu sentais une odeur familière sans arriver à mettre un nom dessus. Tu sentais que l'on couper tes chaînes qui te lié à la chaise. Tu sentis un tissus te recouvrir et deux bras te serrer contre un torse.

Tu entendis une voix lointaine essayer de te parler. Tu sentais que l'on te secouer légèrement.

-??: Tp! Tp reste avec moi

Tu reconnus sa voix et pêna à ouvrir les yeux. Un léger sourire se placa sur tes lèvres. Quand il le remarqua il t'enlaca et te serra le plus fort qu'il le pouvait contre lui.

-Koko: On va te sortir d'ici. Tien juste encore un peu...

Tu essaya de marcher mais sans succès, tes jambes cédèrent sous ton propre poids et tu t'écroula par terre. Tu avais perdu trop de sang pour faire quoi que ce soit.

Koko qui te prennais dans ces bars était la dernière chose que tu sentis avant de sombrer dans un noir complet. Tu ne sentais plus ton corps.

______

Quand tu ouvris les yeux pour la première fois depuis que Koko et les autres t'ais sorti de l'endroit où tu trouvais. Tu vis une chambre d'hôpital avec des bandages partout sur ton corps. La pièce était éclairé par la lumière du jour qui passait par une fenêtre. Il devait être tard dans l'après-midi. Tu vis sur ta gauche une table avec des fleurs.

Tu écoutais le chant des oiseaux quand quelqu'un rentra dans la chambre. Il s'agissait de Kokonoi. Tu le regarda avec un sourire sur le visage. Il était en chemise grise avec ces talons habituelles. Tu trouvais que ça lui allait bien.

Il s'approcha de ton lit et pris un tabouret, il s'assit dessus et déposa un baiser sur ton front. Puis il ce coucha sur tes jambes en te regardant.

-Koko: Comment tu te sens?

-Tp: Ça va, juste un peu fatigué... où est ce que l'on est ?

-Koko: Une partie d'un hôpital que j'ai acheté, il sert à entreposé le matériel médical du Bonten.

-Tp: Ho je vois. Ça fait combien de temps que je suis ici?

-Koko: 3 jours 5 heures et 26 minutes.

-Tp: Tu a compté ?

-Koko: peut être...

Tu rigolas légèrement à sa réponse. Il souria à ta réaction. Puis il met une main sur ton bas ventre et le fixe.

-Koko: Alors... comment on va l'appeler...?

Tu le regarda surprise. Comment avait-il su?

-Tp: Comment...

-Koko: Hum... disons que je suis tombé sur ton test de grossesse dans la poubelle de la salle de bain.

Tu soupiras à cette remarque. Tu avais oublié que tu l'avais jeté dans la poubelle.

-Koko: Du coup....

Il détourna le regarde de ton ventre et encra son regard noir dans le tiens.

-Koko: Comment est ce qu'on l'appel ?

Un large sourire s'étendit sur ton visage. Tu l'aimais tellement.

-Tp: Je ne sais pas trop, on verra plus tard.

Il ce releva et enlaca ses bras autour des tiens. Te réchauffant par la même occasion. Tu t'étais calée contre le dossier de ton lit, Koko ses bras toujours autour de ta taille. Se posant sur toi.

Vous sombrez dans un profond sommeil, l'un contre l'autre.