□Va crever.□

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Tu finissais de casser la gueule au troisième petit gang que tu interrogeais et parti sans demander ton reste. Tu arpentais la grande rue pour ne pas croisé d'autre gang indésirable.

La pluie commencé à tombait, tu n'avais pas de parapluie ni de capuche et pourtant tu décida de ne pas accélérer le pas. Tu aimais la sensation de la pluie sur ta peau, son bruit sur le béton, son aspect sur les vitres et la couleur qu'elle donnait au ciel. Gris.

Cependant tu n'admirais pas ce gris aujourd'hui, tes pensées ce concentraient sur les informations que tu avais reçus concernant le Bonten. L'eau ruisselait sur tes cheveux (c/c). Le regard perdu dans le vague.

Tu te rapprochais de chez toi quand tu sentis la pluie arrêter de tomber. Cependant le son de la pluie ne s'arrêtait pas. Tu redressas la tête et vie que quelqu'un te couvrais avec un parapluie noir. C'était Kakucho. Tu ne savais pas ce qu'il faisait là, ni pourquoi il te protégeait de la pluie.

-Kakucho: Tu sais que t'es pas évidente à pister.

-Tp: Je ne sais pas je n'ai jamais essayé de me cacher.

-Kakucho: Pourquoi une expression aussi maussade ?

Tu l'écoutais seulement d'une oreille, tu réfléchissais à quoi lui dire.

-Kakucho: Pas très bavarde. Toujours gênée de ce qui c'est passé?

Tu saisis l'occasion qu'il te présentait pour expliquer ton humeur massacrante.

-Tp: Oui... disons que ce n'était pas vraiment prévu...

-Kakucho: Je te rassure nous aussi on a été étonné... T'aurais dû voir la tronche qu'à tirer Kokonoi, c'était hilarant.

Tu savais qu'il essayait de détendre l'atmosphère, il te souriais chaleureusement. Tu lui rendis son sourire, quoi qu'un peu plus timide.
Tu détournais le regard incapable de le soutenir sous le poids de la culpabilité de ce que tu devais faire.

-Tp: Pourquoi me chercher...?

-Kakucho: Le boss voulais te voir. Il m'a donc chargeait d'aller te chercher.
Il ne voulais pas envoyer Kokonoi alors il a prétextait une mission urgente pour lui.

-Tp: Ho... je vois... j'imagine que je dois te suivre?

-Kakucho: Hé bien oui. Mais tu peux passer par chez toi pour te changer vu que tu es trempée !

Tu le sentais gêné quand il a réalisé que tu étais trempé et que tes vêtements te coller à la peau. Il ne devait pas avoir l'habitude des femmes.

-Tp: Oui ce serait préférable.J'aimerais éviter de sentir le chien mouillé.

Il fit un rire gêné et m'accompagna jusqu'à chez moi dans le silence. Il était gêné à ce point? Sûrement tu ne voulais pas lui demander. Ce serait mal placé.

Arriver devant ton appartement il t'attendis dehors ne voulant pas rentrer chez toi. Ne voulant pas le forcer tu t'empreça de te changer.

Tu attrapais un leggings noir mat, une brassière de sport, une chemise grise avec un léger decolté. Tu mis des grosses chaussures noir et détacha tes cheveux. Tu t'empréssa de les séchées en vitesse et accrochas la couche supérieure de tes cheveux en chignon arrière. Tu attrapas une veste longue gris foncé et la plaça à ta taille.

Chasseuse de Prime (koko x reader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant