- 3 ans plus tard-
- Parle moi de ses yeux.
- Ses yeux, d'un banal marron, apparentant au couleur de la terre.
- Parle moi de son nez
- Son nez droit au début mais circulaire à la fin dont un signe honore de sa présence.
- Parle moi de sa bouche
- Sa bouche bien que large bien que longue dont elle prend plaisir à déformer n'est ni effrayant ni sublime, le juste milieu qui à tendance à plaire à la majorité.
- Parle moi de ses oreilles
- Les oreilles n'ont rarement fait par de remarque que quand ils sont trop gros ou
trop petits, que puis je dire ? Que son oreille est souvent pris d'assaut par mes lèvres. - Je pense qu'avec ça, c'est parfait pour la description. Dit l'homme en se grattant le
menton.
_ Je peux vous parler de son coup peuplé par une multitude de signe dont le simple fait d'embrasser la met dans un état second, je peux vous parler de ses seins qui ont été béni par la déesse de la sensualité ni trop gros ni trop petit juste parfait jusqu'à la pointe dont je prend plaisir à titiller, je peux vous parler de son ventre plus gros que la normal, parsemé de poils qui le sépare de façon symétrique, son ventre dont elle a
honte mais qui constitue son charme dont juste un souffle de ma part la fait cambrer vers l'avant, je peux vous parler de ses cuisses ohh ses cuisses ayant assez de chaire pour que j'enfouisse mes doigts quand j'embrasse son intimé, ces cuisses qui constituent une barrière m'empêchant de la contempler toute entière, ces cuisses qui me retiennent quand je veux m'enfoncer plus profondément, ces cuisses dont elle ignorait qui contenait aussi des signes et aussi des vergetures.
_ ça suffit
_ Les hommes ont toujours tendance à penser que la bouche, les seins et le vagin sont les seuls endroits où les femmes peuvent ressentir du plaisir mais tout son corps peut être caresser tout son corps peut être sujet du plaisir. Inspecteur, j'ai déjà fait jouir une femme juste en lui caressant le dos, j'ai déjà fait gémir une femme juste en lui embrassant l'épaule.
_ On dirait que vous ne comprenez pas la gravité de la situation.
- J'ai juste donné du plaisir à une femme.
- Vous avez donné du plaisir à la mauvaise femme.
- Tant que ça reste une femme, elle en a droit. Les femmes sont une pièce de puzzle, bien emboîté, elles peuvent former une jolie image, un doigt par ci, une respiration par là, quelques coup de langue et elles deviendront Soprano.
- J'ai une femme, vos conseils, vous pouvez vous les garder.
- Elle est comment votre femme?
- Excusez moi?
- Elle est comment votre femme?
- Je pensais avoir mal entendu.
- Elle est...
- Vous savez pourquoi vous être en garde à vue?
- Dites le moi.
- L'une de vos partenaires sexuelles tuent les autres.
- Une seule de mes partenaires est morte et le fait de trouver mon ADN sur les lieux n'est pas très concluant vu que je lui rend visite souvent et la vidéo montre seulement deux femmes qui se battent pour un homme.
- Vous avez l'air sûr de vous.
- Être marié, ne signifie pas combler son partenaire. Depuis quand vous lui avez fait
l'amour?
- Je pense que je vais vous laisser deux jours de plus ici.
- J'ai obtempéré.
- Votre description d'elle était plutôt une description d'une scène érotique.
- Je ne l'ai connu qu'à travers nos ébats, je ne les ai toutes connu qu'à travers leur corps. Et pour votre femme, si c'est une femme en chair c'est la cuisse et les hanches, une femme sans chair, c'est le ventre et l'entre jambe.
- Continuez à déblatérer et vous allez voir.
- J'aimerais bien rester avec vous mais je connais mes droits et je n'ai aucune raison
d'être là alors je vais prendre congé. Dis je en me levant de mon siège.
Après quelques minutes, je suis enfin libre après 5 heures d'enfermement. Pendant
je me dirigeais vers ma voiture, je tomba sur une magnifique afro-américaine.
- excusez moi.
- Que puis je faire pour vous?
- Ce sera avec plaisir, j'aimerais un dîner avec toi, samedi prochain.
- Si vous sortez de ce bâtiment c'est soit vous êtes policier ou un criminel?
- J'aurai pu venir faire une déposition
- Et à quel sujet?
- D'une femme qui tue mes partenaires.
- Dois je m'inquiéter?
- Vous êtes policières, vous saurez lui passer les menottes.
- Samedi à 20h. Dit elle en attrapant mon téléphone pour mettre son numéro, ça faillit être sexy si elle n'avait pas demandé mon code.
- Sans faute. Dis je en regardant son cul quand elle finit par entrer dans ma voiture. - Combien vais je devoir tuer pour que tu comprennes?
- Elles sont magnifiques
- Avant que tu es couché avec eux ou après?
- Je te rappelle que je suis un incube et que je ne peux m'en passer et je te cherche en même temps une autre enveloppe corporelle tu te doutes qu'avoir le syndrome du coeur brisé n'est pas au top, si on avait su que tuer Dady aurait brisé son petit coeur, on n'aurait fait l'inverse d'abord .
- Si tu te mettais au boulot au lieu de batifoler, on aurait déjà trouvé un corps
- Si tu ne les tuais pas, on aurait déjà trouvé un corps avec le temps que tu m'as fait perdre dans ce poste.
- D'accord d'accord, choisis en une qui te plaît.
- Gadjy, ne t'inquiète pas tu es la seule que j'aime et tu le sais parole de démon.
- Les démons n'ont pas de parole. Dit elle en me regardant mal.
- J'aurais essayé. Dis je en lui souriant.
Trois ans et j'aime toujours cette sorcière qui m'a fait revivre, les démons peuvent
tomber amoureux en fin de compte.
- Cette policière sera parfaite, je le sens, prépares toi dès samedi, tu auras un nouveau corps.
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Auteures:
Hallie Nissa Michel
Jimla M. Théodate
EL-Thaïna Dérilus
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Quand un démon s'y joint
ParanormalJe n'ai pas voulu ça. J'en ai désiré des choses pourtant. Mais tout, sauf ça.