PDV DARYL.
J'avais toujours eu de l'espoir en June, je savais que tôt ou tard elle reviendrait comme elle était toujours revenu. A chaque fois qu'on la croyait morte elle revenait, plus que vivante, elle passait deux jours à l'infirmerie et repartais sur les routes comme un petit mouton égaré. Mais aujourd'hui je savais qu'elle ne reviendrais pas, j'en étais persuader, si elle a léguer sa place à Jerry c'est d'abord par ma faute avec ce que je venais de lui dire et aussi, parce que elle n'avait aucun espoir en ce que Ethan sois en vie, pourtant moi j'y crois. J'avais traqué la horde de Alpha sur des kilomètres, j'étais aveuglé par le colère, je m'en voulais, j'en voulais terriblement à Carol de m'avoir fait croire que June n'était pas une fille pour moi, je me détestais, je me détestait tellement que physiquement j'avais mal de partout mais je ne arrêtais pas. On aurait dit un buffle enragé, plus rien ne pouvais arrêter. Je venais de tirer l'une de mes dernières flèches sur un mordeur et manque de chance un des chuchoteurs l'avais remarquer. C'est a ce même moment que je sortis de ma cachette pour foncer tête baisser en direction de Alpha qui venait de sortir de sa tanière pour mettre les pieds dans l'eau du lac qu'il y avait en contre bas. Je poignarde à la jambe un premier chuchoteur qui tombe en hurlant de douleur, presque directement des mordeurs se jettent sur lui. Alpha était au aguet, elle regardait avec attention l'homme de sa horde entrain de se faire bouffer par les "gardiens" comme elle les appelle si bien. Je décide de contourner la petite horde pour arriver par surprise derrière Alpha, ce que je réussis à faire facilement, les deux pequenaud qui "protégeaient" Alpha ne furent pas difficile à tuer, au contraire, je planta mon couteau dans le crane du premier et trancha la gorge du deuxième pour finalement arriver en face du goat, ALPHA. J'arrive avec un coup de pied à lui arracher des mains son fusil, mon bras part en avant pour essayer de la toucher avec mon couteau, mais je n'y parvient pas. Quant a elle, elle arrive tout de même à me mettre un coup de tête puis à m'ouvrir la jambe avec un couteau. Je suis aveuglé, mes yeux voient rouge tandis que je sais très bien que la folle se tient derrière moi prête à me tuer. Je me muni d'une branche assez solide que je récupère à terre, que je lui plante dans l'épaule. J'appuis fort, jusqu'à qu'elle saigne.
-Ils sont ou, hurlais-je de toute mes forces. Dit le moi !
Je me détache deux minutes mon emprise pour pouvoir tuer rapidement les mordeurs qui arrive droit sur nous. Je savais que je n'avais pas beaucoup de temps, en plus de cela, ma vie était tellement trouble que j'avais peur de me faire mordre. Je gigotais dans tous les sens avec mon bout de bois pour essayer de toucher alpha mais en vain, je ne réussis pas. En revanche elle réussi à m'enfoncer un couteau dans la cuisse, je hurle de douleur. Avec ma vue troublé et un couteau dans la jambe je devais absolument me tirer d'ici. Je réussi à me cacher dans une vieille station essence quelque mètre plus loin. Le couteau toujours planter dans la jambe, je souffle de douleur, la vue toujours aussi floue, j'essaye de m'essuyer les yeux, mais rien à faire. Je l'entend arriver avec ses gros pieds, on l'entend de loin. Je regarde au dessus de moi pour voir ce qui pourrait m'aider, sur la commode au dessus de moi je parviens à attraper un pied de biche que je garde bien près de moi. Je l'entend s'assois à l'entrer de la station, sans un bruit elle prend son fusil dans une main et tape lourdement contre un tuyaux en fer histoire de bien faire du bruit et de bien attirer les rodeurs. J'en entend un qui se rapproche de la ou je suis, je sers très fort contre moi le pied de biche, dans ma tête des images de June tourne en boucle, pas maintenant, pas elle.
FLASH-BACK DE DARYL.
-Où tu vas ?
Ma voix pâteuse à soudainement pris un ton paniqué.
-Me changer.
Elle ramasse mon t-shirt par terre.
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The Walking Dead (TOME 3)
ActionInspirée de la série The Walking dead, avec certain personnages emblématiques. Résumé de l'histoire : "Il est bon d'avoir un peu de mal à vivre et de ne pas suivre une route toute unie. Je plains les rois s'ils n'ont qu'à désirer ; et les dieux, s'i...