{2} Soukoku

1.4K 71 99
                                    

TW:
Tentative de suicide
Viol
Médicaments
Vomi
Mutilation
Je sais pas comment le formuler mais à un moment il entend des voix aussi ;-;

De Dazai:
Chûya...

De Dazai:
Aide-moi

De Dazai:
J'y arrive plus... Je sais plus quoi faire

De Dazai:
Pitié j'ai besoin de toi

De Chûya:
Dazai?!

De Chûya:
Qu'est-ce que t'as?!

De Chûya:
Dazai est-ce que tu as pris des médocs?

De Chûya:
T'as bu?

De Chûya:
Tu t'es mutilé?

De Chûya:
Réponds putain!

De Dazai:
J'ai mal...

De Chûya:
T'es chez toi?

De Dazai:
Oui...

De Chûya:
J'arrive, fais pas de conneries.

De Chûya:
Tu veux que je t'appelle?

De Dazai:
Je veux pas que tu me vois comme ça...

De Dazai:
Putain je me déteste

De Chûya:
Dis pas ça...

De Chûya:
Je suis là dans 5 minutes.

Chûya vérifia ses notifications. Plus de messages de Dazai depuis le dernier qu'il avait envoyer.

Putain...

Il rentra dans l'appartement - il avait crocheté la serrure - et chercha Dazai. Il fini par le trouver dans le salon, assis au sol le dos contre un fauteuil. Autour de lui, il y avait plusieurs boîtes de médicaments et une lame de rasoir ensanglantée. Son bras gauche saignait beaucoup trop. Il pleurait à chaudes larmes bien qu'il tourna la tête dans une tentative de le cacher.

- Putain Dazai... Mais qu'est-ce que tu t'es fait?! s'exclama le roux

Chûya s'assit en face de lui et lui attrapa le visage pour le forcer à le regarder.

- T'as pris combien de boites de médocs bordel?!

Silence. Chûya inspire. Il faut qu'il reste calme.

- Dazai, tu veux que je t'aide n'est-ce pas? Alors, tu as pris combien de boites de médicaments?

- Je... Je sais pas. Une p-peut-être de... deux.

Dazai lui jette un regard à l'aide. Et bordel c'est horriblement douloureux parce qu'il a l'air anéanti, dévasté et totalement perdu.

- Ça me fait mal... là, dit en mettant sa main droite à l'emplacement de son cœur. Pourquoi ça fait si mal Chûya?!

Il semble effrayé. Et il faut quelques instants à Chûya pour se rappeler que Dazai n'a pas l'habitude de ressentir ces choses là. Ni même de ressentir quelque chose.

- Ce... C'est parce que tu es triste, expliqua le plus âgé.

- Je suis... triste? répète le brun comme un enfant. J'aime pas ça.

Chûya hoche la tête. C'est compréhensible.

Il se met debout et aide Dazai à faire de même. Puis, il l'emmène à la salle de bain.

Partenaires particuliersOù les histoires vivent. Découvrez maintenant