13 - ASAFA

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Asafa

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Asafa.

J'étais sorti de l'appartement en silence pour pas réveiller l'autre. Je m'étais doucher, habillé parfumer etc.

Je roulais jusqu'à l'adresse, qu'elle m'avait donné je suis passé la récupérer pour qu'on puisse aller à l'hôtel.

Elle monte dans la voiture comme d'habitude tout se passe dans le silence, dans le plus grand des silences. Elle voulait faire comme d'habitude.

- Filme moi et je te demarre.

Elle baisse automatiquement son téléphone, et enlève l'application snap. Elle voulait trop prouver et j'aimais pas ça.

Nous arrivons enfin je me gare en chap chap.

Nous descendons, nous montons directement à la porte. Elle ouvre la chambre et rentre. D'un coup je me suis senti pas à ma place, j'ai eu comme une révélation.

- Qu'est-ce que je fais là ?

Je commence à reculer quelques chose me répéter, tu es pas à ta place.

Sana - Quoi ?

Je lui tourne le dos, non je pouvais pas faire ça.

Je voyais le sourire de Kenna dans ma tête et je l'imaginais en larme. Je ressentais quelques chose a ça je voulais pas.

Elle hurlait mon prénom mais c'était pas mon problème.

Je suis rentré dans ma voiture et j'ai démarré jusqu'à la où je devais être.

(...)

J'avais roulé quelques minutes dans le silence complet, malgré que mon téléphone ne faisait que de sonner mais ça me regardait pas. J'étais enfin arrivé devant la porte de ce cimetière de base il devait être fermé mais bon celui-là est toujours ouvert.

Je rentre je vais là il se reposer, quand j'arrive devant lui j'avais les larmes au yeux. Que lui pouvait toucher mon coeur, le seul. Quand je voyais son nom sur sa tombe : Alain Mayala. 1972-20**

- Le vieux tu nous manque à tous. Dis-je en souriant. Avant quand tu criais et était aigri je comprenais pas mais au Nom au jour d'aujourd'hui je te comprends gérer une famille ce n'est pas facile t'avais les épaules solide de pas craquer. Repris-je.

Je m'accroupis, et caresse sa tombe. Je me rappelais de tout ces moments que j'avais passé avec lui. La plupart des mecs ont relation conflictuelle avec leur père mais moi mon père s'était trop mon gars, on s'entendait comme deux potes. Je pouvais dead pour mon soldats, c'était plus compliqué avec Hami mais lui et moi c'était l'amour fou.

- J'ai eu le temps d'acheter des fleurs mais je sais que tu aurais préféré des billets d'argent à la place. Hein mon bon soldat. Dis-je en souriant.

Soldat c'est comme ça qu'il m'appeler tout le temps, c'était mon surnom pour mon père j'allais finir à l'armée mais bon c'était pas ma direction.

- Tu me manque mon vieux mais bon on garde la face, maintenant.

Mes larmes menaçaient de couler mais je pouvais pas pleurer, je n'arrivais pas surtout.

- Mama va bien d'ailleurs tu lui manque beaucoup même si elle le montre pas, des fois j'ai l'impression qu'elle morte le jour où tu es parti même si elle essaye de continuer sa vie. Tu étais sa moitié et son pilier. Je sais pas comment tu as fait le vieux mais je te suspecte d'être un magicien car tu as réussi à détourner son cœur alors qu'a la base c'était pas gagné j'aurais aimé que tu sois là pour que tu me dise quoi faire avec ma femme. Bah oui tu es pas au courant mais je suis marié papa. Je me suis marié il a quelques mois j'ai suivis tes pas. J'ai choisis ma femme. Mais je suis aps comme toi j'ai pas hérité de ton charisme pour charmer les dames, je suis pas un petit dragueur comme toi. Un jour je te l'a présenterai. Si on se croise dans les cieux. Il faut que je vais la rejoindre papa mais je reviendrai je te promet.

Je me suis rappelé d'une phrase qui me disait.

- Oui oui on promet pas le vieux, mais bon je te donne ma parole.

Je me lève et souris.

- Et oui ta seule fille a grandit j'aurais aimer que tu puisse la voir, elle ressemble tellement a ta femme tu aurais câbler de voir la bombe que c'est devenu. Tu lui aurais fait des crises de jalousie. La plus belle femme de ta vie comme tu disais. Celle qui allait jamais te trahir.

Je me lève.

- Au revoir soldat.

Je me retourne et sors de ce cimetière, je monte dans ma voiture. Une larme avait coulé je l'essuie immédiatement.

Et je me suis dis j'agissais pas comme un homme, j'avais marié Kenna dans le but de recréer l'histoire de mes parents. Je voulais qu'à la fin de se mariage je l'aime plus que mon père aimait ma mère mais je m'amusais à aller baisers Sara au lieu de conquérir son cœur.

Oui je pense pas l'aimer car je saurais incapable d'aimer d'autre personne que les gens de ma famille mais je l'a voulais. Bref je me comprenais.

J'ai roulé jusqu'à chez moi, je roulais avec des musiques de white dans la voiture, des musiques bien dépression je me faisais pitié moi-même carrément.

Je descends de ma voiture, je monte jusqu'à la maison, je vais me laver une dernière fois.

C'est moi qui paye l'eau de tout façon, je me lave et je vais dans notre chambre. J'observais l'autre dormir, elle était belle de ouf ma mère avait raison sur elle c'était elle qui me fallait. Je m'efforçais à l'aimer mais c'était elle qui me fallait.

Je m'allonge sur le lit à ses côtés, je ne savais pas quoi faire alors je prends mon courage à deux mains. Je l'a tire légèrement vers moi et la colle à mon torse, elle se réveille un tout petit mais tellement dans les vapes qu'elle me serre aussi je lui embrasse la tête. Elle dormait comme un gros bébé, je souriais solo car je sais que mon père serai fière.

- Désolé Kenna.


By Jyjanah
© Éphémère Production

𝐉𝐞 𝐭'𝐚𝐢 𝐜𝐡𝐨𝐢𝐬𝐢... Où les histoires vivent. Découvrez maintenant