37 - HAMI

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Hami

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Hami.

Asafa - Arrête de stresser comme un ouf.

Namar - Ça va bien se passer.

Youssouf - Regarde même pas l'autre pute.

Asafa - Maitrises de soi, tu reste calme tu montre tout tes preuves et on vas récupérer la petite.

Souleymane - On y vas ça va bientôt commencer.

J'étais habillé grave en mode classe, aujourd'hui c'était le procès pour la garde de Nia et j'étais stressé comme un ouf.

Nous rentrions avec mes frères qui m'ont accompagné dans le tribunal, on vas rejoindre notre maître qui me parlait j'écoutais attentivement ce qu'il me disait c'était important.

Asafa il faisait le mec qui garder son calme mais je sais qu'il était plus stressé que moi, je le voyais dans ses yeux. Depuis son mariage Asafa devenait de plus en plus expressif cette petite avait réussi à transformer mon frère, c'était beau l'amour Asafa il avait jamais été plus heureux que depuis l'arrivée de Kenna dans sa vie.

C'était comme moi et l'arrivé de Nia, c'était pareil.

Rien d'y penser ça me brûler le coeur ça faisait 5 mois depuis cette histoire que j'avais pas vu ma fille.

5 mois sans mon poumon, j'étais devenu pire que squelettique tellement j'allais pas bien.

Ma fille, c'est tout pour moi et 5 mois sans l'a voir. Elle avait recommencé l'école sans moi, j'allais devoir passer les fêtes de fin d'année sans elle c'était quelque chose d'impossible pour moi j'avais pas le droit de visite on me refusait de la voir pourtant l'autre pute elle pouvait, elle est venue dans sa vie pour un but que fallait que je découvre.

Quand la salle d'audience s'ouvre, chaque parti vas s'asseoir et se constitue.

Je voyais Anissa avec ses copines les grosse putes, j'étais énervé comme pas possible mon nez surtout mes narines étaient dilatées j'avais la haine.

Asafa - Arrête de l'a regarder pense à Nia.

Souleymane - Courage mon reuf ! Dit-il me massant l'épaule.

Je me sentais pas seul, ma mère voulait venir mais je voulais pas qu'elle entende les bêtises de l'autre je l'a connais elle saurait mis à hurler dans la salle et comme avec Asafa ont lui a toujours dit laisse nous régler nos problèmes on est des hommes donc elle s'en mêle pas trop même si je sais que sa petite fille lui manque comme elle nous manque à tous.

Je reçois un message d'Hawa elle me disait : « bon courage ❤️  »

Je lui ai mis un vu depuis la perte de Nia j'avais pas le temps pour les amourettes c'était ma fille sui me fallait et personne d'autre.

Elle était très gentille à me soutenir car même si je l'a calcule pas, elle avait les doubles des clés donc elle vient faire le ménage et à manger pour moi. Elle s'occupe de chez moi comme si c'était chez elle, c'est ça que j'aimais chez elle que malgré que je pouvais la rejeter je sais pas combien de fois elle était toujours là. Au fond ça me faisait plaisir mais bon ma priorité c'était Nia et rien d'autre.

Madame la Juge débarque dans la salle d'audience, tous les partis se lèvent.

Juge - Bonjour Mesdames et Monsieur, je suis le juge chargé de cette affaire nous sommes le 17 décembre 20**, nous sommes sur l'affaire 10928022. Affrontant les deux parties madame Anissa Ben Salem et monsieur Hami Mayala. C'est ça ? Alors je vais écouter le parti de la victime en premier.

Son avocat se lève et commence à défendre sa « victime », j'avais la haine juste à l'entendre cette grosse petasse ça m'énerve qu'elle vienne expliquer un trucs ou elle était pas là.

Avocat Anissa - Madame Ben Salem à eu Nia, à l'âge de 18 ans avec monsieur Mayala ce qui est très tôt je vous l'accorde dès le début de cette grossesse monsieur Mayala et sa famille ont poussé plusieurs fois à l'avortement.

J'ai écarté mes yeux par ce gros mensonge des le début de ce procès.

- C'est pas possible de mentir comme ça. Dis-je en chuchotant.

La meuf a retourner juste une question que je lui ai posé je lui avais juste demandé si elle était sur si elle ne préférait pas l'avortement que dans n'importe quel choix je l'a soutiendrai mais qu'on était encore jeune on avait le temps d'avoir des enfants jamais j'ai essayé de la faire avorté je voulais juste respecter son choix c'est tout.

Mon avocat l'avait anticipé qu'elle avait pas beaucoup de chance de gagner alors ils allaient essayer de jouer sur les mots.

L'autre continuait de miser sur son discours de mon entourage qui ne voulait pas de l'enfant etc. Je trouvais ça juste ridicule de miser tout un procès sur ça et surtout faire perdre de l'argent à l'Etat pour des conneries comme ça même le juge était sidéré car ces questions qui avait été posées étaient fondées on était jeune donc c'est normal que tout le monde lui pose la question si elle était sur de son choix.

Juge - Maitre Sanchez, avez vous fini ?

Avocat Anissa - Oui j'ai fini madame la Juge.

Juge - Maitre Coreiya, a vous.

Avocat - Mais nous perdons notre temps ? Allons-nous blâmer une famille qui ne voulait que du biens à son fils et celle qui était sa petite amie de l'époque c'est légitime au vu de l'âge des deux personnes qu'on s'inquiète pour eux. Mais maître Sanchez vous nous avez fait une longue plaidoirie sur le fait que tout l'entourage quand je reprends vos termes que l'entourage de monsieur Mayala ont poussé madame Ben Salem a avorté donc ça fait de cette entourage un danger pour cette enfant ? Alors que ceci fait 6 ans que cette enfant vit dans cette famille et aucune plainte de négligence ou même de maltraitante à été signalée on pourrait faire passer chacune des personnes qui ont partagé la vie de cette enfant a témoigné ils témoigneront la même chose. Mais madame Ben Salem ne vous as pas omis un détail ? Que sa propre famille a poussé madame Ben Salem dans des escaliers au moment de sa grossesse ?

𝐉𝐞 𝐭'𝐚𝐢 𝐜𝐡𝐨𝐢𝐬𝐢... Où les histoires vivent. Découvrez maintenant