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Asafa.
Souleymane - Je croyais qu'on était frère ! Putain comment vous avez pu me cacher ça !
Namar - Asafa était pas au courant, je l'ai fait pour nous protéger.
Souleymane - Protéger ! Protéger ta petite gueule tu veux dire !
- Arrête de crier sa sert à rien..
Souleymane - Mais ! Tu es de son côté Biff ? Tu es de son côté ?
- Je suis du côté de personne, je suis neutre.
Souleymane - Nique ta mère avec ta neutralité.. toi.
- Parle bien de ma mère, donne lui du respect je te le dis.
Souleymane - Il a flingue le frère de ma femme et tout le monde trouve ça normal ?
- Lui, tu crois qu'il voulait pas nous flinguer ? Tu crois qu'il avait pas de plan ? Qu'est-ce que tu fais le vendu il t'a jamais aimé !
Souleymane - Tu crois que moi ça me fait plaisir de la voir souffrir ?
- Bah c'était soit lui, soit elle aurait pleuré ta mort, celle de Namar et la mienne.
Souleymane - C'est vrai, le mec qui a faillit tue la petite sœur de sa femme pour de l'argent.
- Ferme t'a gueule toi, si c'est pour rien dire je te l'ai déjà dit.
Namar - On devrait faire la fête.
Souleymane - Tu es con ou quoi Namar ? Tu tue un mec en prison et tu crois que les flics vont pas s'en mêler ?
Namar - C'est pas moi qui l'as tué sale fou.
Souleymane - Organisé c'est la même non ? Tu crois ça va pas te remonter ?
Namar - Tu crois que je suis un con ?
Souleymane - J'ai dit ça ?
Namar - Pourquoi tu pose cette question alors ?
Souleymane - Bah réponds à ma question !
Namar - Oh oh, je sais ce que je fais.
Souleymane - Si ça nous remonte à cause de tes conneries suicide toi, wAllah je te parle sérieusement.
- Arrête de dire de la merde.
Souleymane - Je vais pas aller en taule parce que ce con ne sait pas faire des plans carrés.
Namar - Toi baise..
- Namar ?
Namar - WAllah c'est lui il me casse les couilles en ce moment.
Souleymane - Parce que t'agis comme un con qui ne sait pas réfléchir.
- Vous deux, vous cassez les couilles vraiment.
Lassana - Boss ?
On se retourne, il a eu le temps de parler qu'un mec arrive dans mon bureau il était bien entouré celui-là.
Namar - Oh oh tu es qui toi ?
Souleymane - C'est le cousin de Bakary.
Namar et moi, on se regarde je reste neutre il voulait nous impressionné.
Namar - Il s'appelle comment cet enfoire du coup ?
Souleymane - Djibril.
On le regarde tous.
Lassana - Il voulait te voir, je sais pas pourquoi.
Namar - Toi tu as perdu ton 3 eme bras, comment il entre sans que tu lui fasse un trucs ?
Souleymane - Salam Aleykoum rho.
Djibril - Aleykoum Salam.
Namar - Tu viens faire quoi ici ?
Djibril - Tu es toujours sur les nerfs le chien de garde ?
Il fallait pas une de plus, pour ça Namar s'est mis en colère en ce moment nos rôles c'était inversé.
Souleymane s'oppose immédiatement puis dit un trucs à Namar qui le calme immédiatement.
Djibril - On peut parler comme des grandes personnes ?
Souleymane - Dis nous mon frère.
Djibril - Il ne parle lui ?
Il se retourne sur moi.
Souleymane - Il t'écoute.
Djibril - C'est lui, le boss ?
Souleymane - Il a pas de boss entre nous trois on boss ensemble.
Djibril - C'est qui Biff ?
- C'est moi.
Djibril - C'est toi que je suis venu chercher alors.
Namar - Tu es venu chercher personne, retourne d'où tu viens.
Djibril - Apprenez lui à fermer sa gueule à celui-là.
Souleymane - Tu viens pour faire quoi ? Il a raison pourquoi tu débarque ici ?
Djibril - J'ai un message à faire passer.
On a tous senti le coup venir, donc j'ai récupéré mon arme aussitôt et en même temps on as pointé nos armes sur eux.
Djibril - Du calme, c'était un message de Bakary qu'il repose en paix Allah y rahmo. Il m'avait dit si il lui arrivait un trucs je devais venir voir Biff.
Namar - Qu'est ce qu'il veut ?
Souleymane - À Biff ? Alors c'est moi qui ai marié avec sa sœur ?
Djibril - Il m'a dit Biff, retrouve moi demain à cette adresse.
Il me tends une feuille où une adresse était marquée.
Djibril - Viens seul sans personne.
Namar - Tu crois qu'on est con ou quoi ? Il viendra pas seul.
Djibril - Si tu veux, pour te rassurer viens avec ton chien de garde et mon beau frère.
Souleymane - On viendra.
Namar - J'espère que c'est important.
Djibril - Tu verra le moment venu.
(...)
Nous étions devant c'était un entrepôt, c'était une mauvaise idée mais fallait qu'on en finisse avec cette histoire de Bakary vous croyez pas non ?
Souleymane - Je le sens pas Asafa.
Namar - Moi aussi, mais il fait qu'on a les couille.
- Si on meurt, on mourra en guerrier pas en étant des pd.
