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Asafa.
Nous venions d'arriver dans l'entrepôt, je me gare devant. Elle allait sortir, je lui attrape le bras.
- Tu es bref tu parle pas beaucoup.
Elle touche ma main et pose la sienne par dessus.
Sana - Laisse moi je sais ce que je fais.
Attendez ce n'est pas ce que vous croyez.
Jyjanah - C'est quoi alors ?
C'est le business.
Nous sortons de la voiture.
GEO - Ce n'est pas ce qu'on avait prévu la miss tu devais venir toute seule.
Sana - Pour que tu puisse m'attaquer sans que je puisse répliquer non merci.
GEO - Je te l'accorde car tu es très jolie comme femme.
Je l'a regarde ça avait l'air de lui plaire ses compliments car elle souriait comme un conne.
Je regardais la scène sans rien dire.
Sana - On passe au chose sérieuse ?
GEO - Déjà tu veux parler de business, tu es plutôt rapide comme partenaire toi.
Sana - On est là pour ça.
GEO - J'arrive pas à croire que c'est une femme qui gère ça.
Sana - Parce que tu pense qu'on est pas capable ?
GEO - J'ai pas dit ça mais ça te rajoute un charme. C'est qui le mec qui est avec toi ?
Sana - Te préoccupe pas de lui.
Je ne disais rien, j'étais pose sur la voiture je l'ai regardé discuter plutôt je regardais l'autre parler.
Il parlait et puis elle est venue vers moi.
- Tu fais quoi ?
Sana - Laisse moi gérer.
Elle récupère le sac, je lui retiens sa main.
- Si sa dérape Sana, Sana si sa dérape.
Elle retire violemment sa main en tirant le sac.
GEO - Il a quoi ?
Elle me regarde en mode maintenant on dit quoi.
- Rien bg.
Elle s'avance vers le mec avec le sac.
Sana - C'est ta marchandise maintenant donne moi l'argent. Dit-elle en lui tendant le sac.
GEO - Attend avant je teste la marchandise.
Sana se retourne, me regarde et ne dis rien. J'avoue que l'adrénaline était à son fort mais on devait garder la face. Je le regardais goûter cette merde, il secoue sa tête.
Sana - Teste la autant que tu veux elle est authentique.
Je l'a regarde et souris voilà pourquoi j'aimais cette fille, elle avait peur de rien.
Il regoutte la merde et puis nous souris.
GEO - Vient chercher ton sac.
Elle s'avance avec ses talons, elle roulait son gros cul de grosse pute devant moi. Sana était pas mal physiquement mais bon pas à la hauteur de madame. Elle va chercher le sac et puis reviens.
GEO - C'est la première avance et la deuxième partie tu l'a retrouvera quand vous nous donnerai la marchandise.
Sana - D'accords.
GEO - J'ai aimé faire affaire avec toi, tu remercieras Bakary.
Sana - J'oublierais pas.
Je monte dans la voiture en premier, elle me suit juste après. Je démarre l'autre con nous regardais démarrer.
- Petit con.
Sana - Putain mon coeur est entrain de battre !
Je souris, et l'a regarde.
- Tu fais kiffer, tu as géré mama.
Sana - Bakary voudra ma peau.
- Le risque du métier chérie. Dis-je avec le sourire.
Je tape demi tour et je commence à rouler.
- Envoi un message à Souleymane et dis lui qu'on a fait le boulot.
(...)
Nous étions tous dans la voiture, je respirais lentement.
Levis - Venez on fait une prière tous ensemble.
Lassana - Ferme t'a gueule, tu vas allumer des mecs et tu veux prier ?
Jonathan - Il est niquer lui.
Karim - Arrêtez de parler gros imaginez on nous pete.
Levis - On attends quoi ? Mon coeur bat de baisers.
- Vos gueules. Dis-je fermement.
Tout le monde s'est tue, j'attendais le signal de Namar. Je savais la dinguerie que je faisais mais on y était alors je pouvais pas reculer.
Karim - Patron regarde il a une voiture qui part.
- Ferme t'a gueule.
J'entends mon téléphone sonnait et je vois le message de Namar : « A toi patron. »
Je hoche la tête à Lassana et il démarre.
Tout d'un coup s'est accéléré.
- Mettez vos cagoules.
Tous le monde enfile sa cagoule, on roule derrière la voiture.
- Accélère.
Lassana accélère sans broncher.
- Dépasse.
On dépasse la voiture.
- Freine !
Il freine d'un coup ce qui fait déraper la voiture derrière.
- A vous les gars.
On sort de la voiture armée comme au Mexique puis on se met à tiré. Je vois la voiture de Namar et puis Souley arrivait.
Je me faufile pendant les tires, je prend le sac de notre marchandise dans la voiture je réussi à en prendre deux.
Namar - Asafa attention !
De la j'entends un coup de feu, tout est arrivé si vite que j'ai rien vu venir.
