Chapitre 66 7 mois

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Je mourrais d'envie d'en parler a quelqu'un mais je pouvais en parler a personnes de ma famille ou même de mon entourage.

Je suis enfermé dans cette spiral d'enfer, si j'en parle a mes parents a coups sur il y aurait eu de grosse embrouille a la maison. Des grosses embrouilles il y en a déjà souvent a cause de Bilel, je ne veut pas en rajouté une couche. Mes parents s'embrouille beaucoup pour son cas, car mon père a baissé les bras pour lui, entre Bilel et papa le dialogue et complètement interrompu, il n'y a même plus de bonjour comment tu va entre eux deux.

Ma mère ramène Ismaël pour essayer de le calmer, mais rien y fais entre eux deux sa fini en bagarre. Bilel ce bas aussi avec Mehdi. Bilel est entrain de ce mettre toute la famille a dos, les seule personnes qui sont derrière lui c'est Maman et moi.

Ma mère est moi on a beau essayer de lui parler mais rien y fais il s'en fou complètement.
Ma mère lui parle souvent des règlements de compte, des mères qui perdent leurs enfants. Elle a peur pour lui, mais rien y fais il continue il fais le sourd en lui disant " Maman ne t'inquiète pas pour moi je suis grand je me débrouille". Sa frase préféré...

Revenons a mon sujet, je ne veut pas leur dire se que Kenza me fais a cause des tentions a la maison. Mais il n'y a pas que sa, j'ai peur des répercutions que pourra avoir Kenza. C'est bizarre j'ai peur d'en parler a mes parents, enfaite j'ai aussi peur pour Kenza, je c'est c'est peut être bizarre a dire mais oui j'ai peur pour elle.

Je me dis qu'un jours elle s'arrêtera, mais nan elle continue, elle n'a aucune pitié aucune honte a frapper une personne en fauteuil roulant. Sa la fais plutôt rire se qu'elle me fais subir.

Je ne sortais plus dehors car déjà j'étais mal, et avec mon entorse je ne pouvais pas bien utilisez mon fauteuil. On va aller au jours ou j'ai du enlever mon atèle au poignet, car y'avais pas vraiment de chose intéressante a mon propos.

J'étais hyper contente, j'allais enfin pouvoir sortir dehors avancez avec mon fauteuil. Mais j'allais aussi devoir parler a Ibrahim sa me faisais peur de lui dire tout se que je ressentais pour lui, on a peut être fais 5 ans ensemble mais avouer ce qu'on ressent sa fais toujours peur. Et surtout la c'est plus que avouer ce que je ressent c'est lui déballer ma vie.

Nous sommes début Septembre 2010, je n'ai toujours pas trouver d'école accessible au personnes en fauteuil, j'attends toujours une réponse du rectorat pour qu'il puisse me trouver une petite place. Sans diplôme c'est dure de trouver du travail, et en plus avec un handicape aussi imposant c'est encore plus dure.

Les autres vont encore a l'école ils ont tous continuer vers un Bts sauf Ibrahim et Merwan qui on voulu arrêter l'école.

Un jour Ibrahim voulais qu'on se voit, bon j'étais obligé d'accepeter je l'avais assez fais galérer. Donc je vais le rejoindre au QG, puis on s'éloigne de la cité

On ce pose dans un parc il es désert tous les enfant sont a l'école a cette heure si

Une vie entière changer a jamais croyez moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant