🎀 𝐇𝐱𝐇 | Kurapika Kuruta

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𝐔𝐧𝐢𝐯𝐞𝐫𝐬 : 𝐇𝐮𝐧𝐭𝐞𝐫 𝐱 𝐇𝐮𝐧𝐭𝐞𝐫 [𝐔𝐀]
𝐂𝐨𝐦𝐦𝐚𝐧𝐝𝐞 𝐝𝐞 : mamiehaneee
𝐑𝐞𝐚𝐝𝐞𝐫 : 𝐅𝐞́𝐦𝐢𝐧𝐢𝐧
𝐏𝐞𝐫𝐬𝐨𝐧𝐧𝐚𝐠𝐞 : 𝐊𝐮𝐫𝐮𝐭𝐚 𝐊𝐮𝐫𝐚𝐩𝐢𝐤𝐚

«Tu t'en sortiras (tp), je te le promets»

𝐈𝐌𝐌𝐎𝐁𝐈𝐋𝐄 𝐅𝐀𝐂𝐄 𝐀 𝐋𝐀 𝐅𝐄𝐍𝐄𝐓𝐑𝐄 de sa chambre d'hôpital, (tp) regardait à travers la vitre le beau paysage qui régnait de l'autre côté de cet hublot glacé

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𝐈𝐌𝐌𝐎𝐁𝐈𝐋𝐄 𝐅𝐀𝐂𝐄 𝐀 𝐋𝐀 𝐅𝐄𝐍𝐄𝐓𝐑𝐄 de sa chambre d'hôpital, (tp) regardait à travers la vitre le beau paysage qui régnait de l'autre côté de cet hublot glacé.

Elle regardait les oiseaux siffler et chanter, les feuilles, adoptant des tons automnaux, tomber de leur branche, dénudant l'arbre petit à petit. Elle observait également les cyclistes, munit de leur casque et mitaines, rouler sur la piste cyclable, en bord de route.

Finalement, elle observait tout ce qui était vivant, tout ce qui pouvait la distraire de ses journées ennuyeuses à l'hôpital.

Atteinte d'une leucémie myéloïde aiguë, une maladie potentiellement mortelle qui prend naissance dans les cellules souches du sang.

Pour suivre un traitement adapté à sa maladie, la jeune femme devait subir une chimiothérapie et devait obtenir une greffe de cellules souches, hors, les médecins n'avaient pas encore trouvé de donateur compatible avec elle.

À cause de la chimiothérapie, la jeune femme perdait petit à petit sa chevelure et avait honte, tellement honte de devenir chauve qu'elle cachait cette perte de cheveux grâce à un bonnet.

Elle ne bougeait jamais de sa chambre d'hôpital, elle n'en sortait pas de toute la journée. Elle attendait patiemment que son copain, Kurapika, lui rende visite, ce qu'il essaie de faire deux à trois fois par semaines.

Elle pouvait être sûre que tout les mardis, jeudis et samedis, il se débrouillait pour aller à l'hôpital où elle se trouvait, pour voir si elle allait bien, et ce jour-ci faisait parti des jours où il venait la voir.

Branchée à ses lunettes d'oxygène, tenant fermement son support de perfusion entre ses doigts, la jeune femme entendit la porte s'ouvrir lentement et doucement mais ne se retourna pas pour autant.

Salut (tp). Comment tu vas aujourd'hui ?

Elle avait reconnu cette voix, cette belle voix qu'elle adorait entendre et écouter avec attention. Elle voulait se retourner pour aller lui dire bonjour, parler avec lui mais quelque chose l'en empêchait. Étonnement, une partie d'elle ne voulait pas se tourner pour lui faire face et lui montrer dans quel état de faiblesse elle était.

Bah alors ? Tu me dis pas bonjour ? Tu es fatiguée à cause de la chimio c'est ça ?

Dis Kurapika ?

Oui ?

Est-ce que tu m'aimeras toujours même si je n'ai plus de cheveux ?

Bah bien sûr ! Qu'est-ce que c'est que cette question ! Je t'aime comme tu es. Peu m'importe si tu as des cheveux ou non.

La jeune (cc) se tourna finalement, quittant l'extérieur et la nature du regard pour le poser sur Kurapika, debout face à elle, un sac en papier semblant rempli dans les mains.

Qu'est-ce que c'est ?

Quoi donc ?

Ce sac en papier ?

Oh ça... Je t'ai acheté tes viennoiseries préférées pour te remonter le moral. S'expliqua-t-il, légèrement gêné et embarrassé. Tu viens t'asseoir avec moi ? Demanda-t-il ensuite, s'asseyant sur le lit bordé de la jeune femme en tapotant ensuite la place à côté de lui

La jeune femme sentit ses joues chauffer soudainement. Jamais encore elle n'avait eu droit à quelconques petites attentions de la sorte depuis son internement à l'hôpital. Elle détourna ensuite ses yeux des iris grisâtres du blond, elle aussi embarrassée d'un si beau présent.

Sans ajouter un mot de plus, elle s'avança vers son lit médicalisé tout en traînant avec elle sa perche à perfusion avant de prendre place à côté du jeune homme.

Tu t'en sortiras (tp), je te le promets. Tu vaincras ta maladie, je le sais.

Je- Merci beaucoup.

Tiens, sers-toi, je les ai acheté pour toi. Lui dit-il en lui tendant le sachet

Merci, mais je ne pense pas que je mangerais tout ce qu'il y a dans le sac. Et puis imagine si les infirmières me voient, je ne pense pas avoir le droit de manger ce genre de choses avec la maladie.

Tu peux bien faire un écart dans ton alimentation pour une fois ? Manges-en autant que tu veux, tant que ça te fait plaisir, tu te fiches pas mal des infirmières.

Merci Kurapika. Elle piocha dans le sac en papier blanc une pâtisserie avant d'embrasser timidement la joue du blond qui rougit instantanément

Hum, je, enlève-moi ce bonnet (tp), moi je te trouve très belle sans. Lui fit-il remarquer

Non, je préfère le garder, je suis plus à l'aise avec.

Comme tu voudras. Sinon, comment ça va en ce moment ?

Et ils parlèrent ainsi pendant quelques heures, jusqu'à ce que les visites soient fermées.

Lorsqu'ils étaient réunis ensemble, aucun des deux n'avaient la notion du temps car il passait à une vitesse folle lorsqu'ils discutaient.

Plusieurs mois plus tard, la jeune femme sortir enfin de l'hôpital, rétablie et guérie de sa leucémie, la chimiothérapie ayant marchée et les médecins avaient finalement trouvé un donateur pour les cellules souches qui lui fallait.

Elle pût donc reprendre une vie normale en compagnie de son copain Kurapika et pût vivre à nouveau une vie heureuse et extérieure, pas enfermée entre quatre murs.

Elle pût donc reprendre une vie normale en compagnie de son copain Kurapika et pût vivre à nouveau une vie heureuse et extérieure, pas enfermée entre quatre murs

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𝟗𝟓𝟖 𝐦𝐨𝐭𝐬

𝟐𝟓/𝟎𝟔/𝟐𝟎𝟐𝟐

『• • • ✎ • • •』

Bonjour bonsoir !!!

J'espère que cet OS vous aura plu ! J'ai bien aimé l'écrire !
J'espère que ça t'aura plu, que ça vous aura plu ! J'espère également avoir entre guillemets, respecté le caractère de Kurapika et ce que tu avais commandé ! Si ce n'est pas ce que tu attendais, fais moi en part ! Je ne le prendrais pas mal, bien au contraire !

Excuse-moi pour le retard choupette mais j'étais vraiment occupée et je ne trouvais pas d'inspiration jusqu'à maintenant ! Désolée :)

N'hésitez pas à donner votre avis en commentaire et merci d'avoir lu !
(Excusez-moi pour les éventuelles fautes de conjugaison, orthographe, etc...)

𝐃𝐈𝐋𝐄𝐂𝐓𝐈𝐎𝐍Où les histoires vivent. Découvrez maintenant