⸺ 𝐑𝐄𝐂𝐔𝐄𝐈𝐋 𝐃𝐄 𝐎𝐍𝐄 𝐒𝐇𝐎𝐓, 𝐓𝐄𝐗𝐓𝐄𝐒
[Commandes ouvertes]
Dilection : n.f. Amour pur et spirituel.
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Une rose rouge, symbole de la passion amoureuse, de la tendresse, de la douceur et de la fidélité, c'était ce qu'il lui offrait dès qu'ils se revoyaient. Pour la jeune femme, c'était le plus simple mais sûrement le plus beau des cadeaux qu'un homme puisse lui faire.
Elle aimait la simplicité et cela se distinguait de par son attitude positive mais décontractée, ce qui avait fort plu à Kakyoin.
Depuis tout petit le jeune homme ressentait une attirance autre qu'amicale envers la jeune fille qu'il connaissait depuis fort longtemps.
Juillet 1975 :
Étant enfant, les deux jeunes gens s'étaient rencontrés tout bêtement dans un parc de jeux.
Âgés de seulement 4 ans, les deux bambins avaient joué ensemble sous le regard attendrit des deux adultes qui avaient sympathisé le temps que les marmots s'amusaient.
Tout les jours, les nouveaux amis se retrouvaient au même parc de jeux pour discuter tout en regardant les enfants jouer et s'amuser sagement dans les bacs à sable puis sur les toboggans.
⸺ Maman ! Est-ce que (tp) peut venir goûter à la maison !? Avait soudainement crié l'enfant
⸺ Seulement si sa/son (mf) est d'accord Kakyoin. Avait-elle répondu d'un air attendri
⸺ Je n'y vois pas d'inconvénients. Avait répondu le/la (mf) de la fillette
⸺ C'est vrai (mf) !? Je peux aller goûter chez Kakoyin !? Avait demandé la petite fille
⸺ Oui (tp), vas-y. Je viendrai te chercher vers 17h, d'accord ?
⸺ Ouais comme ça on jouera au ballon ! Avait déclaré Kakyoin tout en jouant avec sa pelle dans le bac à sable
⸺ On y va les enfants ?
⸺ Ouii ! Avaient-ils tous deux répondu en chœur
Octobre 1988 :
Nous sommes donc maintenant en 1988, les bambins avaient grandit, chacun de leurs côtés et s'étaient perdu de vue mais retrouvés tout bêtement dans un café.
La jeune femme se tenait assise sur une chaise de métal peinte en blanc sur les terrasses d'un café, feuilletant et lisant un livre tout en fumant une cigarette.
Le jeune homme lui était passé à côté d'elle et s'était installé à la table voisine, croisant les jambes sous la table.
Le regard de la femme s'était posé sur le visage de l'homme assit à côté d'elle.
Ses traits de visages et puis cette couleur de cheveux hors du commun lui avait rappellé son ami d'enfance.
Le roux, lui, contemplait discrètement la belle jeune femme de la table d'à côté sans se douter une seule seconde qu'il l'avait connu et qu'il la connaissait.
