Silencieux

Chapitre 10:

POV extérieur:

Kaspar servait tranquillement ses clients lorsque sa soeur l'arrête dans la cuisine, il regarde sa soeur surpris tandis qu'elle le fait sortir par la porte arrière.

- Quesque tu fais Quierta!? Fit Kaspar avec son plateau vide dans les mains.

C'est alors que Mirabel arrive en tirant Isabela avant qu'elle laisse l'aînée dans la ruelle et repart en courant. Les deux tourtereaux se regardent déboussolés, ils se rapprochent et se saluent.

- Quesqu'ils leur prends d'un coup!? Fit Isabela un peu énervé.

- Je ne sais pas mais je n'aime pas ça...

Isabela regarde Kaspar en pensant qu'il préféré être ailleurs que avec elle mais Kaspar vient prouvé le contraire.

- Si ma soeur a envie de travaillé seule alors autant en profité. Dit il en venant sourire légèrement à Isabela. Ils pourraient prevenir tout de même, je ne suis pas...

- Tu es très bien!

Kaspar se senti rougir avant de venir se touché le coude, Isabela venait débloqué un nouveau geste  et elle devait essayé de le déchiffré.

- Tu n'aime pas les compliments?

- C'est pas ça c'est... venant de toi ça...

- Moi aussi j'aime bien quand tu me complimenté.

- Comment tu arrive a le dire sans etre gêné...?

- Parce que j'ai l'impression que tu ne me jugeras pas meme si c'est gênant sache que moi aussi je ne te jugerais pas.

Kaspar écarquille les yeux avant qu'une pensée lui traverse l'esprit et il détourne le regard, Isabela sent sa curiosité lui picotaient les bouts des doigts mais elle se rendit compte que ses lèvres lui picotaient aussi.

Elle décide de faire se qu'elle souhaité et vient lui faire un bisou sur la joue avant de regardé la reaction de l'homme.

- Je... c'est trop gênant a dire...

- Je t'écoute alors dépêche toi! Fit Isabela en croisant les bras.

- J'aurais aimé... me changé avant que tu ne le vois, je suis fâché...

- Faché? Contre ta soeur?

- Oui! J'aime etre présentable devant la personne qui est le plus importante pour moi!

Isabela sourie en voyant qu'elle avait reussi a le sorti de sa zone de confort et a lui permettre de s'exprimer.

- Tu peux allé te changé on est juste a côté de chez toi. Dit Isabela.

- O-oui tu veux venir?

- Ça ne te dérange pas de faire rentré une fille dans ta chambre?

- Et bien non... ça te dérange que quelqu'un rentre dans ta chambre?

- Je sais qu'elle est rangé donc.

Kaspar monte alors les escaliers qui se trouvé a l'extérieur du café et les conduit jusqu'à la maison de Quierta et son frere.

Isabela était impatiente de voir a quoi ressemble sa maison et surtout la chalnre de son bien aimé, esqu'il y avait des plantes? Des animaux? Ou bien des peintures mais se qu'elle voulait trouvé s'était des photos.

Elle savait que si elle trouvé la moindre photo, Kaspar pourrait lui parlé de ce moment qu'il avait gardé immortaliser dans le bout de papier.

Ils rentrent alors et c'était plus grand qu'elle n'imaginait tandis que ces yeux regardent chaque détail de la maison.

- Vous avez des animaux?

- Oui, enfin on va adopté un chiot mais pour l'instant il n'a pas encore l'âge pour se séparé de sa mère.

- Vous allez l'appeler comment!?

- On a pensé a Rico mais ça peut toujours changé.

- Qui es qui voulait un chiot?

- C'était moi, je pensé qu'une petite nouvelle compagnie pourrait apporté un peu plus la peche a ma soeur.

- Elle ne va pas bien?

- Quierta a beaucoup souffert de la mort de nos parents et a encore des séquelles, ma mere a toujours voulu un chien mais mon pere était allergique donc en ayant réalisé le rêve de ma mère peut etre que Quierta se sentirait plus légère... enfin! Désolé je voulais pas t'embêté avec mes histoires.

- Kaspar, tu es un super frère... moi j'ai été tout le contraire...

Kaspar regarde Isabela qui se regarde tristement dans un miroir, il vient alors remettre une meche derrière l'oreille de sa bien aimé.

- Tu l'as été mais pas forcément de manière consciente... tu te cherché.

Isabela regarde Kaspar dans les yeux avant de sentir sa gorge se serré, ses larmes montés tandis que son coeur tremblait toucher par les mots de Kaspar.

Elle tire alors Kaspar vers elle, le jeune homme surpris ne réalisé pas se qu'il allait se passé.