Chapitre 3

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Les roues sortent, l'engin commence à entamé sa descente vers la terre ferme.

Une fois au sol, les gens applaudissent les pilotes.

- On est arrivé Mizuki !

[ Dans la tête de Mizuki ]

Déjà, le temps est passer vite...

J'ai une boule au ventre et à la gorge... Maman je veux plus, je veux plus le voir, je veux plus être ici sans toi.

La petite fille sert les poings, effrayé.

- Viens Mizuki on y va.

Nan, nan, je veux pas !

Mizuki se tourne brusquement et repart vers l'avion.

- Mizuki où tu vas ?!

Son accompagnatrice la rattrape, et la tient par le bras de toute ses forces car la petite se débat.

- Hé mais calme toi ! Faut pas avoir peur comme ça !

- Mmm !

- Si tu veux dire quelques chose faut parler !

Elle arrive finalement à se libérer, mais elle ne part pas en courant, elle se baisse, mettant ses bras autour de sa tête.

- Mizuki qu'est-ce qui t'arrive ?...

Je veux partir ! Je veux repartir !

Mizuki commence à ne plus respirer correctement, son cœur la serre.

- Bah alors ça ne va pas petite ?

Un homme au cheveux gris violet c'est accroupie pour lui parlé.

- Excuser là, elle n'était plus revenue au Japon depuis un moment, sa dois la stresser...

- Je vois, et ma grande faut pas avoir peur. Sa arrive à tout le monde d'angoissée mais le plus important c'est de réussir à se calmer, si tu veux tu peux pleurer si sa te fais du bien.

L'homme souris à pleine dents, même si elle le voit pas, Mizuki le sens. Elle relève la tête pour le regarder.

- T'ai mignonne comme un cœur dit donc, c'est quoi ton nom ?

- Elle s'appelle Mizuki.

- Excuser moi mais se n'est pas à vous que je parles.

- Heu pardon...

- Mizuki...Et Mizuki, tu veux bien me faire un petit sourire à moi ? Sa me ferais plaisir.

Qui est cette homme, il est si gentille...

- Tu n'as pas envie, bon c'est pas grave, tu n'es pas obligé, mais tu veux bien ne plus être triste au moins. Une enfant ne devrais pas pleurer, tu devrais plutôt sourire à la vie.

Sourire à la vie...

- Dit moi tu aimes les peluches ?

Elle répond que oui avec la tête.

- Alors tiens je te l'offre.

L'homme sort de son sac une peluche en forme de lapin blanc fait main.

- C'est moi qui l'ai fait, j'espère qu'elle te plaît.

- Mmm...

- C'est un merci ça ?

Papa ?... Où les histoires vivent. Découvrez maintenant