Chapitre 10

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- Tuez les.

- À vos ordres mon roi.

Sanzu tire en plein dans le cœur des gardes.

- Les frères Haitani, vous restez dehors. Sanzu et les autres vous le suivez.

Ils entrent dans l'appartement de luxe de leur cible. Un ancien associé qui as vendu l'une de leur cachettes à la police.

- Sanzu la porte.

L'homme au cheveux rose enfonce la porte, les personnes à l'intérieur se lève d'un seul coup. Une partie de poker illégal se jouais.

Sanzu tire sur les 4 premiers personnes le plus proches d'eux.

- Qu'est-ce que vous faites là ?! Et pourquoi vous tirer sur mes amis ?! Vous voulez rompre notre accord.

- Il a déjà été rompu et vous le savez pourtant, en dévoilant une de nos cachette de drogue au flics.

- Je n'ai jamais fait-

- Ne t'avise pas de mentir à Mikey pauvre con !

- Sanzu calme toi, et vous asseyez-vous.

Le traité obéit.

Mikey pousse sur le côté l'un des quatre corp mort et s'assoie sur la chaise en face de l'homme.

- Répondez sincèrement, vous avez nous balancer ?

- Nan !

- Sanzu.

- Très bien.

Sanzu tire dans le cœur de la fille à côté du traitre.

- Chérie-

- On bouge pas.

- Je répète ma question, tu nous as balancer oui ou non ?

- O-o-oui...

- C'est tout se que je voulais entendre. Et dire que la vie de cette femme aurait put être sauvez... C'est vraiment dommage.

- Vous allez le laisser en vie ?...

- Tu penses le mérité ?

- Je je ne vous trahie rais plus jamais ! C'est promis !

- Je veux bien te croire.

- M-merci infiniment !...

- Car tu vas mourir avant de pouvoir le refaire.

Sanzu tire une fois dans le ventre de l'homme, puis dans son cœur et pour finir dans sa tête.

- Je pense que c'est bon.

- Je me suis emporter pardon.

- Je te pardonne, maintenant on y vas.

Mikey s'apprête de sortir de la pièce.

- Finis le travail, je veux aucun témoins.

- Avec plaisir boss.

Sanzu s'occupe de faire disparaître toutes les personnes qui était venue.

- Vous avez fini de votre côté les Haitani ?

- Oui, on pris tout l'argent qu'il nous devait.

- Et on a mis le feu à la cuisine.

- D'ailleurs allons y avant de nous faire brûler vif.

- L'autre n'as pas encore fini.

- Ho se n'est pas bien grave ça. Se n'est point une grande perte.

Papa ?... Où les histoires vivent. Découvrez maintenant